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Souveraineté individuelle numérique : fondements et tensions globales

Jacques Gascuel illustrant la souveraineté individuelle numérique — posture confiante symbolisant la liberté, l’autonomie technologique et la souveraineté cryptographique.

Souveraineté individuelle numérique — fondement éthique et technique de l’autodétermination informationnelle, cette notion redéfinit aujourd’hui l’équilibre entre pouvoir étatique, économie des données et autonomie cognitive. À la croisée du droit, de la philosophie et de la cybersécurité, Cette chronique explore comment la doctrine Freemindtronic envisage la souveraineté numérique des individus comme un droit concret : celui de se gouverner soi-même dans l’univers connecté.

Résumé express — Ce qu’il faut retenir

Lecture rapide ≈ 1 min : Cette chronique propose une lecture souveraine du concept de souveraineté individuelle numérique, non comme un droit abstrait, mais comme une compétence active : celle de maîtriser les conditions techniques, cognitives et juridiques de son autonomie dans un univers interconnecté.
  • Principe : La souveraineté individuelle est une exigence transnationale et non délégable ; elle s’exerce dans la capacité de chacun à se gouverner dans l’espace numérique, sans dépendance institutionnelle ni captation algorithmique.
  • Fondement : Selon les Annales des Mines (2023), elle repose sur le contrôle autonome et sécurisé des données ; pour Pierre Lemieux, elle précède tout pouvoir collectif ; et pour Guillermo Arenas, elle devient une construction juridique performative captée par les architectures techniques.
  • Constat : Les travaux du Conseil d’État (2024), de l’ENISA (2024) et du NIST (SP 800-207) convergent : la résilience et la confiance reposent désormais sur la preuve technique locale. Cette approche rejoint la doctrine Freemindtronic : la souveraineté — étatique ou individuelle — s’éprouve par la conception et non par la délégation.
  • Cadre légal émergent : Le rapport n°4299 (Assemblée nationale, Warsmann & Latombe) et le règlement (UE) 2023/1543 « e-Evidence » encadrent désormais la réponse aux ordres de production ciblés. La jurisprudence CJUE Tele2/Watson confirme que la non-conservation des données devient une forme légitime de conformité souveraine, renforçant la conformité par absence.
  • Enjeu : La souveraineté numérique des individus n’est pas seulement une protection ; elle conditionne la survie démocratique. Elle suppose une autonomie cognitive face aux manipulations algorithmiques, une autonomie technique dans le choix et la modification des outils, et une autonomie juridique dans la reconnaissance de droits sans État.
  • Perspective : De la loi française n° 2024-512 au RGPD européen, les cadres juridiques s’élargissent mais demeurent fragmentés ; seule une approche intégrant droit, design et cognition peut rétablir un équilibre entre liberté individuelle et sécurité collective.
⮞ En résumé : La souveraineté individuelle numérique se définit comme la faculté d’instituer ses propres règles dans l’espace numérique. Elle exige à la fois des savoirs techniques, une conscience cognitive et une vigilance juridique — autant de leviers pour transformer la dépendance en autonomie.

Paramètres de lecture

Résumé express : ≈ 1 min
Résumé avancé : ≈ 4 min
Chronique complète : ≈ 1h 38 min
Date de publication : 2025-11-10
Dernière mise à jour : 2025-11-10
Niveau de complexité : Doctrinal & Transdisciplinaire
Densité technique : ≈ 74 %
Langues disponibles : FR · EN · ES · CAT · AR
Focal thématique : Souveraineté, autonomie, cognition, droit numérique
Type éditorial : Chronique — Freemindtronic Cyberculture Series
Niveau d’enjeu : 8.2 / 10 — épistémologique et institutionnel

Note éditoriale — Ce dossier s’inscrit dans la série Freemindtronic Cyberculture, consacrée à la redéfinition des libertés numériques et à la doctrine “hors ligne first”. Il met en regard les approches doctrinales (Lemieux, Arenas, Türk) et les perspectives institutionnelles (Conseil d’État, ONU, AIMH 2025) pour restituer les tensions entre dépendance technique et autonomie cognitive. Ce contenu est rédigé conformément à la Déclaration de transparence IA publiée par Freemindtronic Andorra — FM-AI-2025-11-SMD5
Les doctrines de Lemieux, Arenas et Türk se rejoignent : la souveraineté individuelle n’existe que si elle est exercée. En ce sens, les technologies souveraines conçues par Freemindtronic — telles que DataShielder HSM PGP / NFC HSM et PassCypher NFC HSM / HSM PGP — démontrent cette souveraineté par design : stockage local, chiffrement matériel et autonomie opérationnelle sans cloud.
Illustration conceptuelle de la souveraineté individuelle numérique — un cerveau lumineux connecté à un cadenas symbolisant la preuve par la conception et la maîtrise souveraine des données.
✪ Illustration secondaire 16:9 — représentation symbolique de la souveraineté individuelle numérique, où le cerveau et le cadenas incarnent la preuve par la conception et la liberté prouvée par la maîtrise de ses secrets.
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Résumé avancé — Fondements, tensions et cadres doctrinaux

Lecture ≈ 4 min — La souveraineté individuelle numérique est à la fois un concept politique, une réalité technique et une exigence cognitive. Ce segment développe les fondements philosophiques et juridiques qui redéfinissent la place de l’individu dans l’espace numérique mondial.

Selon les Annales des Mines (2023), la souveraineté numérique individuelle désigne la capacité des individus à exercer un contrôle autonome et sécurisé sur leurs données et leurs interactions dans l’espace numérique. Cette définition institutionnelle dépasse la simple protection des données : elle suppose la maîtrise des outils, la compréhension des protocoles et la conscience des risques de captation algorithmique.

Définition institutionnelle — Annales des Mines (2023)

« La souveraineté numérique individuelle désigne la capacité des individus à exercer un contrôle autonome et sécurisé sur leurs données et leurs interactions dans l’espace numérique. »
Elle implique :

  • Autonomie et sécurité : compétences numériques, protection des données, maîtrise des risques ;
  • Outils et technologies : chiffrement, logiciels libres, blockchain comme leviers d’émancipation ;
  • Communautés et pratiques : écosystèmes favorisant la vie privée et l’autonomie distribuée.

Source : Annales des Mines – Enjeux numériques n°23 (2023)

Dans une perspective libérale, Pierre Lemieux conçoit la souveraineté individuelle comme un pouvoir de dernière instance : elle précède l’État, le droit et toute forme d’autorité collective. L’individu, et non la société, est le détenteur originel du pouvoir. Ce principe, formulé en 1987, anticipe les débats contemporains sur la décentralisation et la gouvernance distribuée.

Pour Pauline Türk (Cairn.info, 2020), la souveraineté numérique s’est d’abord exprimée comme contestation du pouvoir étatique par les multinationales du numérique. Progressivement, cette tension s’est déplacée vers les utilisateurs, qui revendiquent un droit d’autodétermination informationnelle. L’individu devient acteur, non spectateur, de la protection de ses données et de la gouvernance de ses identités numériques.

Cadres normatifs contemporains — Vers une souveraineté prouvée

Les normes récentes de cybersécurité confirment la mutation doctrinale en cours :

  • Rapport n°4299 (Assemblée nationale, 2025) — reconnaît la nécessité d’un modèle de confiance fondé sur la preuve technique et la maîtrise locale plutôt que sur la seule certification externe.
  • ENISA Threat Landscape 2024 — introduit le concept de local trust anchor : la résilience se mesure à la capacité d’un dispositif à fonctionner sans dépendance au cloud.
  • NIST SP 800-207 (Zero Trust Framework) — transforme la confiance en un état dynamique prouvable, non en un statut accordé ; chaque entité doit démontrer sa légitimité à chaque interaction.
  • Règlement (UE) 2023/1543 « e-Evidence » et CJUE Tele2/Watson — confirment juridiquement la validité d’une conformité par absence : lorsqu’aucune donnée n’est stockée, la souveraineté reste inviolable.

Ces évolutions renforcent la doctrine Freemindtronic : la preuve locale devient la condition première de toute confiance numérique, qu’elle soit individuelle, étatique ou interopérable.

Enfin, Guillermo Arenas (2023) introduit une lecture juridique et performative : la souveraineté n’existe que parce qu’elle est énoncée et reconnue par un discours normatif. Dans le numérique, cette reconnaissance est souvent confisquée par les architectures techniques et les interfaces, qui imposent des règles invisibles et produisent des effets de souveraineté sans légitimité démocratique. La question devient alors : comment instituer une souveraineté individuelle sans État, dans un univers technique hégémonique ?

Tableau des cadres doctrinaux

Cadre doctrinal Concept de souveraineté Modalité d’exercice Type de dépendance Source
Pierre Lemieux (1987) Souveraineté radicale, non transférable Refus de toute délégation, autonomie absolue Sociale et institutionnelle Lemieux, 1987
Pauline Türk (2020) Autodétermination informationnelle Réappropriation de la donnée par l’utilisateur Économique et normative Türk, 2020
Guillermo Arenas (2023) Souveraineté performative Institution de normes individuelles Technique et symbolique Arenas, 2023
Conseil d’État (2024) Souveraineté fondée sur le choix Coordination et responsabilité Juridique et politique Conseil d’État, 2024
⮞ En résumé doctrinal — La souveraineté individuelle numérique articule trois niveaux :
1️⃣ le droit (protéger et définir),
2️⃣ la technique (concevoir et sécuriser),
3️⃣ la cognition (comprendre et résister).
Son effectivité dépend de la convergence de ces trois dimensions — aujourd’hui réconciliées par la reconnaissance normative de la preuve locale de confiance (ENISA, NIST, rapport 4299). Sans cette convergence, l’individu demeure administré par des architectures qu’il ne peut ni vérifier ni contester.
Doctrine Freemindtronic — En proposant des dispositifs hors ligne tels que
DataShielder HSM PGP, PassCypher NFC HSM et CryptPeer, Freemindtronic transpose cette souveraineté dans la pratique : preuve de possession, chiffrement local et autonomie sans cloud.
Ces solutions incarnent la doctrine d’une souveraineté distribuée et décentralisée, où chaque individu devient le détenteur exclusif de sa souveraineté numérique.
Ainsi, la souveraineté cryptographique devient le prolongement naturel de l’autonomie cognitive : maîtriser ses secrets, c’est se gouverner soi-même dans l’espace numérique.

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Ils prolongent la réflexion sur les fondements épistémique et technique de la souveraineté numérique, en explorant ses déclinaisons juridiques, cognitives et cryptographiques. Cette sélection complète La présente chronique consacré à la souveraineté individuelle numérique — un concept central de la doctrine Freemindtronic qui articule autonomie technique, autonomie cognitive et autonomie juridique dans l’univers connecté.

Chronique — Autonomie, cognition et souveraineté numérique

Ce premier segment explore la tension fondatrice entre autonomie, cognition et pouvoir numérique. Il montre que la souveraineté individuelle numérique ne se décrète pas, mais qu’elle s’exerce, se prouve et s’incarne dans des dispositifs matériels, cognitifs et juridiques. À travers une approche transdisciplinaire associant philosophie, droit, cybernétique et anthropologie, cette chronique examine les conditions concrètes de l’autodétermination informationnelle.
Préambule éditorial — Cette chronique ne défend pas une opinion, il expose une exigence. Il ne propose pas une solution, il documente une condition. Il ne recherche pas l’unanimité, il trace les lignes de fracture. Chaque élément repose sur des sources souveraines, vérifiables et non contestables. Les divergences qu’elles révèlent ne sont pas effacées mais assumées, afin de permettre une lecture rigoureuse, transdisciplinaire et souveraine. Ainsi, la souveraineté individuelle numérique n’est pas envisagée comme un idéal abstrait, mais comme un champ d’exercice où l’humain demeure le centre de gravité de sa propre autonomie.

Souveraineté individuelle numérique — fondements, tensions et perspectives globales. Cette chronique considère la souveraineté individuelle comme une exigence transnationale, non délégable et non représentable. Elle relie la philosophie politique aux technologies souveraines pour comprendre comment l’individu peut redevenir le détenteur exclusif de ses capacités décisionnelles dans un univers dominé par les architectures de contrôle.

Définition élargie de la souveraineté individuelle

Une notion à la croisée du droit, de la technique et de la cognition.

Cadre institutionnel — Une définition par la capacité

Selon les Annales des Mines, « la souveraineté numérique individuelle désigne la capacité des individus à exercer un contrôle autonome et sécurisé sur leurs données et leurs interactions dans l’espace numérique ». Cette définition, formulée dans un cadre institutionnel, rejoint les approches critiques développées dans cette étude. Elle met l’accent sur trois dimensions fondamentales : l’autonomie technique, la sécurité informationnelle et la résistance cognitive face aux formes de captation algorithmique.

Cadre philosophique — Se gouverner soi-même

D’un point de vue philosophique, la souveraineté individuelle se définit comme la capacité d’un individu à se gouverner lui-même. Elle implique un contrôle sur ses pensées, ses choix, ses données et ses représentations. Ce pouvoir constitue le socle de toute liberté authentique. En effet, il suppose non seulement l’absence d’ingérence, mais aussi la maîtrise des conditions matérielles et symboliques de son existence. Ainsi, la prise en main des infrastructures, du code et de la cognition devient un prolongement direct de la liberté politique.

Cadre libéral — Pierre Lemieux et le pouvoir de dernière instance

Pour Pierre Lemieux, la souveraineté individuelle constitue un pouvoir de dernière instance. Elle précède l’État, le droit et toute autorité collective. L’individu n’est pas administré : il est la source première de toute norme. Ce principe, formulé dès 1987, anticipait déjà la crise de la centralisation. Il annonçait également l’émergence des modèles distribués de gouvernance. Aujourd’hui, l’économie des données ne fait que déplacer la question du pouvoir — entre celui qui gouverne les flux et celui qui les comprend.

Cadre informationnel — Pauline Türk et l’autodétermination

Dans une perspective complémentaire, Pauline Türk montre que la souveraineté numérique s’est d’abord exprimée comme une contestation du pouvoir étatique par les grandes plateformes. Progressivement, elle s’est déplacée vers les utilisateurs, porteurs d’un droit d’autodétermination informationnelle. Ainsi, la souveraineté n’est plus un statut juridique figé. Elle devient une compétence cognitive : celle de savoir quand, pourquoi et comment refuser.

Cadre performatif — Guillermo Arenas et la souveraineté énoncée

Enfin, Guillermo Arenas propose une lecture performative selon laquelle la souveraineté n’existe que parce qu’elle est énoncée, reconnue et pratiquée. Dans l’univers numérique, cette performativité est souvent captée par les architectures techniques — interfaces, API, algorithmes. Ces dispositifs produisent des effets de souveraineté sans légitimité démocratique. Dès lors, la question centrale devient : comment instituer une souveraineté individuelle sans État, mais avec intégrité technique ?

⮞ Constat essentiel

— La souveraineté individuelle numérique ne relève pas de la propriété, mais d’une capacité opératoire. Elle résulte de la convergence entre trois sphères : le droit, qui définit et protège ; la technique, qui conçoit et maîtrise ; et la cognition, qui comprend et résiste. Lorsque ces trois dimensions s’articulent, la souveraineté cesse d’être une abstraction. Elle devient un pouvoir réel, mesurable et opposable.

Cadre de conception — Freemindtronic et la souveraineté prouvée

De ce point de vue, l’autonomie numérique ne relève pas d’une utopie. Elle s’ancre dans des conditions d’existence concrètes. Celles-ci reposent sur la compréhension des mécanismes, la capacité à les transformer et la volonté de refuser toute dépendance imposée. C’est dans cet espace de résistance constructive que la doctrine Freemindtronic inscrit son approche. Elle choisit de démontrer la souveraineté par la conception, plutôt que de la proclamer par décret.

⚖️ Définition de Jacques gascuel — Souveraineté individuelle numérique

La souveraineté individuelle numérique désigne le pouvoir exclusif, effectif et mesurable qu’a chaque individu (ou équipe restreinte) de concevoir, créer, détenir, utiliser, partager et révoquer ses secrets, ses données et ses représentations dans l’univers numérique — sans délégation, sans tiers de confiance, sans exposition d’identités ou de métadonnées, et sans traces persistantes imposées par une infrastructure externe.

Elle introduit une gouvernance cryptographique personnelle, où la souveraineté devient une capacité opérationnelle, réversible et opposable.
Ce principe repose sur l’unification de trois sphères indissociables :

  • le droit, qui protège et définit ;
  • la technique, qui conçoit et sécurise ;
  • la cognition, qui comprend et résiste.

Il constitue le socle conceptuel des dispositifs Freemindtronic tels que :

  • 🔐 PassCypher 
  • 🔐 DataShielder
  • 🔐 CryptPeer

Ces technologies garantissent un contrôle intégral des secrets sans intermédiation externe ni délégation de confiance — incarnant ainsi la souveraineté par la conception.

Cette exigence de cadre institutionnel trouve un écho dans le rapport n°4299 de l’Assemblée nationale française, intitulé « Bâtir et promouvoir une souveraineté numérique nationale et européenne », présenté par Jean-Luc Warsmann et Philippe Latombe. Ce rapport reconnaît explicitement le besoin de dispositifs non-dépendants, compatibles avec une approche de non-traçabilité et de self-custodyTélécharger le rapport (PDF)

Le modèle des tiers de confiance — Genèse, limites et rupture

Cette section retrace l’origine et la crise du modèle des tiers de confiance, fondé sur la délégation de sécurité et de légitimité dans les architectures numériques. Elle met en lumière les vulnérabilités structurelles de ce paradigme, avant d’introduire le principe de souveraineté individuelle sans délégation.

Genèse d’un modèle de délégation

Le concept de tiers de confiance est hérité du monde analogique : notaires, banques, autorités de certification, institutions publiques. Dans l’univers numérique, il s’est traduit par la centralisation de la confiance : serveurs d’authentification, clouds certifiés, plateformes “souveraines” autoproclamées. Ce modèle repose sur une hypothèse implicite : il faut déléguer pour sécuriser.

Pourtant, cette hypothèse entre en tension directe avec l’idée même de souveraineté individuelle. Déléguer la confiance, c’est déléguer une part de son pouvoir de décision — c’est donc renoncer à une dimension de sa liberté numérique. En plaçant la sécurité dans les mains d’autrui, on transforme l’utilisateur en administré.

La crise de la centralisation

Les vingt dernières années ont révélé la fragilité du modèle de délégation. Deux décennies de fuites et compromissions massives — Equifax, SolarWinds, MOVEit, LastPass, Microsoft Exchange — ont montré que la concentration des secrets crée un effet systémique : plus le dépôt de confiance grossit, plus sa compromission devient probable.

Les cadres de référence convergent vers une remise en cause des modèles implicites de confiance. L’ENISA Threat Landscape 2024 et le NIST Zero Trust Framework (SP 800-207) placent la preuve technique locale au cœur de la résilience. La confiance centralisée est désormais considérée comme une vulnérabilité structurelle.

Dans cette perspective, la sécurité ne découle plus d’un mandat hiérarchique ou d’une autorité tierce, mais de la capacité à prouver localement l’intégrité d’un acte, d’un secret ou d’un échange — sans serveur intermédiaire. Autrement dit, la confiance doit redevenir un fait de conception, non un acte de foi institutionnel.

Que se passe-t-il si le système centralisé est corrompu ?

Deux issues se présentent. D’une part, une corruption illégitime — intrusion, exploitation de vulnérabilité, compromission d’un HSM, vol d’API ou d’artefacts CI/CD — entraîne un risque systémique : la compromission d’un point central propage ses effets à l’ensemble des détenteurs délégués. L’attribution devient contestable, la non-répudiation se fragilise, les journaux peuvent être altérés et les opérations de révocation massives provoquent un déni de service probatoire.

D’autre part, une corruption légitime — injonction judiciaire, clause contractuelle d’accès d’urgence, clés d’escrow ou privilèges administrateurs KMS — introduit un risque de captation légale : l’utilisateur reste exposé même sans faute, car la maîtrise de ses secrets n’est plus exclusive.

Dans les deux cas, la centralisation crée un point de bascule unique : la délégation inverse silencieusement la charge pratique de la preuve et reporte la responsabilité sur l’usager, qui doit justifier un acte qu’il n’a pas nécessairement contrôlé.

Si l’on inverse l’architecture — clés chez l’utilisateur, preuves locales, absence de traces persistantes — l’attaque ne peut plus s’industrialiser. On passe d’un modèle de confiance présumée à un modèle de preuve opposable par conception.

⮞ Transition vers la typologie — La remise en cause du tiers de confiance ouvre une lecture nouvelle de la souveraineté : non plus déclarative ou déléguée, mais exercée par conception. La suite précise ses dimensions constitutives : juridique, technique, cognitive, identitaire et sociale.

Extraterritorialité : quand le droit d’autrui s’applique à vous

Au-delà du risque technique, la centralisation crée un risque de droit : des règles nationales s’appliquent hors territoire, via mandats, ordres de production ou devoirs d’assistance. Quelques régimes structurants :

  • États-UnisCLOUD Act : obligation pour les fournisseurs soumis à la juridiction américaine de produire des contenus, y compris stockés hors des États-Unis, sur base de mandat ou d’accord exécutif. Texte intégré au H.R. 1625 (2018) (Congress.gov). Section 702 du FISA : collecte ciblée aux fins de renseignement étranger, avec portée extraterritoriale sur prestataires et infrastructures (govinfo).
  • Royaume-UniInvestigatory Powers Act 2016 : service et exécution de mandats auprès d’opérateurs, y compris établis hors du territoire ; devoir d’assistance jusqu’aux régimes « bulk » (interception, acquisition, datasets) (legislation.gov.uk).
  • AustralieAssistance and Access Act 2018 : avis techniques (TAR/TAN/TCO) imposables à des « fournisseurs désignés », y compris étrangers, pour assister l’accès légal aux données (legislation.gov.au).
  • ChineNational Intelligence Law (art. 7) : obligation de coopération aux activités de renseignement pour organisations et citoyens ; Data Security Law et PIPL imposent la localisation et la certification des transferts (NPC).
  • Union européenneRGPD (art. 3) : portée extraterritoriale dès lors qu’un acteur hors UE cible des personnes situées dans l’Union. Règlement (UE) 2023/1543 « e-Evidence » : ordres de production/préservation adressables directement à un fournisseur dans un autre État membre (EUR-Lex). Les arrêts CJUE Schrems I & II ont confirmé que les transferts vers des pays soumis à des lois d’accès extraterritoriales sont contraires à la Charte des droits fondamentaux de l’UE sans garanties équivalentes.
  • IndeIT Rules 2021 : obligations renforcées des intermédiaires et ordres de traçage applicables aux services visant des utilisateurs indiens (e-Gazette).
  • BrésilLGPD (art. 3) : application aux traitements visant des personnes situées au Brésil, y compris par des entités non établies sur le territoire (Planalto).
  • RussiePaquet Iarovaïa (Loi fédérale 374-FZ, 2016) : obligations de conservation et d’accès légal étendues aux opérateurs, avec effet direct sur la cryptographie des services (pravo.gov.ru).

⮞ Impact immédiat sur la souveraineté individuelle

Dès qu’un secret réside chez un tiers soumis à l’un de ces régimes, il devient saisissable ou duplicable à distance. La preuve d’identité, de consentement ou d’intention peut alors être présumée depuis un artefact central — compte, certificat, jeton — au risque d’une inversion de la charge : l’individu se voit attribuer un acte qu’il n’a pas matériellement accompli.

La clé de votre souveraineté numérique est-elle vraiment entre vos mains ?

La question de la détention des clés maîtres — celles dont dérivent toutes les autres — conditionne l’autonomie numérique. Dans les architectures centralisées, des tiers — hébergeurs, clouds, autorités de certification, plateformes “souveraines” — conservent, dérivent ou révoquent les clés. L’utilisateur ne maîtrise ni la création, ni la persistance, ni l’effacement de ses secrets. Les mécanismes de sauvegarde, d’accès d’urgence ou de haute disponibilité multiplient les points de contact, y compris sous couvert d’obligations légales.

Cette dépendance technique et juridique prive l’individu du contrôle effectif sur sa souveraineté cryptographique. Elle ouvre la voie à des effets systémiques :

⮞ Effets d’une corruption centralisée

  • Attribution contestable : impossibilité de garantir la maîtrise exclusive de la clé au moment de l’acte.
  • Non-répudiation affaiblie : journaux et horodatages dépendants d’un contrôle tiers.
  • Révocation en cascade : tempêtes de certificats, perte d’accès légitime.
  • Captation légale : accès d’urgence ou escrow contractuels qui annulent la maîtrise individuelle.

À l’inverse, une conception orientée self-custody impose que la clé maîtresse soit locale, éphémère et jamais exposée. Les dispositifs conçus selon la doctrine Freemindtronic garantissent que l’utilisateur détient lui-même la clé maîtresse, sans exposition durable. Les clés dérivées sont générées à la volée, segmentées, reconstruites en mémoire volatile, puis effacées après usage. Aucun serveur, aucune autorité externe, aucun tiers de confiance ne peut y accéder, les reproduire ou les forcer à distance : la chaîne probatoire reste bornée à l’individu et à son dispositif.

⮞ Souveraineté cryptographique — Détention locale, génération éphémère, segmentation et non-persistance traduisent concrètement la souveraineté individuelle dans la conception même des dispositifs. Une clé n’est pas un secret partagé ; c’est un pouvoir exercé — puis effacé.

La confiance comme fiction normative

Selon Guillermo Arenas, la souveraineté est une “fiction performative” : elle existe parce qu’elle est reconnue. Le même mécanisme s’applique aux tiers de confiance : leur légitimité ne repose pas sur une preuve technique, mais sur un consensus social ou juridique.
Cette fiction, si elle n’est pas réévaluée à l’aune des architectures numériques, conduit à une dépendance cognitive : l’utilisateur croit être protégé parce qu’il se conforme à une autorité.

Là où la confiance était une vertu sociale, elle devient un instrument de captation.
C’est le paradoxe des “clouds souverains” : plus ils promettent la sécurité, plus ils concentrent le pouvoir et donc le risque.

Vers une souveraineté sans délégation

C’est dans cette rupture que s’inscrit la doctrine Freemindtronic. En substituant la délégation par la preuve de possession, et la promesse contractuelle par la preuve matérielle, elle rétablit la souveraineté au niveau individuel.
Les technologies telles que DataShielder HSM PGP, PassCypher NFC HSM, CryptPeer® et EM609™ incarnent pleinement cette logique : clé locale, usage éphémère, chiffrement matériel et absence de trace persistante.

L’individu n’est plus un bénéficiaire de confiance : il en devient l’auteur. Ainsi, la confiance prouvée par la conception remplace la confiance imposée par la hiérarchie.

⮞ Transition vers la typologie — La remise en cause du modèle des tiers de confiance ouvre la voie à une lecture nouvelle de la souveraineté numérique : non plus déclarative ou déléguée, mais exercée par conception.
Cette bascule appelle à définir les dimensions constitutives de la souveraineté individuelle : juridique, technique, cognitive, identitaire et sociale.

Typologie des dimensions de la souveraineté individuelle numérique

Cette section propose une typologie des cinq dimensions constitutives de la souveraineté individuelle numérique. Elle établit les fondements juridiques, techniques, cognitifs, identitaires et sociaux qui permettent de mesurer et d’exercer ce pouvoir comme une réalité vécue, et non comme une abstraction déclarative.

Vers une grammaire complète de la souveraineté

La souveraineté individuelle numérique ne se réduit ni à un droit ni à une technologie. Elle forme une structure d’autonomie composée de sphères qui interagissent. Chacune définit un mode d’action et une vulnérabilité associés. L’équilibre entre ces dimensions, et non leur simple juxtaposition, détermine le degré effectif d’autonomie de la personne.

Dimension Principe opératoire Mode d’exercice Risque en cas de délégation
Juridique Être reconnu comme sujet de droit autonome et décisionnaire Effacement, portabilité, consentement éclairé, accès aux recours Captation légale et inversion de la charge de la preuve
Technique Concevoir, détenir et révoquer ses clés et dispositifs sans tiers Chiffrement local, preuve matérielle, intégrité contrôlée, sans cloud Perte de maîtrise des secrets et dépendance aux infrastructures externes
Cognitive Comprendre et résister aux mécaniques d’influence algorithmique Éducation numérique, audit d’interface et de code, droit à l’explication Manipulation des choix et illusion de contrôle
Identitaire Garder la main sur ses représentations et affiliations numériques Pseudonymes, dissociation des rôles, sobriété des métadonnées Profilage, réidentification et exposition de l’intimité
Sociale Participer sans exclusion ni standardisation imposée Interopérabilité, liberté de rejoindre des communautés, coopérations hors plateformes Marginalisation, enfermement propriétaire et perte de diversité culturelle

Une approche systémique

Ces dimensions s’entrecroisent dans un cycle d’autonomie. Une souveraineté juridique sans maîtrise technique reste vide. Une maîtrise technique sans conscience cognitive demeure aveugle. Une souveraineté cognitive sans espace social d’exercice ne se démontre pas. L’enjeu réside dans la cohérence des conditions d’exercice, non dans la proclamation de droits isolés.

⮞Clé de lecture — L’autonomie s’entretient : le droit encadre, la technique émancipe, la cognition préserve, l’identité distingue et la société relie. Ensemble, elles consolidèrent un pouvoir effectif.

Vers une mesure de la souveraineté individuelle

L’évaluation passe par des indicateurs observables et actionnables : contrôle local des clés, transparence des traitements automatiques, dépendance à un fournisseur, capacité de révocation, traçabilité opposable des décisions automatisées. Ces paramètres, encore éclatés entre droit et cybersécurité, gagnent à converger dans une matrice d’évaluation souveraine capable de quantifier le pouvoir réel de la personne dans son environnement numérique.

⮞ Transition vers la “preuve d’autonomie technique” — La souveraineté ne vaut que si elle se prouve. La section suivante présente la souveraineté prouvée : une approche où la norme s’incarne dans le dispositif et où la confiance se démontre par le design même du système.

Souveraineté prouvée — Brevets et doctrines incarnées

La doctrine Freemindtronic repose sur un principe intangible : la souveraineté ne se déclare pas, elle se prouve par la conception.

  • Chaque dispositif développé depuis 2010 obéit à une règle universelle : la clé reste chez l’utilisateur, n’existe qu’un instant, et n’obéit à aucun serveur
  • Ce choix technique fonde une souveraineté humaine, matérielle et opposable : il rend visible la promesse d’autonomie individuelle dans le monde numérique.
1️⃣ Segmented Key Authentication System
WO / EP / US / CN / JP / KR — 2018 →
Clé segmentée, locale et éphémère.
Idée-force : la clé n’existe jamais entière ni durablement au même endroit.
↳ Reconstruction temporaire en RAM, effacement immédiat.
Traduction souveraine : self-custody réel, zéro secret central, zéro trace exploitable.
2️⃣ Access Control System for Cryptographic Devices
EP 3 586 258 B1 — 2021
↳ Accès local, conditionnel et hors ligne.
↳ Clés validées dans une enclave sécurisée (jamais exposées).
↳ MFA flexible : PIN, biométrie, proximité, énergie récoltée.
Traduction stratégique : maîtrise locale, aucune identité serveur, réduction de surface d’attaque.
3️⃣ Dispositif de surveillance & protection d’alimentation
Multi-juridictions — 2019
↳ Intégrité matérielle = condition de souveraineté.
↳ Durcissement électrique et thermique, isolement automatique, logique zéro-trust périphérique.
Traduction technique : si le matériel reste intègre et discret, la clé reste souveraine.
⮞ Souveraineté humaine et technique — La souveraineté commence à l’échelle d’une personne, puis d’une équipe, puis d’une organisation.
Elle repose sur trois fondations : self-custody (maîtriser), self-hosting (héberger), et self-reliance (agir sans dépendance).
La confidentialité ne se délègue pas : elle se prouve par la conception — clés locales, segmentation, hors ligne first — jamais par promesse contractuelle.

L’humain au centre de la souveraineté

L’objectif n’est pas seulement de protéger des données, mais de préserver la capacité humaine à décider.
Créer, détenir, utiliser et révoquer ses secrets numériques devient un acte de souveraineté personnelle — une forme d’autogouvernance informationnelle.
Les technologies PassCypher NFC HSM et DataShielder HSM PGP incarnent cette autonomie : génération locale des clés, pré-chiffrement avant tout transfert et fonctionnement sans infrastructure externe.

CryptPeer® étend cette approche : c’est une solution de messagerie et d’appels P2P qui est auto-hébergeable, sans serveur, sans installation, et réside uniquement en mémoire vive (RAM-only). Elle repose sur un brevet d’authentification à clé segmentée et utilise un relais local éphémère qui ne voit jamais le clair (les données non chiffrées). Ce relais s’auto-efface après chaque échange. La première présentation de sa version “Défense” aura lieu à Milipol Paris 2025 (stand AMG PRO).

⮞ Conformité par absence — Moins de données = moins d’exposition = conformité naturelle aux cadres NIS2, Privacy et Secret professionnel.
Freemindtronic défend un dogmatisme anti-cloud raisonné : ancrer les cœurs critiques hors ligne, non pour rejeter la connectivité, mais pour garantir la souveraineté du choix.

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Validation doctrinale : Reconnaissance institutionnelle

La consolidation doctrinale de 2025 trouve son prolongement naturel dans les distinctions internationales attribuées aux dispositifs issus de la doctrine Freemindtronic, lesquelles traduisent la reconnaissance empirique d’un modèle de souveraineté opératoire : celui qui se prouve par la conception et se mesure par l’absence de dépendance. Elles attestent que la souveraineté individuelle, loin d’être une abstraction philosophique, constitue un cadre technique, opposable et reproductible, reconnu par des instances indépendantes et des jurys internationaux.

Jalons doctrinaux : Distinctions officielles

Ces distinctions marquent des victoires incontestables dans des concours internationaux, scientifiques ou industriels. Elles incarnent la reconnaissance formelle d’une doctrine fondée sur la souveraineté individuelle prouvée par la conception.

Année Distinction Technologie Type Origine Lien
2021 Médaille d’or — Inventions Genève EviCypher NFC HSM International · Invention · Cryptographie Institutionnel (jury 82 experts) Voir
2021 Global InfoSec Awards (3 prix) EviCypher HSM International · Cybersécurité Public (RSA Conference) Voir
2021 Highly Commended — National Cyber Awards EviCypher HSM National UK · Cyberdéfense Institutionnel (Raytheon UK) Voir
2010 Médaille d’argent — Inventions Genève FullProtect International · Électronique · Preuve matérielle Institutionnel Voir
2017 Lauréat — MtoM & Embedded System & IoT EviTag NFC International · Systèmes embarqués · IoT Privé Voir
« La victoire ne prouve pas seulement une technologie. Elle consacre une doctrine. »Jacques Gascuel, Genève 2021

Finalistes : validation doctrinale et reconnaissance stratégique

Ces sélections en tant que finaliste dans des concours d’envergure attestent d’une reconnaissance doctrinale forte, même sans prix remporté. Elles valident la rupture conceptuelle portée par les technologies Freemindtronic.

Année Award Technologie Type Origine Lien
2026 Finaliste — Intersec Awards PassCypher NFC HSM International · Cybersécurité Institutionnel (EAU) Voir
2024 Finaliste — Cyber Defence Product of the Year DataShielder Auth NFC HSM National UK · Cyberdéfense Institutionnel Voir
2021 Finaliste — National Cyber Awards (x2) EviCypher HSM National UK · Innovation & AI Institutionnel Voir
2021 Finaliste — E&T Innovation Awards (x2) EviCypher HSM International · Communications & Cybersecurity Universitaire (IET UK) Voir
2014 Finaliste — Embedded Trophy (x2) EviKey NFC National FR · Systèmes embarqués Privé (Electronique Mag) Voir
2013 Finaliste — European Mechatronics Award Freemindtronic International · Systèmes embarqués Universitaire & industriel Voir
2013 Finaliste — Électrons d’Or Freemindtronic National FR · Électronique Privé (magazine spécialisé) Voir
« Être finaliste, c’est être reconnu comme porteur d’une rupture. La doctrine précède la victoire. »Jacques Gascuel

Validation institutionnelle — Intersec Awards 2026

Pourquoi cela compte — La sélection officielle de PassCypher parmi les finalistes des Intersec Awards 2026 (catégorie Best Cybersecurity Solution) agit comme une validation institutionnelle d’un modèle de cybersécurité hors-ligne, passwordless et souverain. Autrement dit, une instance internationale indépendante reconnaît qu’une sécurité sans cloud ni tiers, fondée sur la preuve de possession locale et la mémoire volatile, constitue une voie crédible et exportable.

Ce que l’Intersec valide concrètement

  • Doctrine — La souveraineté individuelle peut être prouvée par la conception (clés locales, éphémères, non persistantes), non par la délégation contractuelle.
  • Architecture — Le modèle RAM-only et la segmentation des clés (PGP + AES-256-CBC) offrent une résilience structurelle (“quantum-resistant” par conception), sans recourir à une fédération d’identité (FIDO/WebAuthn) ni à un cloud.
  • Interopérabilité — Une authentification universelle et hors-ligne reste compatible avec les systèmes et navigateurs existants, y compris en environnements contraints (air-gap, secteurs critiques).
  • Neutralité — Un acteur andorran à ancrage européen peut être reconnu aux EAU, ce qui renforce la portée transrégionale d’un standard souverain.

⮞ Effet sur la thèse générale

Cette reconnaissance extérieure consolide le passage d’une souveraineté déclarative à une souveraineté opératoire. En effet, la conformité découle ici de l’absence de données exploitables, de la non-persistance et de la preuve locale — plutôt que d’un tiers de confiance.

Références officielles

⮞ Transition — Fort de cette validation, la section suivante développe les perspectives critiques et les axes d’investigation associés à la généralisation d’un standard hors ligne-first de confiance numérique.

Défis contemporains — Souveraineté individuelle numérique face au droit, à la sécurité et à la géopolitique

Après avoir défini les dimensions constitutives de la souveraineté individuelle numérique, cette section aborde les défis de son exercice réel : pressions légales, dépendances techniques et asymétries géopolitiques. Elle explore comment les architectures, les lois et les normes peuvent renforcer — ou neutraliser — la souveraineté personnelle à l’échelle mondiale.

À ce stade de la réflexion, la souveraineté individuelle numérique apparaît comme un équilibre fragile entre trois forces : la loi, la technologie et la cognition. Mais cet équilibre reste exposé à des tensions majeures : qui détient les clés ? qui contrôle les infrastructures ? à qui obéit le droit appliqué aux données ?

Ces tensions ne relèvent pas seulement du débat philosophique. Elles déterminent la possibilité même, pour un individu, d’exercer sa liberté dans le cyberespace. C’est pourquoi cette section examine successivement les risques structurels qui menacent l’autonomie numérique : la centralisation, l’extraterritorialité juridique et la captation cognitive.

Le défi du droit extraterritorial — quand la loi d’autrui s’applique à soi

La mondialisation du numérique a inversé la logique classique du droit. Un individu peut aujourd’hui être soumis à une juridiction qu’il ne connaît pas, simplement parce que ses données transitent ou sont hébergées à l’étranger.
Cette extraterritorialité numérique constitue la première menace systémique à la souveraineté individuelle.

Les États-Unis, le Royaume-Uni, la Chine, la Russie, l’Australie et d’autres États ont adopté des régimes légaux leur permettant d’exiger l’accès à des données personnelles stockées à l’étranger. Le CLOUD Act (2018), la FISA 702 ou la National Intelligence Law chinoise en sont les exemples emblématiques. À l’inverse, l’Union européenne, via le RGPD (art. 3) et le règlement e-Evidence (UE) 2023/1543, tente d’établir des garde-fous, mais elle en conserve elle-même les effets extraterritoriaux.

Le résultat est une inversion de la charge de la preuve : la simple possession d’un certificat, d’un compte ou d’un identifiant peut être juridiquement interprétée comme une preuve d’action. L’utilisateur devient responsable d’un acte qu’il n’a pas nécessairement accompli, car le tiers de confiance — fournisseur, hébergeur, autorité de certification — agit en son nom.

⮞ Impact sur la souveraineté individuelle numérique — L’extraterritorialité transforme la preuve numérique en présomption. Dès lors qu’un secret, une identité ou un artefact cryptographique est stocké ou géré par un tiers, il devient potentiellement saisissable. La souveraineté cryptographique disparaît avec la délégation de confiance.

France, Andorre et Espagne — Trois modèles contrastés de souveraineté juridique

Dans la région pyrénéenne, trois cadres illustrent concrètement la diversité des approches en matière de souveraineté individuelle numérique.

  • 🇫🇷 France — Avec la loi n°2024-512 et le Décret Lecornu n°2025-980, la France adopte une approche duale. Elle maintient une surveillance encadrée au nom de la sécurité nationale. Parallèlement, elle reconnaît explicitement la souveraineté cryptographique individuelle pour les dispositifs autonomes et hors ligne.
  • 🇦🇩 Andorre — État neutre hors Union européenne, l’Andorre applique la LQPD 29/2022 (Llei qualificada de protecció de dades personals).
    Cette loi est alignée sur le RGPD, mais sans effet extraterritorial. Elle crée ainsi un espace de neutralité technologique dans lequel individus et entreprises exercent leur souveraineté sans exposition automatique à des législations étrangères (ni CLOUD Act, ni FISA, ni e-Evidence). C’est dans ce cadre que Freemindtronic Andorra développe la doctrine de la souveraineté prouvée par la conception.
  • 🇪🇸 Espagne — L’Espagne applique strictement le RGPD à travers la LOPDGDD 3/2018 et transpose la directive NIS2. Toutefois, son écosystème numérique dépend largement d’acteurs cloud soumis au droit américain. Cette dépendance crée une dissonance juridique :
    un citoyen espagnol peut voir ses données soumises à une loi étrangère, même si leur traitement respecte pleinement le RGPD.

Métadonnées : l’angle mort de la souveraineté individuelle numérique

Dans un environnement opéré par un tiers, comme Google Workspace ou Gmail, l’absence de chiffrement côté client avec gestion externe des clés — CSE ou KMS hors fournisseur — confère au prestataire la maîtrise effective des clés.
Il contrôle ainsi les traitements d’exploitation. Les cadres « Data Regions » et « EU Data Boundary » limitent la circulation des données et renforcent le contrôle européen, mais ne transfèrent pas automatiquement la garde cryptographique à l’utilisateur.

Des métadonnées techniques — journaux de routage, identifiants de destinataires, horodatages, adresses IP — continuent d’exister pour faire fonctionner le service et assurer sa sécurité. Dans l’Union, leur conservation ne peut être ni généralisée ni indifférenciée ; elle doit rester nécessaire, proportionnée et, le cas échéant, répondre à des ordres de production ciblés, conformément à l’article 6 du règlement (UE) 2023/1543 « e-Evidence » et à la jurisprudence CJUE Tele2/Watson.

En Andorre, pays reconnu comme adéquat par l’Union européenne (Décision (UE) 2024/1693), la LQPD 29/2021 et l’APDA encadrent ces traitements, sans pour autant se substituer aux responsabilités techniques du fournisseur.

En clair : sans self-custody des clés et sans architecture hors ligne-first, la souveraineté reste partielle car les métadonnées demeurent exploitées par l’opérateur.

⮞ Lecture comparative

France : protection nationale sous contrôle.
Andorre : neutralité et souveraineté sans extraterritorialité.
Espagne : conformité européenne, mais dépendance d’infrastructure.
Cette triade illustre trois manières de concevoir la souveraineté individuelle numérique : l’une encadrée, l’autre souveraine, la troisième contrainte par l’interconnexion.

Le Décret Lecornu n°2025-980 — entre sécurité nationale et souveraineté cryptographique

Adopté le 15 octobre 2025, le Décret Lecornu n°2025-980 impose la conservation temporaire des métadonnées de communication, mais exclut explicitement les dispositifs cryptographiques hors ligne ne produisant aucune donnée exploitable. Ce texte, en pratique, valide la conformité par absence de donnée — un principe que la doctrine Freemindtronic a concrétisé dès 2010 avec ses HSM matériels autonomes.

Ainsi, un dispositif comme DataShielder HSM PGP ou PassCypher NFC HSM ou CryptPeer reste pleinement conforme : aucun serveur, aucune métadonnée, aucune trace persistante. De fait, ce sont des preuves vivantes que la souveraineté individuelle numérique peut s’exercer sans enfreindre le droit, précisément parce qu’ils ne produisent ni ne stockent d’informations exploitables.

En d’autres termes, la souveraineté devient ici un mode de conception plutôt qu’un statut juridique.

⮞ Conformité souveraine

L’absence de donnée devient un acte juridique à part entière. La cryptologie n’est plus un moyen de cacher, mais un moyen de prouver la non-captation. Elle établit une souveraineté vérifiable, indépendante des frontières et des juridictions.

Le défi cognitif — souveraineté individuelle et emprise algorithmique

Au-delà du droit et de la technique, la souveraineté individuelle numérique doit aussi résister à la captation cognitive. Les algorithmes de recommandation, les interfaces persuasives et les systèmes de notation sociale influencent les comportements et restreignent la liberté de choix.
L’autonomie ne se réduit donc plus à la possession des clés : elle inclut la liberté de penser dans un environnement d’influence.

Reprendre la maîtrise cognitive suppose d’intégrer la résilience attentionnelle comme dimension de sécurité. Comprendre le code ne suffit plus ; il faut comprendre les intentions de conception.
C’est là que la doctrine Freemindtronic trouve sa portée : concevoir pour libérer, non pour contrôler.

⮞ Transition vers la section “Doctrine de la non-traçabilité souveraine” — Après l’examen de ces défis, la réflexion s’oriente vers une proposition concrète : la non-traçabilité souveraine comme paradigme éthique, technique et juridique. Elle consiste à prouver la liberté par la conception, non par la déclaration.

Souveraineté individuelle à l’épreuve des architectures

🇨🇭 Cas suisse — Le cloud souverain en tension

La Suisse a lancé en 2024 son projet de Swiss Government Cloud pour réduire sa dépendance aux hyperscalers étrangers. Ce cloud souverain, financé à hauteur de 246,9 millions CHF, vise à héberger les données critiques de l’administration fédérale, des cantons et des communes.

Cependant, la Confédération reste cliente de fournisseurs étrangers pour ses services cloud. Cela crée une architecture hybride : souveraineté déclarée, mais dépendance persistante. Le secret bancaire, autrefois pilier de l’indépendance suisse, a déjà été affaibli par les accords internationaux d’échange automatique d’informations. Ainsi, le cloud souverain suisse risque de suivre une trajectoire similaire si les clés maîtresses ne sont pas détenues localement.

⮞ Enjeu doctrinal

La souveraineté suisse devient une souveraineté d’orchestration — elle coordonne les flux, mais ne les contrôle pas intégralement.

🇪🇪 Cas estonien — La souveraineté distribuée par design

À l’inverse, l’Estonie incarne un modèle de souveraineté numérique distribuée. Celui-ci repose sur l’identité numérique, la blockchain, et l’e-Residency. Chaque citoyen (ou résident numérique) détient une carte à puce cryptographique lui permettant de signer, chiffrer et interagir avec les services publics sans délégation.

Bien que le cloud soit utilisé, les clés privées restent localisées et les métadonnées sont minimisées. Ce modèle repose donc sur une architecture technique souveraine, et non sur des promesses contractuelles. L’État est garant de la non-traçabilité, et l’individu devient acteur de sa propre souveraineté.

⮞ Enjeu doctrinal

L’Estonie démontre que la souveraineté individuelle peut être instituée par conception, sans dépendance à des tiers de confiance.

🇫🇷 Cas français — Le cloud souverain Bleu

La France a lancé en 2023 le projet Bleu, une coentreprise entre Capgemini et Orange, visant à proposer Microsoft 365 et Azure dans un cloud souverain certifié SecNumCloud 3.2 par l’ANSSI. Bien que les services soient opérés en France, ils reposent sur des technologies américaines, soumises au CLOUD Act (2018).

Le modèle Bleu repose sur une souveraineté contractuelle renforcée, mais non totale. En effet, les clés peuvent être gérées par le client, mais les métadonnées et les journaux techniques restent exposés. L’individu n’a pas de garantie de self-custody par défaut.

⮞ Enjeu doctrinal

Le cloud souverain français incarne une souveraineté de conformité — sécurisée, mais non autonome.

🇦🇪 Cas Émirats Arabes Unis — Souveraineté numérique par captation étatique

Les Émirats Arabes unis incarnent un modèle de souveraineté numérique centralisée, fondé sur la performance technologique, l’investissement stratégique et la captation des infrastructures critiques. Ce modèle optimise la gouvernance, mais soulève des tensions sur la souveraineté individuelle.

Depuis 2023, les EAU multiplient les accords internationaux pour héberger ou opérer des infrastructures cloud à très grande échelle. En témoignent les plateformes nationales telles que UAE Pass et Smart Dubai, qui centralisent l’identité numérique, les services publics et les interactions citoyennes.

Dans cette architecture, les clés cryptographiques, les métadonnées et les flux décisionnels sont opérés par des entités étatiques ou semi-étatiques. L’individu n’a ni maîtrise des clés, ni garantie de non-traçabilité, ni capacité de révocation autonome.

⮞ Enjeu doctrinal

Le modèle Émirati illustre une souveraineté numérique par captation étatique. L’individu n’est pas souverain par conception, mais administré par une architecture technique centralisée.

Comparaison doctrinale — Typologie des modèles nationaux

Pays Modèle de souveraineté Détention des clés Risque principal
Andorre Partage contractuel Externe Captation légale et dilution du secret
Suisse Orchestration hybride Mixte Dépendance technique persistante
Estonie Souveraineté distribuée Locale Risque minimal, modèle résilient
France Conformité contractuelle Client partiel Exposition aux juridictions tierces
Émirats A.U. Captation étatique centralisée Étatique Surveillance opaque, dépendance algorithmique
États-Unis Domination infrastructurelle Fournisseur Captation extraterritoriale, dépendance algorithmique
Russie Coercition étatique Étatique Surveillance systémique, absence de dissociation
Inde Techno-nationalisme hybride Mixte Fragmentation normative, souveraineté déclarative
Ukraine Résilience contractuelle Partenaire Dépendance géopolitique, souveraineté en reconstruction

Ces études de cas révèlent une constante : la souveraineté individuelle numérique ne dépend pas uniquement des lois ou des intentions politiques. Elle repose, avant tout, sur l’architecture technique qui rend cette souveraineté possible ou impossible.

Ainsi, au-delà des cadres juridiques et des modèles nationaux, une question fondamentale émerge : comment prouver sa liberté numérique sans avoir à la déclarer ? C’est dans cette perspective que s’impose le principe de non-traçabilité souveraine, fondement d’une autonomie vérifiable par la conception elle-même.

Doctrine de la non-traçabilité souveraine — Prouver la liberté par la conception

Cette section formalise la non-traçabilité souveraine comme principe fondateur de la liberté numérique.
Elle définit un cadre éthique, technique et juridique où la preuve d’autonomie réside dans l’absence même de trace exploitable.

Un principe éthique et technique

La non-traçabilité souveraine établit que la liberté ne se déclare pas : elle se prouve par le design.
Elle repose sur une idée simple : aucune donnée non nécessaire ne doit exister.
Chaque trace conservée sans consentement affaiblit la souveraineté de l’individu.
À l’inverse, une architecture conçue pour n’en produire aucune devient une forme de liberté active.

Fondement juridique

Le principe découle du droit à la vie privée reconnu par l’Convention 108+ du Conseil de l’Europe et par l’article 5 du RGPD : minimisation, limitation et exactitude des données.

La réglementation e-Evidence (UE 2023/1543) confirme que seule la donnée nécessaire et proportionnée peut être exigée. Dans ce cadre, l’absence de trace devient une conformité. Elle ne dissimule pas ; elle atteste de l’absence de captation.

Cette orientation rejoint la Déclaration européenne sur les droits et principes numériques pour la décennie numérique (COM (2022) 28 final), adoptée par la Commission européenne. Ce texte affirme des principes tels que la neutralité technologique, la non-discrimination, la protection de la vie privée et la maîtrise des choix numériques individuels. Il ouvre la voie à une reconnaissance institutionnelle de la souveraineté individuelle comme droit opposable au sein du projet européen. Consulter le document (PDF)

La conception comme acte de souveraineté

Un dispositif souverain doit garantir trois conditions :

  • Autonomie fonctionnelle : fonctionnement hors réseau ou sans dépendance continue.
  • Volatilité probatoire : aucune persistance non contrôlée après usage.
  • Non-corrélation : impossibilité de relier un identifiant à une action hors contexte local.

Ces critères transforment la sécurité en liberté concrète.
L’utilisateur ne délègue plus la confiance ; il en devient la source vérifiable.

Dimension philosophique

La non-traçabilité n’est pas une invisibilité absolue.
C’est la capacité à choisir ce qui existe de soi dans le réseau.
Elle prolonge le concept d’autodétermination informationnelle : décider de produire ou non une empreinte numérique.
En ce sens, le silence devient une forme d’expression : ne rien laisser, c’est affirmer son pouvoir d’effacement.

Application doctrinale — Freemindtronic

Depuis 2010, la doctrine Freemindtronic applique ce principe dans ses architectures hors ligne-first.
Les clés sont locales, éphémères et segmentées.
Aucune donnée exploitable n’est écrite ni transmise à un serveur.
La conformité résulte de l’absence de matière saisissable, non d’une promesse contractuelle.
Des dispositifs comme PassCypher NFC HSM, DataShielder HSM PGP ou CryptPeer incarnent cette logique : aucune métadonnée persistante, aucune identité transmise, aucune clé durablement stockée.

La preuve par l’absence

Dans ce modèle, la conformité se mesure à la quantité de traces inexistantes.
Moins il y a de données, plus la souveraineté est forte.
La non-traçabilité devient ainsi un indicateur objectif d’autonomie.
Elle s’oppose à la culture du “tout journaliser” et remplace la surveillance préventive par la preuve d’intégrité locale.

Cadre de validation

Cette approche rejoint les travaux du Laboratoire d’Éthique de la CNIL, de l’ENISA (2024) et du NIST Zero Trust Framework (SP 800-207).
Tous reconnaissent la preuve locale et éphémère comme seule garantie fiable d’intégrité.

Perspective doctrinale

La non-traçabilité souveraine n’est pas une négation de la sécurité collective.
Elle fonde un nouvel équilibre : moins de centralisation, plus de responsabilité individuelle.
Elle transforme la conformité en éthique mesurable et la vie privée en compétence technique.
La liberté devient alors une propriété vérifiable du système.

⮞ Transition vers la section “Perspectives critiques” — La non-traçabilité souveraine marque l’aboutissement logique de la souveraineté individuelle numérique : se gouverner par la conception. La prochaine section ouvrira la réflexion sur ses limites, tensions et perspectives critiques face aux impératifs de sécurité, de gouvernance et de coopération internationale.

Perspectives critiques — Souveraineté individuelle numérique, entre résistance et renaissance cognitive

Cette section examine les perspectives critiques de la souveraineté individuelle numérique, envisagée à la fois comme résistance aux architectures de captation et comme renaissance cognitive et politique. Elle interroge les limites du paradigme actuel et esquisse les conditions d’une émancipation durable, fondée sur la preuve et non sur la déclaration.

1. Une souveraineté encore sous tutelle technologique

Bien que la souveraineté individuelle numérique soit désormais reconnue comme principe éthique et juridique, elle demeure dépendante d’infrastructures dont la logique échappe à l’utilisateur. En effet, la plupart des dispositifs de communication, de stockage ou d’identité reposent encore sur des serveurs tiers. Dès lors, même les solutions dites “souveraines” reproduisent souvent des schémas de dépendance institutionnelle.

Cependant, cette dépendance n’est pas une fatalité. Grâce à la montée en puissance des dispositifs hors ligne-first et à l’émergence de modèles de chiffrement local, il devient possible de replacer la décision au plus près de l’individu. Ainsi, la souveraineté n’est plus un privilège réservé aux États ou aux grandes organisations, mais une compétence partagée, mesurable et opposable.

2. De la protection à la capacité — changer de paradigme

Il convient de rappeler que la protection des données n’équivaut pas à la souveraineté. En d’autres termes, la simple conformité juridique, aussi stricte soit-elle, ne garantit pas la liberté cognitive. De plus, les systèmes de conformité peuvent eux-mêmes générer des dépendances nouvelles, notamment par le biais de certifications obligatoires ou d’interfaces contrôlées.

Ainsi, la véritable autonomie numérique suppose de passer d’un modèle réactif — où l’on protège après coup — à un modèle proactif — où l’on conçoit en amont la non-captation. Par conséquent, le design devient un acte de résistance, et la cryptographie, un instrument d’émancipation.

3. La souveraineté comme écologie cognitive

Dans un environnement saturé de données, d’alertes et de flux, la souveraineté individuelle numérique se redéfinit également comme une écologie cognitive. Autrement dit, se gouverner soi-même dans le monde connecté exige de filtrer, hiérarchiser et choisir les interactions que l’on autorise.

De plus, la multiplication des algorithmes prédictifs et des interfaces persuasives tend à réduire l’espace du libre arbitre. Dès lors, l’autonomie cognitive ne consiste plus seulement à penser par soi-même, mais à préserver les conditions matérielles de cette pensée. Ainsi, déconnecter devient parfois un acte politique, au même titre que chiffrer ou refuser une mise à jour imposée.

4. Le risque de dilution : quand la souveraineté devient service

De nombreux États — y compris des micro-nations comme l’Andorre — ont engagé une transition vers des partenariats stratégiques avec des géants du numérique tels que Microsoft, Amazon Web Services ou Google. Ces accords, bien qu’ils visent la modernisation et l’efficacité, traduisent une externalisation de la décision souveraine.

Or, la souveraineté ne se délègue pas. Lorsqu’un État transfère la gestion de ses infrastructures critiques, de ses messageries ou de ses clés maîtresses, il partage de fait une part de son pouvoir. De plus, ce transfert s’accompagne d’un risque de captation légale via le CLOUD Act (2018) ou la FISA Section 702. Dès lors, le secret — jadis garantie d’indépendance — devient une ressource contractuelle, soumise à interprétation.

Ce glissement du pouvoir politique vers le pouvoir technique appelle une vigilance accrue. En effet, la souveraineté individuelle numérique ne peut s’exercer dans un cadre où le contrôle des clés, des flux et des traces échappe à l’utilisateur. Par conséquent, il faut reconsidérer la conception même de l’infrastructure : non plus comme un service, mais comme une extension du sujet.

5. Une souveraineté à reconquérir par la conception

Face à ces constats, la doctrine Freemindtronic propose une réponse fondée sur la preuve matérielle : la souveraineté ne se déclare pas, elle se démontre. Ainsi, les solutions comme PassCypher NFC HSM / HSM PGP et DataShielder HSM PGP / NFC HSM ou encore CryptPeer® démontrent cette philosophie. En supprimant tout intermédiaire, elles restituent à l’individu la pleine maîtrise de ses secrets et de ses preuves d’action.

De plus, en éliminant les traces persistantes, ces dispositifs instaurent une conformité par absence — c’est-à-dire une conformité naturelle fondée sur la non-production de données exploitables. Par conséquent, ils restituent à l’individu sa capacité d’effacement par inaccessibilité, ainsi que son pouvoir de choisir et de prouver.

6. Enjeux à moyen terme — vers une souveraineté cognitive partagée

À moyen terme, la souveraineté individuelle numérique devra s’articuler autour d’un double mouvement : d’une part, une décentralisation technique assurant la maîtrise locale des clés et des flux ; d’autre part, une éducation cognitive qui rende chaque citoyen capable de comprendre, de vérifier et de contester les décisions automatisées.

Autrement dit, la souveraineté ne sera effective que si elle s’accompagne d’une culture technique et critique partagée. Dès lors, la question de l’avenir ne réside pas dans la puissance des États, mais dans la maturité cognitive des individus.

⮞ Transition vers les hypothèses de recherche — La prochaine section, Hypothèses de recherche, formulera les pistes conceptuelles et expérimentales permettant de valider ces perspectives. Elle visera à démontrer comment la souveraineté individuelle numérique peut devenir mesurable, transmissible et opposable dans le cadre d’une gouvernance distribuée.

Hypothèses de recherche — Mesurer, prouver et transmettre la souveraineté individuelle numérique

Cette section formule les hypothèses fondamentales qui orientent la recherche sur la souveraineté individuelle numérique selon la doctrine Freemindtronic. Elle cherche à déterminer comment cette souveraineté peut devenir mesurable, transmissible et opposable, tout en restant conforme au droit international et à l’éthique cognitive.

1. Hypothèse n°1 — La souveraineté se prouve par la conception

La première hypothèse, à la fois technique et philosophique, postule que la souveraineté ne se déclare pas mais se prouve. En d’autres termes, elle n’existe que lorsqu’elle peut être démontrée matériellement à travers un dispositif autonome.

Ainsi, le simple énoncé d’un droit à la vie privée ne garantit rien sans une preuve technique de sa mise en œuvre. De plus, les systèmes actuels de sécurité, fondés sur la délégation à des tiers de confiance, créent une illusion de contrôle. Par conséquent, la recherche doit démontrer qu’un individu peut exercer une souveraineté complète dès lors qu’il détient l’intégralité des moyens matériels, cognitifs et cryptographiques pour gérer ses secrets sans dépendre d’un serveur externe.

En pratique, cette hypothèse se vérifie à travers la technologie DataShielder HSM PGP /HSM PGP ou CryptPeer® : la clé maîtresse segmentée n’est ni créée ni stockée dans le cloud, mais générée localement, segmentée en mémoire vive, puis effacée après usage. Ce processus incarne la souveraineté individuelle numérique dans sa forme la plus concrète.

2. Hypothèse n°2 — La souveraineté se mesure par la non-dépendance

La deuxième hypothèse soutient que le degré de souveraineté peut être mesuré par un indice de dépendance. Plus un individu ou une organisation dépend d’infrastructures externes pour chiffrer, authentifier ou prouver ses actions, plus son autonomie réelle diminue.

De surcroît, cette dépendance peut être de nature juridique, technique ou cognitive. Juridique, lorsque les serveurs sont soumis à des lois extraterritoriales telles que le CLOUD Act. Technique, lorsque la clé privée est stockée dans un KMS externe. Cognitive, enfin, lorsque l’interface manipule le choix par défaut pour orienter le comportement de l’utilisateur.

Dès lors, la recherche doit établir une grille d’évaluation de la souveraineté fondée sur des critères quantifiables : taux de contrôle local, degré d’souveraineté cryptographique, niveau d’exposition aux juridictions étrangères et capacité d’effacement. Cette approche transforme la souveraineté en variable mesurable, et non en simple idéal.

3. Hypothèse n°3 — La souveraineté se transmet par le savoir-faire

La troisième hypothèse postule que la souveraineté individuelle numérique ne se conserve que si elle se transmet. En effet, une souveraineté sans pédagogie est une autonomie périssable.

Ainsi, la maîtrise technique et cognitive doit être intégrée à l’éducation civique du XXIᵉ siècle. Non pas comme un apprentissage des outils, mais comme une culture de la vigilance : comprendre les architectures, anticiper les vulnérabilités et cultiver la sobriété informationnelle.

De plus, la transmission de cette culture implique un partage transgénérationnel et transnational. Autrement dit, la souveraineté numérique doit devenir un patrimoine collectif sans dépendre d’un État, d’une plateforme ou d’une langue. En ce sens, la position de l’Andorre, territoire multilingue et neutre, représente un laboratoire idéal pour cette approche.

4. Hypothèse n°4 — L’souveraineté cryptographique précède la souveraineté politique

La souveraineté cryptographique constitue la base de toute souveraineté durable. Sans contrôle des clés maîtresses, il n’existe ni liberté d’expression, ni secret des correspondances, ni propriété intellectuelle effective.

Ainsi, cette hypothèse soutient que le pouvoir politique découle du pouvoir cryptographique. Celui qui détient les clés contrôle la narration, les preuves et les vérités. Par conséquent, garantir la maîtrise individuelle des secrets équivaut à garantir la liberté démocratique elle-même.

Dans cette perspective, les technologies Freemindtronic (PassCypher, DataShielder, CryptPeer) incarnent une souveraineté ascendante : le pouvoir de l’État découle du pouvoir des citoyens souverains techniquement outillés.

5. Hypothèse n°5 — La souveraineté est une cognition augmentée

Enfin, la cinquième hypothèse relie la technique à la conscience. Elle considère la souveraineté individuelle numérique comme une forme d’augmentation cognitive. En d’autres termes, maîtriser le code, les protocoles et les logiques de traçabilité revient à élargir son champ de liberté.

De plus, cette approche redéfinit la frontière entre l’homme et la machine : l’intelligence artificielle n’est plus un pouvoir extérieur, mais un partenaire sous contrôle humain. Dès lors, la souveraineté devient non seulement un état juridique, mais une compétence cognitive, un réflexe éthique et une hygiène de pensée.

Ainsi, l’individu souverain n’est plus un simple utilisateur, mais un concepteur de son propre environnement numérique — un acteur conscient, autonome et résistant à la manipulation algorithmique.

⮞ Transition vers les axes d’investigation — Les hypothèses énoncées ci-dessus ouvrent la voie à une recherche transdisciplinaire où la preuve technique, la souveraineté juridique et la conscience cognitive se conjuguent. La section suivante, Axes d’investigation, précisera les domaines scientifiques et opérationnels où ces hypothèses peuvent être validées : cryptographie souveraine, ingénierie cognitive et droit de la preuve numérique.

Axes d’investigation — Cartographier les champs d’application de la souveraineté individuelle numérique

Cette section identifie les principaux axes de recherche issus des hypothèses précédentes. Elle vise à établir les terrains sur lesquels la souveraineté individuelle numérique peut être observée, mesurée et renforcée. Par une approche interdisciplinaire, elle relie la cryptographie, le droit et la cognition à la conception de dispositifs souverains vérifiables.

1. Axe cryptographique — De la maîtrise des clés à la preuve d’autonomie

Le premier axe d’investigation concerne la cryptographie souveraine. En effet, toute forme d’autonomie numérique repose d’abord sur le contrôle des clés maîtresses. Dès lors, il s’agit de déterminer comment l’architecture matérielle et logicielle peut garantir ce contrôle sans dépendre d’une autorité centrale.

De manière concrète, la recherche se concentre sur les dispositifs à preuve matérielle de possession. Autrement dit, la clé n’existe que dans la mémoire vive, segmentée et éphémère, et ne peut être reconstruite qu’en présence de l’utilisateur légitime. Ce modèle, déjà incarné par DataShielder HSM PGP / HSM PGP, permet de redéfinir la confiance comme une propriété mesurable du système.

De plus, cet axe inclut l’étude de protocoles d’échange hors ligne et de mécanismes de validation décentralisée. Ainsi, la souveraineté cryptographique devient non seulement une pratique de sécurité, mais aussi un acte politique : celui de ne déléguer ni la clé, ni la trace, ni la preuve.

2. Axe juridique — Redéfinir le droit à l’autonomie numérique

Le second axe porte sur le droit de la preuve souveraine. Il s’agit de comprendre comment les cadres légaux — RGPD, CLOUD Act, FISA 702, ou encore LQPD andorrane — influencent la capacité de l’individu à exercer sa propre souveraineté numérique.

En outre, cet axe explore la notion de “preuve par la conception” : un modèle où la conformité découle de l’absence de captation, et non de la surveillance. Par conséquent, un dispositif qui ne collecte rien devient, de facto, conforme. C’est une inversion du paradigme juridique classique, qui repose sur la déclaration plutôt que sur la conception.

De surcroît, la recherche doit analyser les tensions entre souveraineté nationale et souveraineté individuelle. En Andorre, par exemple, l’absence d’effet extraterritorial de la LQPD 29/2021 permet d’expérimenter des architectures où la donnée, la clé et la preuve appartiennent exclusivement à l’utilisateur. Dès lors, le droit devient non pas un obstacle à la technique, mais un garant de son intégrité.

3. Axe cognitif — Autonomie de pensée et résistance algorithmique

Le troisième axe s’inscrit dans le champ de la cognition souveraine. Il vise à comprendre comment la connaissance technique et la conscience critique interagissent pour produire une véritable autodétermination informationnelle.

En effet, la souveraineté individuelle numérique n’est pas seulement une affaire de chiffrement, mais aussi de lucidité. Comprendre les mécanismes d’influence algorithmique, repérer les biais cognitifs, et maîtriser l’attention constituent des conditions de liberté intérieure dans l’espace numérique.

Ainsi, la recherche se concentre sur la création d’indicateurs cognitifs : capacité de déconnexion volontaire, maîtrise des flux informationnels, compréhension des décisions automatisées. En d’autres termes, penser librement devient un acte de cybersécurité.

4. Axe systémique — Architecture distribuée et neutralité opérationnelle

Ce quatrième axe examine la dimension systémique de la souveraineté. Il s’agit d’étudier les architectures distribuées, locales ou hybrides, capables de garantir une résilience sans dépendance. Par conséquent, la souveraineté ne se limite plus au poste utilisateur, mais s’étend à la conception même du réseau.

De plus, cet axe s’intéresse à la neutralité technologique : une souveraineté ne peut être qualifiée de réelle que si elle ne dépend d’aucun fournisseur unique ni d’aucune juridiction étrangère. Ainsi, un service hébergé dans un cloud soumis au CLOUD Act ne peut être qualifié de “souverain”, même si les données y sont chiffrées. Seul un modèle de preuve locale, hors juridiction extraterritoriale, assure une souveraineté complète.

5. Axe éducatif et culturel — De la compétence technique à la conscience citoyenne

Enfin, le cinquième axe propose d’intégrer la souveraineté individuelle numérique dans la culture civique. En effet, comprendre les technologies de protection, les enjeux de métadonnées et les cadres légaux devient une condition essentielle à la citoyenneté numérique.

De plus, la transmission de ces savoirs constitue un enjeu politique : un individu formé à la cryptologie, à la vie privée et à la gouvernance décentralisée devient moins vulnérable aux manipulations et aux dépendances institutionnelles. Ainsi, l’éducation numérique ne vise pas seulement la maîtrise des outils, mais la conquête de la liberté intellectuelle.

Par conséquent, il devient impératif d’inclure ces enseignements dans les programmes académiques et dans la formation continue des professionnels de la donnée. En Andorre, où le multilinguisme et la neutralité politique favorisent la recherche ouverte, un tel modèle d’éducation souveraine pourrait servir de référence européenne.

⮞ Transition vers les tableaux comparatifs et doctrines — Ces axes définissent le champ opérationnel de la recherche. Ils préparent la prochaine section, Tableaux comparatifs et doctrines, qui mettra en parallèle les approches institutionnelles, philosophiques et techniques de la souveraineté individuelle numérique. Cette comparaison permettra d’évaluer les écarts entre les modèles déclaratifs, performatifs et prouvés par conception.

Tableaux comparatifs & doctrines — Convergences, fractures et incarnations de la souveraineté individuelle numérique

Cette section confronte les principales doctrines philosophiques, juridiques et techniques de la souveraineté individuelle numérique. Elle met en évidence les points de convergence entre le droit, la pensée et la conception technologique, tout en révélant les fractures structurelles entre les modèles déclaratifs, performatifs et prouvés par la conception.

Trois traditions doctrinales, trois temporalités

La compréhension contemporaine de la souveraineté individuelle numérique s’inscrit à la croisée de trois héritages intellectuels.
D’une part, la tradition libérale de Pierre Lemieux (1987) fonde la souveraineté sur l’individu comme instance ultime du pouvoir.
D’autre part, la lecture performative de Guillermo Arenas (2023) montre que la souveraineté ne devient réelle que lorsqu’elle est énoncée, reconnue et démontrée.
Enfin, l’approche critique de Pauline Türk (2020) replace la souveraineté dans la tension entre pouvoir étatique et autonomie citoyenne.

Ainsi, ces trois cadres théoriques n’opposent pas seulement des visions, ils dessinent une temporalité : Lemieux pose le principe, Türk décrit le conflit, Arenas constate la transformation. Dès lors, la doctrine Freemindtronic s’inscrit comme quatrième voie de démonstration de souveraineté via un dispositif.

Tableau comparatif des doctrines

Cadre doctrinal Conception de la souveraineté Objet du pouvoir Mode de validation Vulnérabilité Illustration contemporaine
Pierre Lemieux (1987) Le pouvoir de dernière instance appartient à l’individu Indépendance du jugement et du choix Refus de délégation Isolement institutionnel Philosophie libérale radicale
Pauline Türk (2020) Autodétermination informationnelle Données et représentations personnelles Conformité et contrôle juridique Dépendance normative Modèle RGPD et droit à l’effacement
Guillermo Arenas (2023) Souveraineté performative et contextuelle Énoncé reconnu par le système Discours normatif et architecture technique Captation algorithmique Interfaces et règles implicites du web
Conseil d’État (2024) Exercice coordonné de la souveraineté partagée Interdépendance entre État, acteurs privés et citoyens Régulation collaborative Complexité normative Rapport 2024 — “Renforcer l’exercice de la souveraineté”
doctrine Freemindtronic (2010–2025) Souveraineté prouvée par la conception Preuve matérielle de possession Preuve cryptographique locale Non interopérabilité institutionnelle PassCypher NFC HSM / DataShielder PGP HSM

Du droit au dispositif — le glissement épistémologique

Ce tableau révèle une mutation majeure : la souveraineté, autrefois définie comme un principe abstrait, se déplace désormais vers l’objet technique.
Autrement dit, le pouvoir de décision ne réside plus dans la déclaration politique, mais dans la capacité à maîtriser la conception d’un système.

En effet, un dispositif qui ne capture pas, qui ne trace pas, et qui n’obéit à aucune autorité extérieure, devient une forme d’État miniature.
Il incarne la souveraineté en acte.
Ainsi, la cryptographie matérielle, loin d’être un simple outil de sécurité, devient une technologie politique.
De plus, cette bascule redéfinit la hiérarchie du droit : la preuve technique précède la reconnaissance juridique.

Vers une convergence entre concept, loi et preuve

L’analyse comparée montre que les doctrines convergent sur un point essentiel : la souveraineté doit être exercée, non seulement proclamée.
Cependant, leurs méthodes divergent profondément.
Les cadres libéraux valorisent la volonté individuelle, tandis que les approches institutionnelles misent sur la coordination et la régulation.
En revanche, la doctrine Freemindtronic propose une synthèse : elle réunit la liberté de Lemieux, la réflexivité d’Arenas et la régulation de Türk dans une architecture concrète.

En combinant droit, design et cognition, elle transforme la souveraineté en expérience vérifiable.
De plus, cette convergence ouvre la voie à une mesure objective de la liberté : celle qui se démontre par l’absence de dépendance.

La doctrine Freemindtronic — démonstration d’un droit émergent

La doctrine Freemindtronic repose sur trois piliers fondamentaux :
1️⃣ La souveraineté cryptographique — chaque clé appartient exclusivement à son détenteur.
2️⃣ La souveraineté cognitive — chaque individu comprend et choisit les conditions de son exposition numérique.
3️⃣ La souveraineté juridique — chaque acte chiffré, non délégué et non tracé, constitue une preuve d’autonomie opposable.

Ainsi, la technologie n’est plus un service, mais une extension du droit.
Elle permet à l’individu d’exercer un pouvoir sans intermédiaire, ni administratif ni algorithmique.
Par conséquent, la souveraineté individuelle numérique devient une capacité opératoire, non une simple reconnaissance abstraite.

Lecture comparative et transition cartographique

En définitive, les doctrines exposées ici montrent un même horizon :
— Lemieux définit la liberté ;
— Türk encadre sa responsabilité ;
— Arenas décrit sa performativité ;
— Freemindtronic la prouve.

De plus, ces approches révèlent que la souveraineté numérique ne peut être comprise qu’en contexte : un modèle centralisé produit une dépendance, tandis qu’un modèle distribué engendre une autonomie.
Dès lors, la prochaine étape consiste à cartographier ces modèles à l’échelle internationale afin d’identifier où, comment et sous quelle forme la souveraineté individuelle numérique s’exerce effectivement.

⮞ Transition vers la cartographie internationale — Les doctrines comparées tracent les contours conceptuels de la souveraineté numérique. La section suivante, Cartographie internationale, proposera une lecture géopolitique : elle situera les zones d’autonomie réelle, les espaces de dépendance systémique et les États expérimentant des modèles hybrides de souveraineté distribuée.

Cartographie internationale

Cette cartographie décrit les zones d’influence où la souveraineté individuelle numérique se renforce ou s’affaiblit selon les cadres légaux, les alliances technologiques et les dépendances structurelles.

En croisant les cadres légaux et les infrastructures, cinq ensembles géopolitiques se distinguent :

  • Bloc euro-andorran — Souveraineté hybride : protection forte des données (RGPD, LQPD), mais dépendance cloud persistante.
  • Bloc anglo-saxon — Extraterritorialité assumée : priorité donnée à la sécurité nationale sur la vie privée (CLOUD Act, FISA).
  • Bloc sino-russe — Contrôle total : souveraineté d’État, surveillance intégrée, citoyenneté numérique dirigée.
  • Bloc latino-américain — Harmonisation progressive : convergence vers le RGPD, mais infrastructures sous influence américaine.
  • Bloc africain et asiatique émergent — Souveraineté technique en construction, appuyée sur les architectures open source et la crypto-souveraineté locale.

Ces dynamiques montrent que la souveraineté individuelle ne dépend pas seulement du droit. Elle résulte d’un équilibre entre localisation des données, maîtrise des clés et indépendance cognitive. Plus la technologie est locale, plus la liberté devient tangible.

⮞ Interprétation géopolitique — La souveraineté individuelle numérique n’est pas un état stable. Elle évolue selon les alliances et les architectures dominantes. Les doctrines techniques deviennent les nouveaux traités internationaux.

Frise historique — 1987–2025

Cette frise retrace les jalons fondateurs de la souveraineté individuelle numérique. Elle met en évidence l’évolution du paradigme de la confiance, depuis la cryptographie libre jusqu’à la doctrine Freemindtronic.
  • 1987 — Publication du concept de “Public Key Infrastructure” (PKI) : naissance des tiers de confiance numériques.
  • 1995 — Directive européenne 95/46/CE : première harmonisation du droit à la vie privée.
  • 2004 — Émergence du “Zero Trust Model” (Forrester Research).
  • 2010 — Lancement de la doctrine Freemindtronic : souveraineté prouvée par la conception, architecture hors ligne-first.
  • 2018 — RGPD : consécration de l’autodétermination informationnelle.
  • 2021 — LQPD 29/2021 : Andorre adopte une régulation équivalente au RGPD sans extraterritorialité.
  • 2024 — Adoption de la décision d’adéquation UE–Andorre.
  • 2025 — Décret Lecornu n°2025-980 : reconnaissance juridique de la conformité par absence de données.
⮞ Lecture temporelle — En moins de quarante ans, la confiance déléguée s’est transformée en confiance prouvée. La cryptologie devient un instrument de souveraineté civique.

Perspective stratégique — Horizon 2030

Cette projection stratégique explore les évolutions doctrinales et techniques attendues d’ici 2030. Elle anticipe l’émergence de nouveaux standards de souveraineté individuelle, portés par l’intelligence embarquée, la cryptographie locale et la diplomatie normative.

Vers une autonomie augmentée

La convergence entre cryptographie locale, intelligence embarquée et souveraineté cognitive pourrait donner naissance à une nouvelle catégorie : l’IA souveraine.
Cette entité serait capable d’agir, raisonner et protéger sans dépendance à un serveur ni à une infrastructure cloud — incarnant une autonomie technique et décisionnelle totale.

Diplomatie normative et reconnaissance internationale

Les organisations telles que l’ISO, l’UIT, l’ENISA ou l’OCDE intègrent déjà la souveraineté numérique dans leurs cadres stratégiques.
La doctrine Freemindtronic propose une norme opérationnelle fondée sur la non-traçabilité, la preuve locale et l’autonomie fonctionnelle — adaptable aux politiques nationales et aux exigences transfrontalières.

La souveraineté comme indicateur démocratique

La maîtrise locale des données, l’absence de télémétrie et la dissociation identitaire deviendront des critères de stabilité démocratique.
Plus un État garantit la souveraineté technique de ses citoyens, plus il renforce la confiance civique et la résilience collective face aux dérives systémiques.

⮞ Conclusion générale — La souveraineté individuelle numérique ne relève plus du privilège ni de la déclaration.
Elle devient une compétence vérifiable, fondée sur la conception, la preuve et la volonté de rester libre dans un monde interconnecté.

Perspectives — 2026 et au-delà

Cette projection doctrinale anticipe les évolutions concrètes de la souveraineté individuelle numérique à court terme. Elle identifie les jalons techniques, juridiques et cognitifs qui rendront la souveraineté vérifiable et opposable dès 2026.

2026 : passage à la souveraineté démontrable

L’année 2026 marquera une rupture : la souveraineté ne sera plus déclarée, mais prouvée par la conception.
Les dispositifs devront démontrer leur conformité par l’absence de trace, la détention locale des clés et l’autonomie fonctionnelle.
La doctrine Freemindtronic anticipe cette exigence en proposant des architectures hors ligne-first, non-traçables et segmentées.

Vers une certification de la non-traçabilité

Les régulateurs européens (CNIL, ENISA) et internationaux (ISO, NIST) pourraient formaliser des critères de non-traçabilité vérifiable.
Cela transformerait la conformité en propriété technique, mesurable et reproductible — fondée sur la preuve locale, non sur la promesse contractuelle.

Individu souverain, État garant

La souveraineté individuelle numérique deviendra un indicateur de maturité démocratique.
Les États qui garantiront la self-custody des clés, l’absence de télémétrie et la dissociation identitaire renforceront la résilience collective et la confiance civique.

⮞ Perspective doctrinale — En 2026, la souveraineté individuelle ne sera plus un idéal abstrait.
Elle deviendra une norme technique opposable, fondée sur la capacité à ne rien déléguer, à ne rien laisser, et à tout prouver localement.
Cette transformation ne pourra s’opérer que si des institutions, à l’échelle nationale, adoptent cette approche comme marqueur stratégique de reprise — partielle ou totale — de leur souveraineté numérique.

FAQ doctrinale — Comparaison et positionnement

Les publications de l’ISN et de vie-publique.fr traitent la souveraineté numérique au niveau des États et des infrastructures.
La chronique Freemindtronic formalise une preuve par la conception : non-traçabilité, détention locale des clés maîtresses, et preuve par la conception (pas par promesse contractuelle).
Ces travaux analysent les tensions État-plateformes-citoyens.
La chronique passe au niveau opératoire : elle montre comment exercer sa souveraineté via des dispositifs concrets (clés locales, absence de traces, autonomie cognitive).
L’INRIA couvre l’infrastructure et la cybersécurité nationales ; les revues juridiques, les régimes de droit.
Ici, on unifie droit + technique + cognition pour l’individu, avec une conformité par absence : être conforme parce qu’aucune donnée exploitable n’est produite.
Les approches SaaS défendent une souveraineté d’hébergement (choisir un prestataire “souverain”).
La doctrine Freemindtronic vise une souveraineté sans prestataire : la clé, la preuve et la confiance restent chez l’utilisateur (self-custody).
Elle se définit comme la capacité d’un dispositif à démontrer, par sa seule architecture, l’absence de délégation, de captation et de dépendance. Elle repose sur des principe épistémique et technique vérifiables : garde autonome des clés (self-custody), effacement automatique, absence de serveurs tiers, usage éphémère et zéro trace persistante.

La garde autonome des clés signifie que l’utilisateur détient, contrôle et protège ses clés cryptographiques sans jamais les confier à un tiers — ni cloud, ni serveur, ni prestataire.
Ce n’est pas ce que l’on déclare qui compte, mais ce que l’on ne peut pas capter.
La souveraineté devient ainsi prouvée, non déclaréeopposable, reproductible et mesurable.

Cette question revient légitimement pour situer ma doctrine dans le paysage intellectuel francophone.
Le tableau ci-dessous offre une lecture comparative entre les principales approches existantes de la souveraineté numérique et la doctrine de la preuve par la conception développée par Freemindtronic. Il met en lumière les convergences, les divergences et les ruptures entre les modèles institutionnels, académiques, juridiques et techniques.
Chaque ligne illustre la manière dont la preuve par la conception déplace le centre de gravité du pouvoir numérique : de la déclaration vers la démonstration, du droit vers le dispositif.

Source Orientation Forces Faiblesses Positionnement face à Freemindtronic
Institut de la souveraineté numérique
souverainetenumerique.fr
Institutionnelle, macro-infrastructure Visibilité, vulgarisation, portée publique Absence de traitement individuel, peu de technique Complémentarité forte : Freemindtronic couvre l’individuel et la preuve par la conception
Vie-publique.fr Synthèse généraliste, droit et régulation Crédibilité, accessibilité Pas de doctrine technique ni cognitive Freemindtronic incarne le pendant expert, prouvable et individuel
Sciences Po
Dossier “Souveraineté numérique”
Universitaire, politique, État / industrie Profondeur analytique, rigueur intellectuelle Approche abstraite, absence de preuve technique Freemindtronic apporte la matérialité : clé, code et cognition
Annales des Mines
Pierre Noro (2023)
Philosophique, individuel, critique Proximité conceptuelle, légitimité académique Moins appliquée, absence de preuve matérielle Freemindtronic démontre la capacité à rendre la souveraineté opérationnelle par le design
INRIA
inria.fr
Recherche technique, infrastructure nationale Crédibilité scientifique, vision systémique Peu d’approche individuelle ou cognitive Freemindtronic introduit l’autonomie locale et le modèle hors ligne-first
Revue Droit International
revuedlf.com
Juridique, géopolitique Profondeur doctrinale, rigueur réglementaire Absence d’intégration technique ou cognitive Freemindtronic transfère la preuve du champ juridique au champ matériel
Mindbaz
mindbaz.com
Commercial, SaaS, souveraineté de service Clarté, pragmatisme, vulgarisation Dépendance au prestataire, souveraineté déléguée Freemindtronic devient le référentiel doctrinal d’une souveraineté sans délégation

Note doctrinale :
La doctrine suivie par Freemindtronic complète les approches institutionnelles, académiques, juridiques et techniques existantes, en y ajoutant une dimension inédite : la preuve matérielle de la liberté.

C’est une question fondamentale que j’essaie de resourdre depuis 15 ans.
La preuve par la conception — fondée sur la non-traçabilité, la self-custody et la preuve par la conception — va à l’encontre des modèles économiques dominants (SaaS, cloud, télémétrie, captation de données).
Sans adossement institutionnel, cette approche risque d’être marginalisée ou exclue des circuits de normalisation.
Les acteurs systémiques ont tout intérêt à maintenir la dépendance et la délégation.
C’est pourquoi l’adoption de cette doctrine comme marqueur stratégique de souveraineté par des États est essentielle : elle permet de légitimer une alternative opposable, éthique et reproductible — contre les logiques de rente numérique.
Oui. Les distinctions obtenues par les technologies Freemindtronic au fil des années — dont la médaille d’or de Genève 2021, les Global InfoSec Awards et la sélection Intersec Awards 2026 — constituent des reconnaissances institutionnelles explicites de la doctrine de preuve par la conception.Consulter la section complète sur les distinctions officielles..
Oui. En octobre 2025, la technologie PassCypher a été officiellement nominée parmi les finalistes des Intersec Awards 2026 dans la catégorie Best Cybersecurity Solution.
Cette reconnaissance, décernée à Dubaï par un jury international, valide non seulement l’innovation technique, mais aussi la cohérence doctrinale : souveraineté individuelle, non-traçabilité, self-custody, preuve par la conception.
C’est une première historique pour une entreprise andorrane à ancrage européen, et un jalon stratégique vers l’adoption institutionnelle de la preuve par la conception.
[Voir la publication officielle](https://freemindtronic.com/passcypher-finaliste-intersec-awards-2026/)

En août 2024, Freemindtronic a été officiellement nommé finaliste du Cyber Defence Product of the Year aux National Cyber Awards du Royaume-Uni pour sa technologie DataShielder NFC HSM.
Cette distinction confirme la valeur doctrinale et opérationnelle de la preuve par la conception, dans un cadre national reconnu pour son exigence en matière de cybersécurité.

Le jury était composé de personnalités de haut niveau issues de la défense, du renseignement, de l’université, du droit et de l’industrie, dont :

  • Mary Haigh — CISO, BAE Systems
  • Myles Stacey OBE — Conseiller spécial du Premier ministre (10 Downing Street)
  • Sir Dermot Turing — Trustee, Bletchley Park Trust
  • Professor Liz Bacon — Vice-Chancelière, Abertay University
  • Richard Beck — Directeur Cyber, QA
  • Martin Borret — Directeur technique, IBM Security
  • Dr Emma Philpott MBE — CEO, IASME Consortium
  • Shariff Gardner — SANS Institute (Défense & Law Enforcement)
  • Rachael Muldoon — Barrister, Maitland Chambers
  • Oz Alashe MBE — CEO, CybSafe
[Voir la publication officielle](https://freemindtronic.com/freemindtronic-finalist-cyber-defence-product-of-the-year-2024/)

Cette reconnaissance constitue un jalon doctrinal : elle démontre que la souveraineté individuelle, lorsqu’elle est prouvée par la conception, peut être validée par les plus hautes instances de cybersécurité nationale.

Glossaire doctrinal — Termes clés

Pouvoir exclusif, effectif et mesurable d’un individu sur ses secrets, données et représentations, sans délégation ni trace persistante.
Elle s’exerce par la maîtrise locale des clés, l’absence de serveurs tiers, et la capacité à prouver sa liberté sans dépendance.
Principe éthique et technique selon lequel la liberté se prouve par l’absence de données exploitables.
Elle repose sur une architecture conçue pour ne produire aucune trace non nécessaire : clés locales, usage éphémère, zéro télémétrie.
Maîtrise locale des clés maîtresses et de leur cycle de vie (génération, usage, révocation), sans tiers de confiance.
Elle fonde l’autonomie technique de l’individu et garantit la non-dépendance aux infrastructures externes.
Capacité à résister aux mécaniques d’influence (recommandations, dark patterns, nudges) et à comprendre les intentions de conception.
Elle permet à l’individu de choisir librement ses usages numériques, sans manipulation implicite.
Être conforme par défaut, car aucune donnée exploitable n’est produite.
Ce modèle s’aligne avec le RGPD (minimisation, proportionnalité) et transforme l’absence de trace en preuve de conformité.
Propriété d’un système garantissant qu’aucune donnée ou preuve ne persiste au-delà de son usage local.
Elle permet à l’individu de ne laisser aucune empreinte durable, même involontaire.
Capacité à séparer les identifiants techniques, sociaux et juridiques dans un système.
Elle empêche toute corrélation inter-contextuelle et protège l’anonymat structurel.
Infrastructure technique conçue pour garantir l’autonomie, la non-traçabilité et la preuve locale.
Elle exclut toute dépendance systémique à des tiers de confiance et repose sur des principes hors ligne-first, de segmentation et de localité.
Principe central de la doctrine Freemindtronic : un système prouve sa conformité, sa sécurité et sa souveraineté non par déclaration, mais par son fonctionnement même.
La preuve n’est pas documentaire mais matérielle : elle réside dans l’architecture, les contraintes physiques et les propriétés mesurables du dispositif.
Elle établit la capacité d’un individu à démontrer son autonomie sans dépendance à un tiers, grâce à des mécanismes vérifiables, locaux et non-traçants.
Système unifiant droit + technique + cognition : souveraineté exercée par la conception.
Elle repose sur des dispositifs hors ligne, des clés locales, une non-traçabilité vérifiable et une conformité sans promesse.

⧉ Ce que cette chronique n’a pas abordé

Cette chronique a volontairement limité son périmètre à la souveraineté individuelle numérique dans sa dimension doctrinale et technique : souveraineté prouvée, non-traçabilité souveraine et souveraineté cryptographique.

Elle n’a donc pas traité en profondeur :

  • les implications économiques du modèle hors ligne-first (impact sur les acteurs cloud, SaaS, IaaS) ;
  • les débats épistémique et technique et politiques sur la légitimité d’une souveraineté décentralisée face aux États ;
  • la question de la standardisation internationale des architectures “zero-telemetry” ;
  • les liens entre souveraineté cognitive et souveraineté énergétique (écoconception cryptographique) ;
  • l’indice de non-dépendance (IND) proposé comme outil d’évaluation souveraine, qui fera l’objet d’un dossier technique dédié.

Ces points seront approfondis dans une série complémentaire de Chroniques Cyberculture consacrées à la mesure, la pédagogie et la diplomatie technique de la souveraineté individuelle numérique.

Sovereign Passwordless Authentication — Quantum-Resilient Security

Corporate visual showing sovereign passwordless authentication and RAM-only quantum-resistant cryptology by Freemindtronic

Quantum-Resilient Sovereign Passwordless Authentication stands as a core doctrine of modern cybersecurity. Far beyond the FIDO model, this approach restores full control of digital identity by eliminating reliance on clouds, servers, or identity federations. Designed to operate offline, it relies on proof-of-possession, volatile-memory execution (RAM-only), and segmented AES-256-CBC / PGP encryption, ensuring universal non-persistent authentication. Originating from Freemindtronic Andorra 🇦🇩, this architecture redefines the concept of passwordless through a sovereign, scientific lens aligned with NIST SP 800-63B, Microsoft, and ISO/IEC 29115 frameworks. This article explores its foundations, doctrinal differences from federated models, and its role in building truly sovereign cybersecurity.

Executive Summary — Foundations of the Sovereign Passwordless Authentication Model

Quick read (≈ 4 min): The term passwordless, often linked to the FIDO standard, actually refers to a family of authentication models — only a few of which ensure true sovereignty. The offline sovereign model designed by Freemindtronic Andorra 🇦🇩 eliminates any network or cloud dependency and is built upon proof-of-possession and volatile-memory operations.

This approach represents a doctrinal shift: it redefines digital identity through RAM-only cryptology, AES-256-CBC encryption, and PGP segmentation with zero persistence.
By removing all centralisation, this model enables universal, offline, and quantum-resilient authentication — fully aligned with NIST, Microsoft, and ISO/IEC frameworks.

⚙ A Sovereign Model in Action

Sovereign architectures fundamentally diverge from FIDO and OAuth models.
Where those rely on registration servers and identity federators, PassCypher HSM and PassCypher NFC HSM operate in complete air-gap isolation.
All critical operations — key generation, signing, verification, and destruction — occur exclusively in volatile memory.
This offline passwordless authentication demonstrates that cryptologic sovereignty can be achieved without depending on any third-party infrastructure.

🌍 Universal Scope

The sovereign passwordless model applies to all environments — industrial, military, healthcare, or defence.
It outlines a neutral, independent, and interoperable digital doctrine capable of protecting digital identities beyond FIDO or WebAuthn standards.

Reading Parameters

Quick summary reading time: ≈ 4 minutes
Advanced summary reading time: ≈ 6 minutes
Full article reading time: ≈ 35 minutes
Publication date: 2025-11-04
Last update: 2025-11-04
Complexity level: Expert — Cryptology & Sovereignty
Technical density: ≈ 78 %
Languages available: FR · EN
Specificity: Doctrinal analysis — Passwordless models, digital sovereignty
Reading order: Summary → Definitions → Doctrine → Architecture → Impacts
Accessibility: Screen-reader optimised — anchors & semantic tags
Editorial type: Cyberculture Chronicle — Doctrine & Sovereignty
Strategic significance: 8.3 / 10 normative and strategic scope
About the author: Jacques Gascuel, inventor and founder of Freemindtronic Andorra, expert in HSM architectures, cryptographic sovereignty, and offline security.

Editorial Note — This article will be progressively enriched in line with the international standardization of sovereign passwordless models and ongoing ISO/NIST developments related to offline authentication. This content is authored in accordance with the AI Transparency Declaration issued by Freemindtronic Andorra FM-AI-2025-11-SMD5

Sovereign Localisation (Offline)

PassCypher HSM and PassCypher NFC HSM devices embed 14 languages offline with no internet connection required.
This design guarantees linguistic confidentiality and technical neutrality in any air-gapped environment.

2026 Awards Cyberculture Digital Security Distinction Excellence EviOTP NFC HSM Technology EviPass EviPass NFC HSM technology EviPass Technology finalists PassCypher PassCypher

Quantum-Resistant Passwordless Manager — PassCypher finalist, Intersec Awards 2026 (FIDO-free, RAM-only)

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The articles displayed above ↑ belong to the same editorial section Cyberculture — Doctrine and Sovereignty.
They extend the reflection on RAM-only cryptology, digital sovereignty, and the evolution toward passwordless authentication.
Each article deepens the doctrinal, technical, and regulatory foundations of sovereign cybersecurity as defined by the Freemindtronic Andorra model.

Advanced Summary — Doctrine and Strategic Scope of the Sovereign Passwordless Model

The sovereign passwordless authentication model is not a mere technological evolution but a doctrinal shift in how digital identity is authenticated.
While dominant standards such as FIDO2, WebAuthn, or OAuth rely on servers, identity federations, and cloud infrastructures, the sovereign model promotes controlled disconnection, volatile-memory execution, and proof-of-possession without persistence.
This approach reverses the traditional trust paradigm — transferring authentication legitimacy from the network to the user.

↪ A Threefold Doctrinal Distinction

Three major families now coexist within the passwordless ecosystem:

  • Cloud passwordless (e.g., Microsoft, Google) — Dependent on a server account, convenient but non-sovereign;
  • Federated passwordless (OAuth / OpenID Connect) — Centralised around a third-party identity provider, prone to data correlation;
  • Offline sovereign (PassCypher, NFC HSM) — Local execution, physical proof, complete absence of persistence.

↪ Strategic Foundation

By eliminating dependency on remote infrastructures, the sovereign passwordless model strengthens structural quantum resilience and ensures the geopolitical neutrality of critical systems.
It naturally aligns with regulatory frameworks such as GDPR, NIS2, and DORA, all of which require full control over identity data and cryptographic secrets.

⮞ Summary — Doctrine and Reach

  • The sovereign passwordless model removes both passwords and external dependencies.
  • It is based on proof-of-possession, embedded cryptology, and ephemeral memory.
  • It guarantees regulatory compliance and sovereign resilience against quantum threats.

↪ Geopolitical and Industrial Implications

This model provides a strategic advantage to organisations capable of operating outside cloud dependency.
For critical sectors — defence, energy, healthcare, and finance — it delivers unprecedented cryptologic autonomy and reduces exposure to transnational cyberthreats.
Freemindtronic Andorra 🇦🇩 exemplifies this transition through a European, neutral, and universal approach built around a fully offline, interoperable ecosystem.

✓ Applied Sovereignty

The RAM-only design and segmented encryption model (PGP + AES-256-CBC) form the foundation of a truly sovereign passwordless authentication.
Each session acts as a temporary cryptographic environment destroyed immediately after use.
This principle of absolute volatility prevents re-identification, interception, and post-execution compromise.

This Advanced Summary therefore marks the boundary between dependent passwordless authentication and true digital sovereignty.
The next section will outline the cryptographic foundations of this doctrine, illustrated through PassCypher HSM and PassCypher NFC HSM technologies.

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Cryptographic Foundations of the Sovereign Passwordless Model

The sovereign passwordless authentication model is grounded in precise cryptographic principles engineered to operate without any network dependency or data persistence.
It merges the robustness of classical cryptology (PKI, AES) with modern RAM-only architectures to guarantee a truly independent passwordless authentication.
These three technical pillars sustain the coherence of a quantum-resilient system — achieved not through post-quantum algorithms (PQC), but through the structural absence of exploitable data.

🔹 Public Key Infrastructure (PKI)

The PKI (Public Key Infrastructure) remains the foundation of global digital trust, establishing a cryptographic link between identity and public key.
In the sovereign framework, this public key is never stored on a server; it is derived temporarily during a local challenge-response validated by a physical token.
This ephemeral derivation prevents replication, impersonation, or remote interception.
Its design aligns with international cryptographic frameworks including the NIST SP 800-63B (US), the ENISA standards (EU), Japan’s CRYPTREC recommendations, and China’s Cybersecurity Law and national encryption standards.

🔹 Local Biometrics

Local biometrics — fingerprint, facial, retinal, or voice recognition — reinforce proof-of-possession without transmitting any biometric model or image.
The sensor serves as a local trigger verifying user presence, while storing no persistent data.
This principle complies with major privacy and cybersecurity frameworks including GDPR (EU), CCPA (US), UK Data Protection Act, Japan’s APPI, and China’s PIPL and CSL laws on secure local data processing.

🔹 Embedded Cryptology and Segmented Architecture (RAM-only)

At its core, the sovereign passwordless model relies on embedded cryptology and segmented PGP encryption executed entirely in volatile memory.
In technologies such as PassCypher, each key is divided into independent fragments loaded exclusively in RAM at runtime.
These fragments are encrypted under a hybrid PGP + AES-256-CBC scheme, ensuring complete segregation of identities and secrets.

This dynamic segmentation prevents all persistence: once the session ends, all data is instantly destroyed.
The device leaves no exploitable trace, giving rise to a form of quantum resilience by design — not through algorithmic defence, but through the sheer absence of decryptable material.
This architecture also aligns with secure “air-gapped” operational environments widely adopted across defence, industrial, and financial infrastructures in the US, Europe, and Asia-Pacific.

⮞ Summary — Technical Foundations

  • Public keys are derived and validated locally, never persisted on remote servers.
  • Biometric verification operates offline, without storing models or identifiers.
  • Embedded RAM-only cryptology guarantees volatility and untraceability of secrets.
  • The system is quantum-resilient by design — not via PQC, but via absence of exploitable matter.

↪ Compliance and Independence

These principles ensure native compliance with global cybersecurity and privacy frameworks while maintaining full independence from proprietary standards.
Whereas FIDO-based architectures rely on persistence and synchronisation, the sovereign model establishes erasure as a security doctrine.
This approach introduces a new paradigm: zero persistence as the cornerstone of digital trust.

The next section presents the PassCypher case study — the first internationally recognised sovereign implementation of these cryptographic foundations, certified for RAM-only operation and structural quantum resilience across EU, US, and Asia-Pacific frameworks.

PassCypher — The Sovereign Passwordless Authentication Model

PassCypher, developed by Freemindtronic Andorra 🇦🇩, represents the first tangible implementation of the sovereign passwordless authentication model.
This technology, an official finalist at the Intersec Awards 2026 in Dubai, marks a major doctrinal milestone in global cybersecurity.
It demonstrates that universal, offline, RAM-only authentication can deliver structural resilience to quantum threats.

The international Intersec jury described the innovation as:

“Offline passwordless security resistant to quantum attacks.”

This recognition celebrates not only a product, but a sovereign engineering philosophy
a model where trust is localised, secrets are volatile, and validation depends on no external server.
Each session executes entirely in volatile memory (RAM-only), each key is fragmented and encrypted, and every identity is based on a physical proof-of-possession.

↪ RAM-only Architecture and Operation

Within PassCypher, PGP keys are divided into independent fragments, encrypted via a hybrid AES-256-CBC + PGP algorithm, and loaded temporarily into memory during execution.
When the session ends, fragments are erased instantly, leaving no exploitable trace.
No data is ever written, synchronised, or exported — rendering the system tamper-proof by design and quantum-resilient through non-persistence.

↪ Integration into Critical Environments

Compatible with Zero Trust and air-gapped infrastructures, PassCypher operates without servers, browser extensions, or identity federations.
It meets the compliance expectations of critical sectors — defence, healthcare, finance, and energy — by aligning with GDPR (EU), NIS2, DORA, CCPA (US), and APPI (Japan) frameworks while avoiding any externalisation of identity data.
This sovereign authentication approach guarantees total independence from cloud ecosystems and digital superpowers.

⮞ Summary — PassCypher Doctrine

  • RAM-only: all cryptographic operations occur in volatile memory, without storage.
  • Proof of possession: local validation using a physical NFC or HSM key.
  • Zero persistence: automatic erasure after each session.
  • Quantum-resilient: structural resilience without post-quantum algorithms (PQC).
  • Universal interoperability: works across all systems, independent of cloud services.

↪ Applied Sovereign Doctrine

PassCypher materialises a security-by-erasure philosophy.
By eliminating the very concept of a password, it replaces stored secrets with an ephemeral proof-of-possession.
This paradigm shift redefines digital sovereignty: trust no longer resides in a server, but in local, verifiable, and non-persistent execution.

Strategic Impact

The recognition of PassCypher at the Intersec Awards 2026 positions Freemindtronic Andorra 🇦🇩 at the forefront of the global transition toward sovereign authentication.
This neutral, interoperable model paves the way for an international standard built on controlled disconnection, embedded cryptology, and structural resilience to quantum threats.

The next section introduces an Enhanced Sovereign Glossary to standardise the technical terminology of the passwordless model — from proof-of-possession to quantum-resilient architecture.

Weaknesses of FIDO / Passkey Systems — Limits and Attack Vectors

The FIDO / passkey protocols represent significant progress in reducing password dependence.
However, and this must be clearly stated, they do not eliminate all vulnerabilities.
Several operational and tactical vectors persist — WebAuthn interception, OAuth persistence, clickjacking via extensions — all of which undermine sovereignty and non-traceability.
It is therefore essential to expose the known weaknesses and, in parallel, highlight sovereign counter-approaches that offer greater structural resilience.

⮞ Observed Weaknesses — Weak Signals within FIDO / WebAuthn Systems

Vulnerabilities of Federated Systems — Sovereign Mitigations

The table below summarises the main vulnerabilities observed in federated authentication systems (OAuth, WebAuthn, extensions) and the mitigation strategies proposed by sovereign RAM-only models.

Vulnerability Impact Exploitation Scenario Sovereign Mitigation
OAuth / 2FA Persistence Session hijacking, prolonged exposure Tokens stored in cloud/client reused by attacker Avoid persistence — use ephemeral RAM-only credentials and local proof-of-possession
WebAuthn Interception Authentication hijack, impersonation Man-in-the-browser / hijacking of registration or auth flow Remove WebAuthn dependency for sovereign contexts — local cryptographic challenge in volatile memory
Extension Clickjacking User action exfiltration, fake prompts Compromised browser extension simulates authentication UI Disable sensitive extensions — prefer hardware validation (NFC / HSM) and absence of browser-based UX
Metadata & Traceability Identity correlation, privacy leaks Identity federation produces exploitable logs and metadata Zero-leakage: no server registry, no sync, key segmentation in volatile memory

⮞ Summary — Why Sovereign Models Mitigate These Weaknesses

RAM-only architectures eliminate exploitation vectors linked to persistence, identity federation, and web interfaces.
They prioritise local proof-of-possession, embedded cryptology, and volatile-memory execution to ensure structural resilience.

⮞ Summary — Why FIDO Alone Is Not Enough for Sovereignty

  • FIDO improves UX-level security but often retains infrastructure dependency (servers, synchronisation).
  • Integration-chain attacks (extensions, OAuth flows, WebAuthn) reveal that the surface remains significant.
  • True sovereignty requires complementary principles: RAM-only execution, physical proof, zero persistence, and local cryptology.

✓ Recommended Sovereign Countermeasures

  • Adopt physical, non-exportable authenticators (NFC / HSM) validated locally.
  • Use ephemeral-first schemes: derivation → use → destruction in RAM.
  • Avoid any cloud synchronisation or storage of keys and metadata.
  • Strictly restrict and audit extensions and client components; prefer hardware UX validation.
  • Document and monitor weak signals (e.g., Tycoon 2FA, DEF CON findings) to adapt security policies.

In summary, while FIDO and passkeys remain valuable for mainstream security, they are insufficient to guarantee digital sovereignty.
For critical contexts, the sovereign alternative — built on local proof-of-possession and volatility — reduces the attack surface and eliminates exfiltration paths tied to cloud and federated systems.

The next section introduces an Enhanced Sovereign Glossary to unify the technical and operational terminology of this doctrine.

FIDO vs TOTP / HOTP — Two Authentication Philosophies

The debate between FIDO and TOTP/HOTP systems illustrates two radically different visions of digital trust.
On one side, FIDO promotes a federated, cloud-centric model based on public/private key pairs tied to identity servers.
On the other, TOTP and HOTP protocols — though older — represent a decentralised and local approach, conceptually closer to the sovereign paradigm.

Doctrinal Comparison — FIDO2 vs TOTP vs RAM-only

The following table highlights the core doctrinal and technical differences between FIDO2/WebAuthn, TOTP/HOTP, and the sovereign RAM-only approach.
It reveals how each model defines trust, cryptologic dependency, and strategic sovereignty.

🔹 Quick Definitions

  • FIDO2 / WebAuthn — Modern authentication standard based on public/private key pairs, managed through a browser or hardware authenticator, requiring a registration server.
  • TOTP / HOTP — One-time password (OTP) protocols based on a locally shared secret and a synchronised computation (time or counter).

🔹 Core Doctrinal Differences

Criterion FIDO2 / WebAuthn TOTP / HOTP Sovereign Approach (RAM-only)
Architecture Server + identity federation (browser, cloud) Local + time/counter synchronisation Offline, no synchronisation, no server
Secret Public/private key pair registered on a server Shared secret between client and server Ephemeral secret generated and destroyed in RAM
Interoperability Limited to FIDO-compatible platforms Universal (RFC 6238 / RFC 4226) Universal (hardware + protocol-independent cryptology)
Network Resilience Dependent on registration service Operates without cloud Designed for air-gapped environments
Sovereignty Low — dependent on major ecosystems Medium — partial control of the secret Total — local autonomy, zero persistence
Quantum-Resistance Dependent on algorithms (non-structural) None — reusable secret Structural — nothing remains to decrypt post-execution

🔹 Strategic Reading

FIDO prioritises UX convenience and global standardisation, but introduces structural dependencies on cloud and identity federation.
OTP protocols (TOTP/HOTP), though dated, retain the advantage of operating offline without browser constraints.
The sovereign model combines the simplicity of OTPs with the cryptologic strength of RAM-only segmentation — it removes shared secrets, replaces them with ephemeral challenges, and guarantees a purely local proof-of-possession.

⮞ Summary — Comparative Doctrine

  • FIDO: centralised architecture, cloud dependency, simplified UX but limited sovereignty.
  • TOTP/HOTP: decentralised and compatible, but vulnerable if the shared secret is exposed.
  • Sovereign RAM-only: merges the best of both — proof-of-possession, non-persistence, zero dependency.

🔹 Perspective

From a digital sovereignty standpoint, the RAM-only model emerges as the conceptual successor to TOTP:
it maintains the simplicity of local computation while eliminating shared secrets and persistent keys.
This represents a doctrinal evolution toward an authentication model founded on possession and volatility — the twin pillars of truly autonomous cybersecurity.

SSH vs FIDO — Two Paradigms of Passwordless Authentication

The history of passwordless authentication did not begin with FIDO — it is rooted in SSH key-based authentication, which has secured critical infrastructures for over two decades.
Comparing SSH and FIDO/WebAuthn reveals two fundamentally different visions of digital sovereignty:
one open and decentralised, the other standardised and centralised.

🔹 SSH — The Ancestor of Sovereign Passwordless

The SSH (Secure Shell) protocol is based on asymmetric key pairs (public / private).
The user holds their private key locally, and identity is verified via a cryptographic challenge.
No password is exchanged or stored — making SSH inherently passwordless.
Moreover, SSH can operate offline during initial key establishment and does not depend on any third-party identity server.

🔹 FIDO — The Federated Passwordless

By contrast, FIDO2/WebAuthn introduces a normative authentication framework where the public key is registered with an authentication server.
While cryptographically sound, this model depends on a centralised infrastructure (browser, cloud, federation).
Thus, FIDO simplifies user experience but transfers trust to third parties (Google, Microsoft, Apple, etc.), thereby limiting sovereignty.

🔹 Doctrinal Comparison

Criterion SSH (Public/Private Key) FIDO2 / WebAuthn Sovereign RAM-only Model
Architecture Direct client/server, local key Federated server via browser Offline, no dependency
User Secret Local private key (non-exportable) Stored in a FIDO authenticator (YubiKey, TPM, etc.) Fragmented, ephemeral in RAM
Interoperability Universal (OpenSSH, RFC 4251) Limited (WebAuthn API, browser required) Universal, hardware-based (NFC / HSM)
Cloud Dependency None Often required (federation, sync) None
Resilience High — offline capable Moderate — depends on provider Structural — no persistent data
Sovereignty High — open-source model Low — dependent on private vendors Total — local proof-of-possession
Quantum-Resistance RSA/ECC vulnerable long term RSA/ECC vulnerable — vendor dependent Structural — nothing to decrypt post-execution

🔹 Doctrinal Analysis

SSH and FIDO represent two distinct doctrines of passwordless identity:

  • SSH: technical sovereignty, independence, simplicity — but lacking a unified UX standard.
  • FIDO: global usability and standardisation — but dependent on centralised infrastructures.

The RAM-only model introduced by PassCypher merges both philosophies:
it preserves the local proof-of-possession of SSH while introducing ephemeral volatility that eliminates all persistence — even within hardware.

⮞ Summary — SSH vs FIDO

  • SSH is historically the first sovereign passwordless model — local, open, and self-hosted.
  • FIDO establishes cloud-standardised passwordless authentication — convenient but non-autonomous.
  • The RAM-only model represents the doctrinal synthesis: local proof-of-possession + non-persistence = full sovereignty.

🔹 Perspective

The future of passwordless authentication extends beyond simply removing passwords:
it moves toward architectural neutrality — a model in which the secret is neither stored, nor transmitted, nor reusable.
The SSH of the 21st century may well be PassCypher RAM-only: a cryptology of possession — ephemeral, structural, and universal.

FIDO vs OAuth / OpenID — The Identity Federation Paradox

Both FIDO2/WebAuthn and OAuth/OpenID Connect share a common philosophy: delegating identity management to a trusted third party.
While this model improves convenience, it introduces a strong dependency on cloud identity infrastructures.
In contrast, the sovereign RAM-only model places trust directly in physical possession and local cryptology, removing all external identity intermediaries.

Criterion FIDO2 / WebAuthn OAuth / OpenID Connect Sovereign RAM-only
Identity Management Local registration server Federation via Identity Provider (IdP) No federation — local identity only
Persistence Public key stored on a server Persistent bearer tokens None — ephemeral derivation and RAM erasure
Interoperability Native via browser APIs Universal via REST APIs Universal via local cryptology
Risks Identity traceability Token reuse / replay No storage, no correlation possible
Sovereignty Limited (third-party server) Low (cloud federation) Total — offline, RAM-only execution

⮞ Summary — FIDO vs OAuth

  • Both models retain server dependency and identity traceability.
  • The sovereign model eliminates identity federation and persistence entirely.
  • It establishes local trust without intermediaries, ensuring complete sovereignty.

TPM vs HSM — The Hardware Trust Dilemma

Hardware sovereignty depends on where the key physically resides.
The TPM (Trusted Platform Module) is built into the motherboard and tied to the manufacturer, while the HSM (Hardware Security Module) is an external, portable, and isolated component.
The sovereign RAM-only model goes one step further by removing even HSM persistence: keys exist only temporarily in volatile memory.

Criterion TPM HSM Sovereign RAM-only
Location Fixed on motherboard External module (USB/NFC) Volatile — memory only
Vendor Dependency Manufacturer-dependent (Intel, AMD…) Independent, often FIPS-certified Fully independent — sovereign
Persistence Permanent internal storage Encrypted internal storage None — auto-erased after session
Portability Non-portable Portable Universal (NFC key / mobile / portable HSM)
Sovereignty Low Medium Total

⮞ Summary — TPM vs HSM

  • TPM depends on the hardware manufacturer and operating system.
  • HSM offers more independence but still maintains persistence.
  • The RAM-only model ensures total hardware sovereignty through ephemeral, non-persistent execution.

FIDO vs RAM-only — Cloud-free Is Not Offline

Many confuse cloud-free with offline.
A FIDO system may operate without the cloud, but it still depends on a registration server and a browser.
The RAM-only model, by contrast, executes and destroys the key directly in volatile memory: no data is stored, synchronised, or recoverable.

Criterion FIDO2 / WebAuthn Sovereign RAM-only
Server Dependency Yes — registration and synchronisation required No — 100% local operation
Persistence Public key persisted on server None — destroyed after execution
Interoperability Limited to WebAuthn Universal — any cryptologic protocol
Quantum Resilience Non-structural Structural — nothing to decrypt
Sovereignty Low Total

⮞ Summary — FIDO vs RAM-only

  • FIDO still depends on browsers and registration servers.
  • RAM-only removes all traces and dependencies.
  • It is the only truly offline and sovereign model.

Password Manager Cloud vs Offline HSM — The True Secret Challenge

Cloud-based password managers promise simplicity and synchronisation but centralise secrets and expose users to large-scale compromise risks.
The Offline HSM / RAM-only approach ensures that identity data never leaves the hardware environment.

Criterion Cloud Password Manager Offline HSM / RAM-only
Storage Encrypted cloud, persistent Volatile RAM, no persistence
Data Control Third-party server User only
Interoperability Proprietary apps Universal (key, NFC, HSM)
Attack Surface High (cloud, APIs, browser) Near-zero — full air-gap
Sovereignty Low Total

⮞ Summary — Cloud vs Offline HSM

  • Cloud models centralise secrets and create systemic dependency.
  • The HSM/RAM-only approach returns full control to the user.
  • Result: sovereignty, security, and GDPR/NIS2 compliance.

FIDO vs Zero Trust — Authentication and Sovereignty

The Zero Trust paradigm (NIST SP 800-207) enforces continuous verification but does not prescribe how authentication should occur.
FIDO partially meets these principles, while the sovereign RAM-only model fully embodies them:
never trust, never store.

Zero Trust Principle FIDO Implementation Sovereign RAM-only Implementation
Verify explicitly Server validates the FIDO key Local validation via proof-of-possession
Assume breach Persistent sessions Ephemeral sessions, RAM-only
Least privilege Cloud role-based access Key segmentation per use (micro-HSM)
Continuous validation Server-based session renewal Dynamic local proof, no persistence
Protect data everywhere Cloud-side encryption Local AES-256-CBC + PGP encryption

⮞ Summary — FIDO vs Zero Trust

  • FIDO partially aligns with Zero Trust principles.
  • The sovereign model fully realises them — with no cloud dependency.
  • Result: a cryptologic, sovereign, RAM-only Zero Trust architecture.

FIDO Is Not an Offline System — Scientific Distinction Between “Hardware Authenticator” and Sovereign HSM

The term “hardware” in the FIDO/WebAuthn framework is often misunderstood as implying full cryptographic autonomy.
In reality, a FIDO2 key performs local cryptographic operations but still depends on a software and server environment (browser, OS, identity provider) to initiate and validate authentication.
Without this software chain, the key is inert — no authentication, signing, or verification is possible.
It is therefore not a true air-gapped system but rather an “offline-assisted” one.

FIDO Model — Doctrinal Diagram

  • Remote server (Relying Party): generates and validates the cryptographic challenge.
  • Client (browser or OS): carries the challenge via the WebAuthn API.
  • Hardware authenticator (FIDO key): signs the challenge using its non-exportable private key.

Thus, even though the FIDO key is physical, it remains dependent on a client–server protocol.
This architecture excludes true cryptographic sovereignty — unlike EviCore sovereign NFC HSMs used by PassCypher.

Doctrinal Comparison — The Five Passwordless Authentication Models

To grasp the strategic reach of the sovereign model, it must be viewed across the full spectrum of passwordless architectures.
Five doctrines currently dominate the global landscape: FIDO2/WebAuthn, Federated OAuth, Hybrid Cloud, Industrial Air-Gap, and Sovereign RAM-only.
The table below outlines their structural differences.

Model Persistence Dependency Resilience Sovereignty
FIDO2 / WebAuthn Public key stored on server Federated server / browser Moderate (susceptible to WebAuthn exploits) Low (cloud-dependent)
Federated OAuth Persistent tokens Third-party identity provider Variable (provider-dependent) Limited
Hybrid Cloud Partial (local cache) Cloud API / IAM Moderate Medium
Industrial Air-gap None Isolated / manual High Strong
Sovereign RAM-only (Freemindtronic) None (zero persistence) Zero server dependency Structural — quantum-resilient Total — local proof-of-possession

⮞ Summary — Position of the Sovereign Model

The sovereign RAM-only model is the only one that eliminates persistence, server dependency, and identity federation.
It relies solely on physical proof-of-possession and embedded cryptology, ensuring complete sovereignty and structural quantum resilience.

FIDO vs PKI / Smartcard — Normative Heritage and Cryptographic Sovereignty

Before FIDO, PKI (Public Key Infrastructure) and Smartcards already formed the backbone of strong authentication.
Guided by standards such as ISO/IEC 29115 and NIST SP 800-63B, they relied on proof-of-possession and hierarchical public key management.
While FIDO2/WebAuthn sought to modernise this legacy by removing passwords, it did so at the cost of increased browser and server dependency.
The sovereign RAM-only model retains PKI’s cryptologic rigour but eliminates persistence and hierarchy: keys are derived, used, and erased — without external infrastructure.

Criterion PKI / Smartcard FIDO2 / WebAuthn Sovereign RAM-only
Core Principle Proof-of-possession via X.509 certificate Challenge-response via browser Offline physical proof, no hierarchy
Architecture Hierarchical (CA / RA) Client-server / browser Autonomous, fully local
Persistence Key stored on card Public key stored on server None — ephemeral in volatile memory
Interoperability ISO 7816, PKCS#11 WebAuthn / proprietary APIs Universal (PGP, AES, NFC, HSM)
Normative Compliance ISO 29115, NIST SP 800-63B Partial (WebAuthn, W3C) Structural — compliant with ISO/NIST frameworks without dependency
Sovereignty High (national cards) Low (FIDO vendors / cloud) Total (local, non-hierarchical, RAM-only)

↪ Heritage and Doctrinal Evolution

The RAM-only sovereign model does not reject PKI; it preserves its proof-of-possession principle while removing hierarchical dependency and persistent storage.
Where FIDO reinterprets PKI through the browser, the sovereign model transcends it — internalising cryptology, replacing hierarchy with local proof, and erasing stored secrets permanently.

⮞ Summary — FIDO vs PKI / Smartcard

  • PKI ensures trust through hierarchy, FIDO through browsers, and the sovereign model through direct possession.
  • RAM-only inherits ISO/NIST cryptographic discipline — but without servers, CAs, or persistence.
  • Result: a post-PKI authentication paradigm — universal, sovereign, and structurally quantum-resilient.

FIDO/WebAuthn vs Username + Password + TOTP — Security, Sovereignty & Resilience

To clarify the debate, this section compares FIDO/WebAuthn with the traditional username + password + TOTP schema, adding the sovereign RAM-only reference.
It evaluates phishing resistance, attack surface, cloud dependency, and execution speed — critical factors in high-security environments such as defence, healthcare, finance, and energy.

🔹 Quick Definitions

  • FIDO/WebAuthn: public-key authentication (client/server) reliant on browsers and registration servers.
  • ID + Password + TOTP: traditional model using static credentials and time-based OTP — simple but vulnerable to MITM and phishing.
  • Sovereign RAM-only (PassCypher HSM PGP): local proof-of-possession with ephemeral cryptology executed in volatile memory — no server, no cloud, no persistence.
Criterion FIDO2 / WebAuthn Username + Password + TOTP Sovereign RAM-only (PassCypher HSM PGP)
Phishing Resistance ✅ Origin-bound (phishing-resistant) ⚠️ OTP phishable (MITM, MFA fatigue) ✅ Local validation — no browser dependency
Attack Surface Browser, extensions, registration servers Brute force, credential stuffing, OTP interception Total air-gap, local RAM challenge
Cloud / Federation Dependency ⚠️ Mandatory registration server 🛠️ Varies by IAM ❌ None — fully offline operation
Persistent Secret Public key stored server-side Password + shared OTP secret ✅ Ephemeral in RAM — zero persistence
User Experience (UX) Good — browser-native integration Slower — manual password & TOTP entry Ultra-fluid: 2–3 clicks (ID + Password) + 1 click for TOTP.
Full authentication ≈ under 4s — no typing, no network exposure.
Sovereignty / Neutrality ⚠️ Browser and FIDO server dependent 🛠️ Medium (self-hostable but persistent) ✅ Total — independent, offline, local
Compliance & Traceability Server-side WebAuthn logs / metadata Access logs, reusable OTPs GDPR/NIS2-compliant — no stored or transmitted data
Quantum Resilience Algorithm-dependent Low — reusable secrets ✅ Structural — nothing to decrypt post-use
Operational Cost FIDO keys + IAM integration Low but high user maintenance Local NFC HSM — one-time cost, zero server maintenance

🔹 Operational Analysis

Manual entry of username, password, and TOTP takes on average 12–20 seconds, with a high risk of human error.
In contrast, PassCypher HSM PGP automates these steps through embedded cryptology and local proof-of-possession:
2–3 clicks for ID + password, plus a third click for TOTP — full authentication in under 4 seconds, with no typing or network exposure.

⮞ Summary — Advantage of the Sovereign Model

  • FIDO removes passwords but depends on browsers and identity servers.
  • TOTP adds temporal security but remains vulnerable to interception and MFA fatigue.
  • PassCypher HSM PGP unites speed, sovereignty, and structural security: air-gap, zero persistence, hardware proof.

✓ Sovereign Recommendations

  • Replace manual password/TOTP entry with a RAM-only HSM module for automated authentication.
  • Adopt an ephemeral-first policy: derive → execute → destroy instantly in volatile memory.
  • Eliminate browser and extension dependencies — validate identities locally via air-gap.
  • Quantify performance gains and human error reduction in critical architectures.

FIDO Hardware with Biometrics (Fingerprint) vs NFC HSM PassCypher — Technical Comparison

Some modern FIDO keys integrate an on-device biometric sensor (match-on-device) to reduce the risk of misuse by third parties.
While this enhancement improves usability, it does not remove the software dependency (WebAuthn, OS, firmware) nor the persistence of private keys stored in the Secure Element.
In contrast, the NFC HSM PassCypher devices combine physical possession, configurable multifactor authentication, and segmented RAM-only architecture, ensuring total independence from server infrastructures.

Verifiable Technical Points

  • Match-on-device: Fingerprints are verified locally within the secure element. Templates are not exported but remain bound to proprietary firmware.
  • Fallback PIN: When biometric verification fails, a PIN or recovery phrase is required to access the key.
  • Liveness / Anti-spoofing: Resistance to fingerprint spoofing varies by manufacturer. Liveness detection algorithms are not standardised nor always disclosed.
  • Credential Persistence: FIDO private keys are stored permanently inside a secure element — they persist after usage.
  • Interface Dependency: FIDO relies on WebAuthn and requires a server interaction for validation, preventing full air-gap operation.

Comparative Table

Criterion Biometric FIDO Keys NFC HSM PassCypher
Secret Storage Persistent in secure element ⚠️ Segmented AES-256-CBC encryption; volatile keys erased after execution
Biometrics Match-on-device; local template; fallback PIN. Liveness check varies by vendor; methods are not standardised or always disclosed. 🛠️ Managed via NFC smartphone; combinable with contextual factors (e.g., geolocation zone).
Storage Capacity Limited credentials (typically 10–100 depending on firmware) Up to 100 secret labels (e.g. 50 TOTP + 50 ID/Password pairs)
Air-gap Capability No — requires browser, OS, and WebAuthn server Yes — fully offline architecture, zero network dependency
MFA Policies Fixed by manufacturer: biometrics + PIN Fully customisable: up to 15 factors and 9 trust criteria per secret
Post-compromise Resilience Residual risk if device and PIN are compromised No persistent data after session (RAM-only)
Cryptographic Transparency Proprietary firmware and algorithms Documented and auditable algorithms (EviCore / PassCypher)
UX / User Friction Requires WebAuthn + browser + OS; fallback PIN required 🆗 TOTP: manual PIN entry displayed on Android NFC app (standard OTP behaviour).
ID + Password: contactless auto-fill secured by NFC pairing between smartphone and Chromium browser.
Click field → encrypted request → NFC pass → field auto-filled.

Factual Conclusion

Biometric FIDO keys improve ergonomics and reduce casual misuse, but they do not alter the persistent nature of the model.
NFC HSM PassCypher, with their RAM-only operation, segmented cryptography, and zero server dependency, deliver a sovereign, auditable, and contextual solution for strong authentication without external trust.

Comparative UX Friction — Hardware Level

Ease of use is a strategic factor in authentication adoption. The following table compares hardware devices based on friction level, software dependency, and offline capability.

Hardware System User Friction Level Usage Details
FIDO Key (no biometrics) ⚠️ High Requires browser + WebAuthn server + physical button. No local control.
FIDO Key with Biometrics 🟡 Medium Local biometric + fallback PIN; depends on firmware and browser integration.
Integrated TPM (PC) ⚠️ High Transparent for user but system-bound, non-portable, not air-gapped.
Standard USB HSM 🟡 Medium Requires insertion, third-party software, and often a password. Limited customisation.
Smartcard / Chip Card ⚠️ High Needs physical reader, PIN, and middleware. High friction outside managed environments.
NFC HSM PassCypher ✅ Low to None Contactless use; automatic ID/Password filling; manual PIN for TOTP (standard OTP behaviour).

Strategic Reading

  • TOTP: Manual PIN entry is universal across OTP systems (Google Authenticator, YubiKey, etc.). PassCypher maintains this logic — but fully offline and RAM-only.
  • ID + Password: PassCypher uniquely provides contactless auto-login secured by cryptographic pairing between NFC smartphone and Chromium browser.
  • Air-gap: All other systems depend on an OS, browser, or server. PassCypher is the only one that operates in a 100% offline mode, including for auto-fill operations.

⮞ Summary

PassCypher NFC HSM achieves the lowest friction level possible for a sovereign, secure, and multifactor authentication system.
No other hardware model combines:

  • RAM-only execution
  • Contactless auto-login
  • Up to 15 configurable factors
  • Zero server dependency
  • Fluid UX on Android and PC

Sovereign Multifactor Authentication — The PassCypher NFC HSM Model

Beyond a hardware comparison, the PassCypher NFC HSM model, based on EviCore NFC HSM technology, embodies a true sovereign multifactor authentication doctrine.
It is founded on segmented cryptology and volatile memory, where each secret acts as an autonomous entity protected by encapsulated AES-256-CBC encryption layers.
Each derivation depends on contextual, physical, and logical criteria.
Even if one factor is compromised, the secret remains indecipherable without full reconstruction of the segmented key.

Architecture — 15 Modular Factors

Each NFC HSM PassCypher module can combine up to 15 authentication factors, including 9 configurable dynamic trust criteria per secret.
This granularity surpasses FIDO, TPM, and PKI standards, granting the user verifiable, sovereign control over their access policies.

Factor Description Purpose
1️⃣ NFC Pairing Key Authenticates the Android terminal using a unique pairing key. Initial HSM access.
2️⃣ Anti-counterfeit Key Hardware ECC BLS12-381 128-bit key integrated in silicon. HSM authenticity and exchange integrity.
3️⃣ Administrator Password Protects configuration and access policies. Hierarchical control.
4️⃣ User Password / Biometric Local biometric or cognitive factor on NFC smartphone. Interactive user validation.
5–13️⃣ Contextual Factors Up to 9 per secret: geolocation, BSSID, secondary password, device fingerprint, barcode, phone ID, QR code, time condition, NFC tap. Dynamic multi-context protection.
14️⃣ Segmented AES-256-CBC Encryption Encapsulation of each factor within a segmented key. Total cryptographic isolation.
15️⃣ RAM-only Erasure Instant destruction of derived keys post-use. Removes post-session attack vectors.

Cryptographic Doctrine — Segmented Key Encapsulation

The system is based on independent cryptographic segments, where each trust label is encapsulated and derived from the main key.
No session key exists outside volatile memory, guaranteeing non-reproducibility and non-persistence of secrets.

Cryptographic Outcomes

  • PGP AES-256-CBC encapsulation of each segment
  • No data persisted outside volatile memory
  • Combinatorial multifactor authentication
  • Native protection against cloning and reverse engineering
  • Post-quantum resilience by segmented design

This architecture positions PassCypher NFC HSM as the first truly sovereign, auditable, and non-persistent authentication model
fully operational without servers or external trust infrastructures.
It defines a new benchmark for post-quantum security and sovereign passwordless standardisation.

Zero Trust, Compliance, and Sovereignty in Passwordless Authentication

The sovereign passwordless model does not oppose the Zero Trust paradigm — it extends it.
Designed for environments where verification, segmentation, and non-persistence are essential, it translates the principles of NIST SP 800-207 into a hardware-based, disconnected logic.

Zero Trust Principle (NIST) Sovereign Implementation
Verify explicitly Local proof-of-possession via physical key
Assume breach Ephemeral RAM-only sessions — instant destruction
Least privilege Keys segmented by purpose (micro-HSM)
Continuous evaluation Dynamic authentication without persistent sessions
Protect data everywhere Embedded AES-256-CBC / PGP encryption — off-cloud
Visibility and analytics Local audit without persistent logs — RAM-only traceability

⮞ Summary — Institutional Compliance

The sovereign model is inherently compliant with GDPR, NIS2, DORA and ISO/IEC 27001 frameworks:
no data is exported, retained, or synchronised.
It exceeds Zero Trust principles by eliminating persistence itself and ensuring local traceability without network exposure.

Passwordless Timeline — From FIDO to Cryptologic Sovereignty

  • 2009: Creation of the FIDO Alliance.
  • 2014: Standardisation of FIDO UAF/U2F.
  • 2015: Freemindtronic Andorra 🇦🇩 launches the first NFC HSM PassCypher — an offline, passwordless authentication system based on proof-of-physical-possession.
    A foundational milestone in the emergence of a sovereign civilian model.
  • 2017: Integration of the WebAuthn standard within the W3C.
  • 2020: Introduction of passkeys (Apple/Google) and the first major cloud dependencies.
  • 2021: EviCypher — an authentication system using segmented cryptographic keys — wins the Gold Medal at the Geneva International Inventions Exhibition.
    Based on cryptographic fragmentation and volatile memory, it becomes the core technology powering PassCypher NFC HSM and PassCypher HSM PGP ecosystems.
  • 2021: PassCypher NFC HSM receives the Most Innovative Hardware Password Manager award at the RSA Conference 2021 Global InfoSec Awards, confirming the maturity of the civilian offline model.
  • 2022: Presentation at Eurosatory 2022 of a version dedicated to sovereign and defense use
    the PassCypher HSM PGP, featuring RAM-only architecture and EviCypher segmented cryptography, offering structural quantum resilience.
  • 2023: Public identification of vulnerabilities in WebAuthn, OAuth, and passkeys highlights the necessity of a truly sovereign offline model.
  • 2026: PassCypher is selected as an Intersec Awards finalist in Dubai, recognised as the Best Cybersecurity Solution for its civilian RAM-only sovereign model.

⮞ Summary — The Path Toward Cryptologic Sovereignty

From 2015 to 2026, Freemindtronic Andorra 🇦🇩 has built a sovereign continuum of innovation:
the invention of the NFC HSM PassCypher (civilian), the EviCypher technological foundation (Geneva Gold Medal 2021), international recognition (RSA 2021),
the RAM-only sovereign defense model (Eurosatory 2022), and institutional consecration (Intersec 2026).
This trajectory establishes the sovereign passwordless doctrine as a dual-use standard — civil and defense — based on proof-of-possession and segmented volatile cryptology.

Interoperability and Sovereign Migration

Organisations can progressively adopt the sovereign model without disruption.
Migration occurs in three phases:
hybrid (FIDO + local coexistence), air-gapped (offline validation), then sovereign (RAM-only).
Integrated NFC and HSM modules ensure backward compatibility while eliminating cloud dependencies.

✓ Sovereign Migration Methodology

  1. Identify cloud dependencies and OAuth federations.
  2. Introduce local PassCypher modules (HSM/NFC).
  3. Activate local proof-of-possession for critical access.
  4. Remove remaining synchronisations and persistence layers.
  5. Validate GDPR/NIS2 compliance through sovereign audit.

This model ensures backward compatibility, operational continuity, and a smooth transition toward cryptologic sovereignty.

Weak Signals — Quantum and AI

The acceleration of quantum computing and generative AI introduces unprecedented security challenges.
The sovereign model distinguishes itself through intrinsic resilience — it does not rely on computational strength but on the controlled disappearance of the secret.

  • Quantum Threats: Persistent PKI architectures become vulnerable to factorisation attacks.
  • AI-driven Attacks: Biometric systems can be bypassed using deepfakes or synthetic models.
  • Structural Resilience: The sovereign model avoids these threats by design — there is nothing to decrypt or reproduce.

⮞ Summary — Post-Quantum Doctrine

True resistance does not emerge from a new post-quantum algorithm, but from a philosophy:
the principle of the ephemeral secret.
This concept could inspire future European and international standards for sovereign passwordless authentication.

Official and Scientific Definitions of Passwordless

Understanding the term passwordless requires distinguishing between institutional definitions (NIST, ISO, Microsoft) and the scientific foundations of authentication.
These definitions demonstrate that passwordless authentication is not a product, but a method — based on proof of possession, proof of knowledge, and proof of existence of the user.

🔹 NIST SP 800-63B Definition

According to NIST SP 800-63B — Digital Identity Guidelines:

“Authentication establishes confidence in the identities of users presented electronically to an information system. Each authentication factor is based on something the subscriber knows, has, or is.”

In other words, authentication relies on three factor types:

  • Something you know — knowledge: a secret, PIN, or passphrase.
  • Something you have — possession: a token, card, or hardware key.
  • Something you are — inherence: a biometric or physical trait.

🔹 ISO/IEC 29115:2013 Definition

The ISO/IEC 29115 defines the Entity Authentication Assurance Framework (EAAF), which specifies four assurance levels (IAL, AAL, FAL) based on factor strength and independence.
AAL3 represents multi-factor passwordless authentication combining possession and inherence through a secure hardware token.
The PassCypher model aligns with the AAL3 logic — with no persistence or server dependency.

🔹 Microsoft Definition — Passwordless Authentication

From Microsoft Entra Identity documentation:

“Passwordless authentication replaces passwords with strong two-factor credentials resistant to phishing and replay attacks.”

However, these implementations still rely on cloud identity services and federated trust models — limiting sovereignty.

🔹 Doctrinal Synthesis

All definitions converge on one point:
Passwordless does not mean “without secret,” but rather “without persistent password.”
In a sovereign model, trust is local — proof is rooted in physical possession and ephemeral cryptology, not centralised identity.

⮞ Summary — Official Definitions

  • NIST defines three factors: know / have / are.
  • ISO 29115 formalises AAL3 as the reference for passwordless assurance.
  • Microsoft describes a phishing-resistant model, but still cloud-federated.
  • The Freemindtronic sovereign model transcends these by eliminating persistence and network dependency.

Sovereign Glossary (Enriched)

This glossary presents the key terms of sovereign passwordless authentication, founded on possession, volatility, and cryptologic independence.

Term Sovereign Definition Origin / Reference
Passwordless Authentication without password entry, based on possession and/or inherence, with no persistent secret. NIST SP 800-63B / ISO 29115
Sovereign Authentication No cloud, server, or federation dependency; validated locally in volatile memory. Freemindtronic Doctrine
RAM-only All cryptographic execution occurs in volatile memory only; no persistent trace. EviCypher (Geneva Gold Medal 2021)
Proof of Possession Validation through physical object (NFC key, HSM, card) ensuring real presence. NIST SP 800-63B
Segmented Key Key divided into volatile fragments, recomposed on demand without persistence. EviCypher / PassCypher
Quantum-resilient (Structural) Resilience achieved through absence of exploitable data post-execution. Freemindtronic Doctrine
Air-gapped System physically isolated from networks, preventing remote interception. NIST Cybersecurity Framework
Sovereign Zero Trust Extension of the Zero Trust model integrating disconnection and volatility as proof mechanisms. Freemindtronic Andorra 🇦🇩
Embedded Cryptology Encryption and signature operations executed directly on hardware (NFC, HSM, SoC). Freemindtronic Patent FR 1656118
Ephemerality (Volatility) Automatic destruction of secrets after use; security through erasure. Freemindtronic Andorra 🇦🇩 / RAM-only Doctrine

⮞ Summary — Unified Terminology

This glossary defines the foundational terminology of the sovereign passwordless doctrine,
distinguishing federated passwordless models from cryptologically autonomous architectures based on possession, volatility, and non-persistence.

Frequently Asked Questions — Sovereign Passwordless Authentication

What is sovereign passwordless authentication?

Core principle

Sovereign passwordless authentication operates entirely offline — no server, no cloud.
Verification relies on proof of possession (NFC/HSM) and RAM-only cryptology with zero persistence.

Why it matters

Trust is local, independent of any identity federation, enhancing digital sovereignty and reducing attack surfaces.

Key takeaway

Hardware validation, volatile memory execution, and zero data retention.

Important distinction

FIDO2/WebAuthn requires server registration and a federated browser.
The sovereign model performs the entire challenge in RAM, with no storage or sync.

Result

Quantum-resilient by design: after execution, nothing remains to decrypt.

Takeaway

Fewer intermediaries, more autonomy and control.

Definition

RAM-only means all cryptographic operations occur entirely in volatile memory.

Security impact

When the session ends, everything is destroyed — zero persistence, zero trace, zero reuse.

Key insight

Drastically reduces post-execution and exfiltration risks.

Principle

The user proves they physically possess a device (NFC key, HSM, or card). No memorised secret is required.

Advantage

Local hardware validation and network independence enable true sovereign passwordless authentication.

Essential idea

“What you have” replaces both passwords and federated identities.

Official framework

The NIST triad (know / have / are) is respected. ISO/IEC 29115 defines this as AAL3 (possession + inherence via hardware token).

The sovereign extension

Freemindtronic enhances this through zero persistence and RAM-only execution.

Key takeaway

Principle-level compliance, implementation-level independence.

Clear distinction

Passwordless = no entry of passwords.
Password-free = no storage of passwords.

Sovereign enhancement

Combines both: no entry, no persistence, local proof of possession.

Memorable point

Fewer dependencies, greater operational integrity.

Initial steps

  1. Audit cloud/OAuth dependencies.
  2. Deploy PassCypher NFC/HSM modules.
  3. Activate proof of possession for critical access.
  4. Remove synchronisation mechanisms.
  5. Validate GDPR/NIS2/DORA compliance.

Outcome

Gradual transition, continuous service, strengthened sovereignty.

Key concept

Ephemeral-first method: derive → use → destroy (RAM-only).

Core concept

Security is not only algorithmic — it’s based on the absence of exploitable material.

Mechanism

Key segmentation + volatility = no lasting secret after execution.

What to remember

Resilience through design, not brute cryptographic strength.

Main domains

Defense, Healthcare, Finance, Energy, and critical infrastructures.

Why

Need for offline operation, zero persistence, and proof of possession for compliance and exposure reduction.

Reference

See: PassCypher — Intersec 2026 finalist.

Yes

The PassCypher ecosystem (NFC HSM & HSM PGP) delivers RAM-only sovereign passwordless authentication — universal, offline, cloud-free, server-free, and federation-free.

Immediate benefits

Operational sovereignty, reduced attack surface, long-term compliance.

Key message

A practical, deployable path toward sovereign passwordless authentication.

Further Reading — Deepening Sovereignty in Passwordless Authentication

To explore the strategic scope of the sovereign passwordless model in greater depth, it is essential to understand how RAM-only cryptographic architectures are reshaping cybersecurity in a lasting way.
Through its innovations, Freemindtronic Andorra 🇦🇩 illustrates a coherent continuum: invention → doctrine → recognition.

🔹 Freemindtronic Internal Resources

🔹 Complementary Institutional References

🔹 Doctrinal Perspectives

The sovereign passwordless model does more than strengthen security — it defines a universal, neutral, and interoperable trust framework.
It prefigures the emergence of a European doctrine of sovereign authentication, structured around embedded cryptology, proof of possession, and controlled volatility.

⮞ Summary — Going Further

  • Explore the convergence between RAM-only and Zero Trust models.
  • Analyse cryptologic sovereignty in contrast to federated identity frameworks.
  • Follow the ongoing ISO/NIST standardisation of the sovereign passwordless model.
  • Assess quantum and AI impacts on decentralised authentication.

Manifesto Quote on Passwordless Authentication

“Passwordless does not mean the absence of a password — it means the presence of sovereignty:
the sovereignty of the user over their identity, of cryptology over the network, and of volatile memory over persistence.”
— Jacques Gascuel, Freemindtronic Andorra 🇦🇩

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Générateur de mots de passe souverain – PassCypher Secure Passgen WP

Affiche réaliste du générateur de mots de passe souverain PassCypher Secure Passgen WP pour WordPress, illustrant la génération locale, éthique et cryptographique de mots de passe sans cloud.

Générateur de mots de passe souverain PassCypher Secure Passgen WP pour WordPress — le premier générateur 100 % local et éthique, conçu pour redéfinir la souveraineté numérique. À l’heure où la cybersécurité mondiale dépend encore de services en ligne et de clouds étrangers, cet outil libre d’accès transforme WordPress en un espace de création de secrets cryptographiques indépendant, respectueux de la vie privée et fondé sur une cryptographie transparente et vérifiable.

 

Résumé express — Le générateur de mots de passe souverain au service de la souveraineté numérique WordPress

⮞ En bref

Cette lecture rapide (≈ 4 minutes) présente PassCypher Secure Passgen WP : un générateur de mots de passe et de phrases secrètes 100 % côté client, sans appel serveur, sans cookies ni traceurs.

⚙ Concept clé

Chaque mot de passe est généré exclusivement dans le navigateur grâce à l’API Web Crypto.
Aucune donnée n’est transmise : tout est produit et effacé en mémoire volatile, garantissant autonomie et confidentialité.

Une offre libre mais souveraine

Le plugin est offert à la communauté WordPress dans l’esprit de PassCypher Free, tout en imposant une attribution visible à PassCypher® by Freemindtronic Andorra.
Cette clause protège l’intégrité éditoriale et technologique du projet.

En pratique

  • Génération locale via crypto.getRandomValues()
  • Copie sécurisée dans le presse-papiers (navigator.clipboard.writeText())
  • Export optionnel en ZIP chiffré (AES-GCM / PBKDF2)
  • Compatibilité totale avec les thèmes enfants

Message stratégique

En fusionnant liberté d’usage et souveraineté d’origine, Freemindtronic démontre qu’un outil open-source peut rester souverain sans dépendre d’aucune infrastructure centralisée.

Paramètres de lecture

Durée express : ≈ 4 min
Durée avancée : ≈ 6 min
Durée intégrale : ≈ 35 min
Mise à jour : 2025-10-06
Complexité : Avancée / Expert
Densité technique : ≈ 72 %
Langues : FR · EN · ES · CAT
Rubriques : Sécurité numérique · Actualités techniques

Note éditoriale — Cette chronique est vivante et évolutive.

Badge dynamique “Powered by PassCypher WP”

Le plugin PassCypher Secure Passgen WP intègre un badge dynamique local, affiché uniquement si le plugin est actif côté client. Ce badge est injecté automatiquement, sans appel serveur ni téléchargement manuel, et accompagné d’un hash local unique calculé à partir du nom de domaine, de la version du plugin et d’un timestamp.

Ce mécanisme garantit que le badge ne peut pas être affiché frauduleusement, tout en respectant la doctrine Zero-DOM et la souveraineté technique.

Voir la clause d’attribution — elle encadre l’usage du badge et interdit toute utilisation hors contexte souverain.

📷 Illustration du type de badge:

Badge jpg officiel “Powered by PassCypher WP” — générateur de mots de passe souverain 100 % local signé Freemindtronic Andorra

Résumé avancé — Architecture WordPress du générateur de mots de passe souverain

⮞ En détail

Ce résumé technique (≈ 6 min) expose la structure interne du plugin, sa logique de sécurité et sa compatibilité avec les thèmes enfants WordPress. Vous pouvez vous rendre directement à la lecture de la chronique complete.

Architecture technique du générateur de mots de passe cryptographique

  • Génération : crypto.getRandomValues() avec typage binaire pour éliminer le biais statistique.
  • Entropie : longueur × log2(|charset|) (ou mots × log2 du dictionnaire).
  • Chiffrement : PBKDF2(SHA-256, 200 000 itérations)AES-GCM(256).
  • Export ZIP : création mémoire (JSZip) + suppression immédiate des ObjectURL.
  • Hygiène mémoire : écrasement, nullification, effacement auto après 90 s.
  • CSP recommandé : default-src 'self'; object-src 'none' + SRI CDN.

Intégration WordPress du générateur souverain

  • Shortcode : [ secure_pw_generator ] — logique JS isolée, aucun secret dans le DOM.
  • Compatibilité thèmes enfants : détection automatique JS/CSS de remplacement.
  • 0 base de données, 0 cookie, 0 appel externe.

Alternative souveraine du générateur autonome

Ce code open-source est protégé par une clause éthique qui indique que toute redistribution ou fork doit afficher clairement “PassCypher­™ by Freemindtronic Andorra”. Ceci afin de garantir la traçabilité et la continuité souveraine du projet.

Badge officiel “Powered by PassCypher WP” — générateur de mots de passe souverain 100 % local signé Freemindtronic Andorra
Badge officiel “Powered by PassCypher WP” — symbole de souveraineté numérique et de génération locale de mots de passe dans WordPress.

Code source

GitHub — PassCypher Secure Passgen WP

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In sovereign cybersecurity ↑ This chronicle belongs to the Digital Security section for its zero-trust countermeasures, and to Technical News for its scientific contribution: segmented architectures, AES-256 CBC, volatile memory, and key self-destruction.

Points clés

  • 100 % client-side : aucune donnée ne quitte le navigateur.
  • Chiffrement complet en mémoire (AES-GCM / PBKDF2) : zéro stockage persistant.
  • Compatibilité totale avec les thèmes enfants WordPress.
  • Attribution souveraine : Freemindtronic Andorra comme signature d’éthique.
  • Cryptographie libre, traçable et indépendante.

Pourquoi ce générateur de mots de passe souverain est unique

Le PassCypher Secure Passgen WP n’est pas un plugin de plus dans l’écosystème WordPress.
C’est une démonstration de souveraineté technologique appliquée à la génération de secrets numériques, dans le respect absolu de la vie privée et des standards cryptographiques modernes.

  • Pas un simple plugin de confort — il ne se contente pas de générer des mots de passe : il démontre qu’un code peut être transparent, vérifiable et souverain, sans dépendre d’aucune infrastructure centralisée.
  • Pas de dépendance — aucune API, aucun appel réseau, aucune bibliothèque externe non auditée.
    Tout le code est exécuté côté client, dans le navigateur, via window.crypto, garantissant une indépendance totale vis-à-vis du cloud et des prestataires tiers.
  • Pas de risque de fuite — les secrets sont générés et détruits en mémoire volatile (RAM ephemeral), jamais écrits dans le DOM, jamais sauvegardés, jamais transmis.
    L’exécution est isolée, auto-contenue, et suit les principes du zero trust.
  • Pas de tracking — aucune télémétrie, aucun cookie, aucun pixel.
    Ce plugin respecte par conception le RGPD et applique les doctrines privacy-by-design et privacy-by-default.
  • Pas de monopole — le code est libre, forkable et intégrable sans contrainte commerciale.
    Cependant, la clause d’attribution visible protège la paternité de Freemindtronic Andorra et empêche tout rebranding opaque, garantissant la traçabilité éthique du projet.
  • Pas de superflu — aucun tableau de bord inutile, aucun stockage en base de données, aucun script tiers.
    Tout est pensé pour la robustesse, la simplicité et la transparence.
  • Pas de frontière — il s’intègre dans tout environnement WordPress, y compris en mode local, intranet, multisite, ou déconnecté, sans adaptation ni licence requise.

En réunissant indépendance technologique, minimalisme fonctionnel et éthique souveraine,
PassCypher Secure Passgen WP devient la preuve tangible qu’une cybersécurité fiable peut exister sans cloud, sans serveur et sans compromis.

Le manifeste technique et souverain du PassCypher Secure Passgen WP

⮞ Objectif

Documenter la genèse, les principes cryptographiques et les garanties de souveraineté du PassCypher Secure Passgen WP, un outil conçu pour un Internet décentralisé, sécurisé et respectueux de la vie privée.

Architecture cryptographique détaillée

  • Génération aléatoire : crypto.getRandomValues() alimente un tableau typé Uint8Array pour obtenir une entropie parfaite. Chaque octet est mappé sur le jeu de caractères sélectionné via un rejection sampling afin d’éliminer tout biais statistique.
  • Entropie estimée : bits = longueur × log2(|charset|) ou, en mode passphrase, bits = nombre_mots × log2(|dictionnaire|). L’interface affiche une jauge de force (faible à très forte) sans stocker les valeurs.
  • Copie sécurisée : navigator.clipboard.writeText() copie la valeur dans le presse-papiers sans jamais l’inscrire dans le DOM ni l’attribut value.
  • Export ZIP sécurisé : utilisation de JSZip pour créer un fichier ZIP en mémoire contenant secret.enc et meta.json. Le contenu est chiffré côté client avec :
    • PBKDF2(SHA-256, 200 000 itérations) pour la dérivation de clé ;
    • AES-GCM(256) pour le chiffrement authentifié ;
    • inclusion du salt et du IV dans meta.json.
  • Hygiène mémoire : après 90 secondes ou sur action manuelle, le tableau d’octets est écrasé, les références sont nullifiées et tout ObjectURL est révoqué.

Implémentation WordPress native

  • Shortcode : [secure_pw_generator] — minimaliste et sémantique.
  • Compatibilité automatique avec les thèmes enfants : surcharge des fichiers JS/CSS détectée à l’exécution.
  • Aucun stockage serveur, aucune base de données, aucun cookie ni traçage analytique.
  • Conformité CSP : script-src 'self'; object-src 'none' + SRI pour JSZip (CDN).

Attribution souveraine & intégrité du projet

Le PassCypher Secure Passgen WP est un logiciel libre et ouvert, mais sous une licence éthique renforcée.
Tout usage, redistribution ou adaptation doit maintenir la mention visible suivante :

PassCypher® by Freemindtronic Andorra — Souveraineté cryptographique et intégrité d’origine.

Cette règle garantit :

  • La protection de la paternité technique et éditoriale ;
  • La traçabilité du code dans les forks et intégrations ;
  • Le maintien d’un standard souverain dans la cryptographie client-side.

Code source et distribution

Dépôt GitHub officiel — PassCypher Secure Passgen WP
Le dépôt inclut le code, la documentation, les tests d’acceptation, le manifeste d’attribution et les inserts README / LICENSE.

Modèle de menace

  • Surface locale : extensions navigateur, scripts tiers, XSS, clipboard durci (copie sans DOM).
  • Attaques réseau : inexistantes côté plugin (zéro appel externe), seules les couches WordPress/HTTP comptent.
  • RNG & entropie : window.crypto.getRandomValues(), rejet des biais (rejection sampling).
  • Exposition : aucun secret dans le DOM, buffers volatiles, purge auto à 90 s.
  • Chaîne d’outils : pas d’API, pas de cloud, pas de télémétrie.

Intégration WordPress — Child themes, multisite, zéro DOM

⮞ Une intégration native, sans dépendances externes

  • Shortcode universel : [secure_pw_generator] — rendu minimal, aucune donnée serveur.
  • Child themes : surcharge automatique si /assets/js/passgen.js ou /assets/css/passgen.css existent dans le thème enfant.
  • Multisite-ready : aucune configuration additionnelle, activation réseau possible.
  • No-DOM secrets : pas d’input/textarea avec value, pas de data-*, pas de commentaires HTML contenant des secrets.
  • Cache/CDN : compatible WP Rocket, LiteSpeed, Cloudflare — aucun appel externe.

Recommandations pratiques

  • HTTPS obligatoire (Clipboard API, WebCrypto sécurisés).
  • CSP stricte : default-src 'self'; script-src 'self'; style-src 'self' 'unsafe-inline'; object-src 'none'. SRI si CDN JSZip.
  • Accessibilité : aria-live pour les statuts, focus clair sur les boutons.

Clarification sur le fonctionnement hors ligne du générateur de mots de passe souverain

Le terme « offline », dans le contexte du plugin PassCypher Secure Passgen WP, ne signifie pas que l’utilisateur peut générer des mots de passe sans aucune connexion Internet, quelle que soit la configuration.

Il signifie que :

  • Le plugin n’a aucune dépendance réseau : il n’appelle ni serveur, ni API distante, ni CDN.
  • Toutes les opérations sont exécutées localement dans le navigateur, via l’API window.crypto, sans transmission ni stockage.

Cependant, pour accéder à l’interface du plugin, l’utilisateur doit être connecté au site WordPress qui l’héberge — sauf si ce site est installé en local (par exemple sur localhost, un intranet ou un serveur privé).

Autrement dit : le plugin est offline-ready, mais non autoporté.
Il ne fonctionne pas en dehors de WordPress, et WordPress lui-même doit être accessible — soit en ligne, soit en local.

Résumé : Le générateur PassCypher fonctionne intégralement côté client, sans dépendance réseau, mais il a besoin d’un environnement WordPress actif pour être chargé. Il reste donc 100 % local dans son exécution, même si l’accès au plugin passe par le site WordPress.

Attribution souveraine — Transparence, traçabilité et badge du générateur de mots de passe souverain

⮞ Raison d’être

Le projet PassCypher Secure Passgen WP est libre et ouvert, mais il impose une attribution visible afin de préserver son intégrité éditoriale, éthique et technologique.
Cette mention assure la traçabilité souveraine du code et empêche toute appropriation trompeuse :

🔐 Powered by PassCypher® — Freemindtronic Andorra

  • Empêche le rebranding opaque tout en autorisant les forks et adaptations éthiques.
  • Garantit la traçabilité et la continuité souveraine du projet open source.
  • Préserve la cohérence du modèle no-cloud et zero-DOM.

Badge dynamique local vérifiable du générateur de mots de passe souverain

Objectif — Garantir l’authenticité du badge “Powered by PassCypher® WP” et empêcher tout affichage frauduleux sur des sites n’utilisant pas le vrai plugin.

Le générateur de mots de passe souverain PassCypher Secure Passgen WP inclut un badge dynamique local vérifiable, conçu pour confirmer visuellement l’exécution légitime du plugin côté client.
Ce badge repose sur une logique 100 % locale et souveraine, sans appel réseau, sans clé secrète et sans collecte de données.

🔧 Fonctionnement du badge souverain

  • Affichage conditionnel — Le badge s’affiche uniquement si le plugin est actif et initialisé côté client. Il reste invisible si le code source est modifié, falsifié ou inactif.
  • Injection locale — Le badge est généré dans le navigateur, via JavaScript, sans aucune ressource externe (CDN, API ou serveur distant).
  • Hash de vérification éphémère — Un hash SHA-256 est calculé localement à partir de trois éléments :
    • la version du plugin,
    • le nom de domaine WordPress de l’instance,
    • et un horodatage local unique.

    Chaque hash est différent à chaque exécution, empêchant toute réutilisation frauduleuse.

  • Non transmissible — Le hash n’est ni envoyé ni sauvegardé : il n’a qu’une fonction d’attestation visuelle et pédagogique.

💻 Exemple de logique JavaScript minimaliste


(function() {
  if (typeof PassCypherWP !== 'undefined' && PassCypherWP.active === true) {
    const badgeContainer = document.createElement('div');
    badgeContainer.id = 'passcypher-badge';
    badgeContainer.innerHTML = 'Powered by PassCypher WP';

    const pluginVersion = PassCypherWP.version;
    const domain = window.location.hostname;
    const timestamp = new Date().toISOString();
    const raw = `${pluginVersion}:${domain}:${timestamp}`;

    crypto.subtle.digest('SHA-256', new TextEncoder().encode(raw)).then(hashBuffer => {
      const hashArray = Array.from(new Uint8Array(hashBuffer));
      const hashHex = hashArray.map(b => b.toString(16).padStart(2, '0')).join('');
      badgeContainer.title = 'Badge vérifié localement : ' + hashHex.slice(0, 16) + '…';
      document.body.appendChild(badgeContainer);
    });
  }
})();

Clause d’usage éthique et souveraine

Le badge dynamique local “Powered by PassCypher® WP — Freemindtronic Andorra” fait partie intégrante de la licence éthique souveraine du projet.
Toute intégration ou redistribution du plugin doit respecter les principes suivants :

  • Le badge ne peut être affiché que par une instance authentique du plugin en fonctionnement réel.
  • Toute falsification, suppression ou détournement du badge constitue une violation de la licence d’attribution.
  • Le hash local est purement indicatif et ne peut être utilisé à des fins d’identification, de suivi ou de traçage.

Ce mécanisme allie simplicité, souveraineté et efficacité. Il renforce la doctrine Zero-DOM et le modèle Zero-Trust de PassCypher Secure Passgen WP, garantissant qu’aucun site ne puisse se revendiquer frauduleusement comme une instance souveraine sans exécution réelle du code.

Alternative souveraine — Usage universel sans dépendance

Ce plugin n’est pas un gestionnaire de mots de passe. Il répond à un besoin précis : produire des secrets robustes, localement, sans stockage, sans transmission, et sans dépendance à un service ou produit tiers.

Il fonctionne de manière totalement autonome : sans serveur, sans base de données, sans mot de passe maître, et sans création de compte. Il ne nécessite ni abonnement, ni licence, ni activation d’un module externe — qu’il soit gratuit ou payant.

Son architecture garantit une exécution locale, hors DOM, conforme aux doctrines zero trust et quantum-safe. Il est accessible à tous, sans condition, et peut être utilisé librement dans tout environnement WordPress compatible.

Garantie d’usage souverain

Ce plugin repose sur une architecture strictement locale et déconnectée. Il ne collecte aucune donnée, ne transmet aucune information, et ne conserve aucun historique d’usage.

  • Zero collecte de données — aucune interaction avec un serveur, une base de données ou un service tiers.
  • Exécution 100 % anonymisée — aucune identification, aucun traçage, aucune création de compte.
  • Sans publicité — aucune insertion commerciale, aucun tracking, aucun lien promotionnel.
  • Sans dépendance — aucune obligation d’utiliser un produit ou service tiers, qu’il soit gratuit ou payant.
  • Respect des standards souverains — conforme aux doctrines zero trust, quantum-safe, et RGPD.

Ce plugin est conçu pour être utilisé librement, sans condition, dans tout environnement WordPress compatible. Il incarne une approche éthique, souveraine et universelle de la génération de secrets numériques.

Conformité cryptographique

Le générateur s’appuie exclusivement sur l’API window.crypto.getRandomValues(), conforme aux recommandations de l’ANSSI et du NIST SP 800-90A pour les générateurs pseudo-aléatoires déterministes (DRBG). Cette approche garantit une entropie certifiable sans dépendre de bibliothèques externes ni de sources non auditées.

Référence : ANSSI – Recommandations pour la génération aléatoire (RGS_B1),
NIST SP 800-90A – Recommendation for Random Number Generation Using Deterministic Random Bit Generators.
Ces normes encadrent la sécurité des générateurs cryptographiques utilisés dans PassCypher Secure Passgen WP.

Validation scientifique — Entropie, biais et conformité

  • Entropie : estimation bits = longueur × log2(|charset|) (ou mots × log2(|dictionnaire|) en mode passphrase).
  • Anti-biais : mappage via rejection sampling pour éviter les biais mod |charset|.
  • Chiffrement : PBKDF2-SHA256 (200k) → AES-GCM-256, IV aléatoire ; inclusion salt/iv dans meta.json.
  • Conformité : usage de Web Crypto natif, compatible recommandations ANSSI/NIST sur RNG & KDF (cadre général).

Annexe — README.md & LICENSE

README.md — 🛡️ Attribution & Souveraineté

## 🛡️ Attribution & Souveraineté

Ce plugin est libre et open-source.  
Cependant, toute utilisation, redistribution ou dérivé doit créditer visiblement :

**PassCypher® by Freemindtronic Andorra**

Cette attribution doit apparaître dans :
- l’interface du plugin
- la documentation
- les déploiements publics

La mention "PassCypher" et son origine souveraine ne doivent pas être altérées.

LICENSE — Conditions additionnelles (GPL v2/v3)

Additional Terms:

Comme condition de redistribution ou d’utilisation dérivée,  
l’attribution visible à :

**PassCypher® by Freemindtronic Andorra**

doit être conservée dans toutes les interfaces utilisateur, documentations et supports de communication.
La suppression ou l’obfuscation de cette mention annule le droit de redistribution du plugin.

Clause complémentaire — Badge dynamique local vérifiable

### Badge dynamique local — PassCypher Secure Passgen WP

Le plugin inclut un mécanisme de **badge dynamique local vérifiable** 
("Powered by PassCypher® WP — Freemindtronic Andorra") :

- Généré et injecté **côté client**, sans appel serveur ni CDN.
- Authentifié par un **hash SHA-256 local**, unique à chaque instance et domaine.
- Invisible si le plugin est inactif, altéré ou falsifié.

Conditions d’usage :
1. Le badge ne peut être affiché que par une instance active et authentique du plugin.  
2. Toute modification, suppression ou reproduction du badge en dehors de ce cadre constitue une **violation de la licence d’attribution souveraine**.  
3. Le hash généré est local et **ne doit pas être transmis, stocké ou utilisé à des fins de traçage**.

Ce mécanisme garantit la transparence et la traçabilité, 
tout en respectant la doctrine **Zero-Trust** et **Zero-DOM** du projet.

Ce que nous n’avons pas couvert sur le générateur de mots de passe souverain

  • Service Worker “offline-first” et cache fin (à venir).
  • Module WASM pour une zéroïsation mémoire renforcée.
  • Bloc Gutenberg dédié (alternative au shortcode).
  • Listes de mots personnalisables & locales (mode passphrase).

Signaux faibles — Tendances autour des générateurs de mots de passe souverains et de la souveraineté numérique

Les signaux faibles observés dans l’écosystème mondial de la cybersécurité confirment une transformation profonde. Ainsi, le générateur de mots de passe souverain devient un élément central de la souveraineté numérique, en incarnant la convergence entre cryptographie libre, transparence et autonomie technologique.

1. Une demande croissante pour des générateurs de mots de passe locaux et souverains

D’une part, les utilisateurs et les administrateurs de CMS comme WordPress recherchent des outils capables de fonctionner sans cloud ni serveur. Cette tendance s’explique par la volonté de limiter les dépendances externes, d’améliorer la confidentialité et de renforcer la sécurité. Les générateurs de mots de passe 100 % locaux, comme PassCypher Secure Passgen WP, répondent parfaitement à cette exigence de souveraineté numérique, car ils ne reposent sur aucune API ni base de données.

2. La fusion entre cryptographie libre et souveraineté des secrets numériques

Ensuite, une dynamique croissante relie la cryptographie libre et la souveraineté des générateurs de mots de passe. De plus en plus de projets open-source mettent en avant des implémentations vérifiables de window.crypto pour garantir une génération aléatoire indépendante et auditable. Cette approche open et transparente constitue une réponse stratégique face à la centralisation du cloud.

3. L’adoption institutionnelle des générateurs de mots de passe souverains post-quantiques

Par ailleurs, les institutions publiques et les infrastructures critiques adoptent progressivement des modèles de sécurité fondés sur les principes zero trust et post-quantiques. Dans ce cadre, le générateur de mots de passe souverain devient un composant essentiel : il permet la création de secrets robustes sans dépendre d’un tiers de confiance externe. Cette adoption s’inscrit dans un mouvement mondial de réappropriation technologique et de cybersécurité nationale.

4. Vers une convergence matérielle avec les HSM souverains

Enfin, l’évolution naturelle des générateurs de mots de passe souverains se dirige vers une intégration avec les technologies matérielles. L’interopérabilité future avec PassCypher HSM PGP et PassCypher NFC HSM permettra de relier la génération logicielle locale à des modules matériels sécurisés. Ce couplage garantira un continuum entre la génération de secrets dans le navigateur et leur conservation dans un environnement HSM, sans exposition réseau ni cloud tiers.

Conclusion — Une souveraineté numérique qui s’affirme par la génération locale

En définitive, ces signaux faibles démontrent une transition irréversible : la confiance se déplace du cloud vers le client, du centralisé vers le souverain. Le générateur de mots de passe souverain incarne cette bascule vers un modèle de cybersécurité éthique, transparent et indépendant, où la maîtrise du secret numérique redevient une compétence citoyenne et institutionnelle.

Perspective stratégique pour les générateurs de secrets client-side

Le PassCypher Secure Passgen WP incarne un changement de paradigme :
le transfert de confiance vers le client, la suppression du cloud comme intermédiaire, et la réaffirmation du code comme bien souverain.

En offrant ce générateur libre et transparent, Freemindtronic Andorra redéfinit le lien entre sécurité, accessibilité et indépendance numérique.
WordPress devient un territoire d’expérimentation et d’émancipation cryptographique.

Cas d’usage souverains Freemindtronic

  • PassCypher HSM PGP — génération et stockage matériel des clés privées NFC.
  • DataShielder — protection des données sensibles sur terminaux locaux.
  • SeedNFC — sauvegarde chiffrée de phrases mnémoniques.

Tous ces outils incarnent une même philosophie : zéro serveur, zéro fuite, zéro compromis.

Glossaire — Terminologie souveraine et cryptographique

Ce glossaire réunit les principaux termes techniques et éthiques employés dans la documentation du PassCypher Secure Passgen WP. Il vise à clarifier le vocabulaire lié à la cryptographie, à la souveraineté numérique et à la conception client-side sécurisée.

  • API Web Crypto — Interface JavaScript native qui permet de générer des valeurs aléatoires et de manipuler des primitives cryptographiques directement dans le navigateur, sans dépendre d’un serveur ou d’une bibliothèque tierce.
  • AES-GCM — Algorithme de chiffrement symétrique Authenticated Encryption with Associated Data (AEAD), garantissant à la fois confidentialité et intégrité des données.
  • Attribution souveraine — Clause éthique garantissant que toute utilisation ou redistribution du plugin mentionne visiblement PassCypher® by Freemindtronic Andorra, préservant ainsi la traçabilité du code et son origine souveraine.
  • Entropie — Mesure du niveau d’aléa dans la génération d’un mot de passe ou d’une passphrase. Plus l’entropie est élevée, plus la résistance au brute force est forte.
  • Hygiène mémoire — Ensemble de pratiques visant à effacer, écraser et neutraliser les données sensibles stockées temporairement en mémoire pour éviter toute fuite accidentelle.
  • Offline-ready — Capacité d’un plugin à fonctionner sans appel réseau, même si l’accès initial nécessite WordPress. Tous les traitements cryptographiques s’exécutent localement dans le navigateur.
  • PBKDF2 — Fonction de dérivation de clé (Password-Based Key Derivation Function 2), utilisée pour renforcer un secret avant chiffrement, ici avec SHA-256 et 200 000 itérations.
  • Rejection sampling — Technique de génération aléatoire garantissant l’absence de biais dans la sélection de caractères ou de mots d’un dictionnaire.
  • RGPD — Règlement Général sur la Protection des Données. Le plugin est conforme par conception (privacy by design) car il ne collecte ni stocke aucune donnée personnelle.
  • Souveraineté numérique — Capacité pour un individu ou une organisation de produire, traiter et protéger ses données sans dépendre d’infrastructures étrangères ou centralisées.
  • Volatilité — Caractère éphémère des données stockées uniquement en mémoire vive (RAM), détruites automatiquement après usage, ici au bout de 90 secondes.
  • Zero Trust — Modèle de sécurité selon lequel aucune entité (serveur, plugin, réseau) n’est présumée digne de confiance. Le PassCypher Secure Passgen WP applique ce principe par sa conception 100 % locale et isolée.

En résumé : Le glossaire illustre la philosophie du projet : transparence, traçabilité, indépendance et sécurité intégrée dès la conception — les quatre piliers d’un générateur souverain de confiance.

FAQ — Générateur de mots de passe souverain

Non. Tous les calculs, générateurs aléatoires et chiffrages sont réalisés exclusivement dans votre navigateur grâce à l’API window.crypto. Aucune donnée n’est transmise, collectée ou stockée.

Jamais. Le générateur produit un mot de passe ou une passphrase à la demande, puis efface toutes les traces de mémoire après 90 secondes.
Il ne s’agit pas d’un gestionnaire de mots de passe, mais d’un outil de génération souveraine instantanée.

Oui. Il a été conçu pour fonctionner sans dépendances externes et s’adapte automatiquement aux thèmes enfants, aux multisites, et aux constructeurs modernes (Flatsome, Elementor, Divi, etc.).

Oui, si le site WordPress est installé en local (ex. : localhost, intranet, serveur privé).
Le plugin fonctionne en mode offline car il ne repose sur aucun CDN, aucune API distante, ni aucune ressource externe.
Cependant, si le site WordPress est hébergé en ligne, une connexion au site reste nécessaire pour accéder à l’interface du plugin.

Oui, sous réserve de conserver l’attribution visible “PassCypher® by Freemindtronic Andorra” dans toutes les interfaces publiques et documentations.
C’est une condition éthique et juridique de la licence.

Certains navigateurs imposent des restrictions de sécurité. Le plugin détecte ces cas et propose une copie manuelle sécurisée sans exposition du mot de passe dans le DOM.

Oui. Le plugin repose sur les API Web Crypto et Clipboard, qui ne fonctionnent que dans un contexte sécurisé (HTTPS ou localhost).

Non, sauf choix explicite de l’utilisateur. Par défaut, le fichier ZIP ne contient que le secret.enc chiffré, accompagné des métadonnées salt et iv. Aucun mot de passe en clair n’est stocké.

Oui. Il ne collecte aucune donnée personnelle, ne dépose aucun cookie, ne transmet rien à des tiers.
Il incarne une approche privacy-by-design et privacy-by-default.

Non. Les secrets générés sont aléatoires, non prédictibles, et ne sont jamais exposés dans le DOM.
Le plugin propose des formats résistants aux attaques GPU (Base58, Base85) et des longueurs configurables jusqu’à 128 caractères.

Oui. Le plugin est autonome, sans dépendance serveur, et peut être intégré dans tout environnement WordPress, y compris en réseau local ou en environnement isolé.

Oui. Il est compatible avec les navigateurs mobiles modernes (Android, iOS) et s’adapte automatiquement à l’interface tactile.

Oui. Le plugin propose plusieurs encodages : ASCII, Hex, Base58, Base64, Base85.
Ces formats sont utiles pour des usages spécifiques (blockchain, QR, transmission sans perte).

Non. Les mots de passe générés ne sont jamais insérés dans le DOM.
L’affichage est contrôlé via des buffers sécurisés, et les traces sont effacées après 90 secondes.

Non. Aucune bannière, aucun lien promotionnel, aucun tracking commercial n’est intégré.
Le plugin est libre, éthique, et garanti sans publicité.

Non. Il fonctionne de manière totalement autonome, sans licence, sans abonnement, et sans activation d’un module externe — qu’il soit gratuit ou payant.


Clickjacking extensions DOM: Vulnerabilitat crítica a DEF CON 33

Cartell digital en català sobre el clickjacking d’extensions DOM amb PassCypher — contraatac sobirà Zero DOM

DOM extension clickjacking — el clickjacking d’extensions basat en DOM, mitjançant iframes invisibles, manipulacions del Shadow DOM i overlays BITB — posa en risc els gestors de contrasenyes; vegeu §Passkeys phishables. Aquesta crònica resumeix les demostracions de DEF CON 33 (DOM-based extension clickjacking i passkeys phishables), el seu impacte i les contramesures Zero-DOM (PassCypher, SeedNFC, EviBITB).

Resum Executiu

⮞ Nota de lectura

Si només voleu retenir l’essencial, el Resum Executiu (≈4 minuts) és suficient. Per a una visió completa i tècnica, continueu amb la lectura íntegra de la crònica (≈35 minuts).

⚡ El descobriment

Las Vegas, principis d’agost de 2025. El DEF CON 33 vibra al Centre de Convencions. Entre doms de hackers, pobles IoT, Adversary Village i competicions CTF, l’aire és dens de passió, insígnies i soldadures improvisades. A l’escenari, Marek Tóth no necessita artificis: connecta el portàtil, mira el públic i prem Enter. L’atac estrella: el Clickjacking d’extensions basat en DOM. Senzill de codificar, devastador d’executar: pàgina trampa, iframes invisibles, una crida focus() maliciosa… i els gestors d’autoemplenament aboquen en un formulari fantasma identificadors, contrasenyes, TOTP i passkeys.
en un formulari fantasma.

✦ Impacte immediat en gestors de contrasenyes

Els resultats són contundents. Marek Tóth va analitzar 11 gestors de contrasenyes: tots mostraven vulnerabilitats per disseny.
En 10 de 11 casos, es van exfiltrar credencials i secrets.
Segons SecurityWeek, prop de 40 milions d’instal·lacions continuen exposades.
La vulnerabilitat s’estén més enllà: fins i tot els crypto-wallets van deixar escapar claus privades, exposant directament actius digitals.

⧉ Segona demostració — Passkeys phishables (overlay)

A DEF CON 33, Allthenticate va demostrar que les Vegeu §Passkeys phishables poden ser pescades mitjançant una simple superposició i redirecció — cap injecció DOM requerida. L’anàlisi completa està disponible a la secció dedicada Phishable Passkeys i a atribució & fonts.

🚨 El missatge

En només dues demos, dos pilars de la ciberseguretat — gestors de contrasenyes i Vegeu §Passkeys phishables — s’ensorren del pedestal. El missatge és brutal: mentre els teus secrets visquin al DOM, mai no estaran segurs. I mentre la ciberseguretat depengui del navegador i del núvol, un sol clic pot capgirar-ho tot. Com recorda OWASP, el clickjacking és un clàssic — però aquí és la capa d’extensions la que queda pulveritzada.

🔑 L’alternativa

Saviez-vous qu’il existe depuis plus de dix ans une autre voie, une voie qui ne passe pas par les départements français d’outre-mer ? Avec PassCypher HSM PGP, PassCypher NFC HSM et SeedNFC pour la conservation des clés cryptographiques matérielles, vos identifiants TOTP/HOTP, vos mots de passe et vos clés secrètes ne voient jamais le DOM. Il ne s’agit pas d’un patch, mais d’une architecture propriétaire souveraine, décentralisée, serverless et databaseless, sans mot de passe maître, qui libère la gestion des secrets des dépendances centralisées telles que FIDO/WebAuthn.

Crònica per llegir
Temps estimat de lectura: 35 minuts
Data d’actualització: 2025-10-02
Nivell de complexitat: Avançat / Expert
Especificitat lingüística: Lèxic sobirà — alta densitat tècnica
Llengües disponibles: CAT · EN · ES · FR
Accessibilitat: Optimitzat per a lectors de pantalla — ancoratges semàntics integrats
Tipus editorial: Crònica estratègica
Sobre l’autor: Text escrit per Jacques Gascuel, inventor i fundador de Freemindtronic®.
Especialista en tecnologies de seguretat sobirana, dissenya i patenta sistemes de maquinari per a la protecció de dades, la sobirania criptogràfica i les comunicacions segures.
La seva experiència cobreix el compliment dels estàndards ANSSI, NIS2, RGPD i SecNumCloud, així com la lluita contra les amenaces híbrides mitjançant arquitectures sobiranes by design.

TL;DR — Al DEF CON 33, el clickjacking d’extensions basat en DOM va demostrar un risc sistèmico per a les extensions de navegador que injecten secrets al DOM. Exfiltrats: identificadors (logins), codis TOTP, Vegeu §Passkeys phishables i claus criptogràfiques. Tècniques: iframes invisibles, manipulació del Shadow DOM, superposicions Browser-in-the-Browser (BITB). Impacte inicial: ≈ 40 milions d’instal·lacions notificades com a exposades en la divulgació. Estat (11 de setembre de 2025): diversos proveïdors han publicat correccions oficials per als mètodes descrits (Bitwarden, Dashlane, Enpass, NordPass, ProtonPass, RoboForm, Keeper [parcial], LogMeOnce), mentre que altres continuen reportats com a vulnerables (1Password, iCloud Passwords, LastPass, KeePassXC-Browser). Contramesura: fluxos de maquinari Zero-DOM (PassCypher NFC/PGP, SeedNFC) mantenen els secrets fora del DOM del navegador. Principi: Zero DOM — eliminar la superfície d’atac.
Infografia en català mostrant l’anatomia d’un atac de clickjacking basat en DOM amb pàgina maliciosa, iframe invisible i exfiltració de secrets cap a l’atacant.
✪ Anatomia d’un atac de clickjacking d’extensions DOM: pàgina enganyosa, iframes invisibles i exfiltració de secrets cap a l’atacant. Representació pedagògica en llengua catalana.

2026 Awards Cyberculture Digital Security Distinction Excellence EviOTP NFC HSM Technology EviPass EviPass NFC HSM technology EviPass Technology finalists PassCypher PassCypher

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En ciberseguretat sobirana ↑ Aquesta crònica s’inscriu dins l’apartat Digital Security, en la continuïtat de les investigacions realitzades sobre exploits i contramesures de maquinari zero trust.

Què és el clickjacking d’extensions basat en el DOM?

DOM-based extension clickjacking segresta una extensió del navegador (gestor de contrasenyes o wallet) fent un mal ús del Document Object Model. Una pàgina enganyosa encadena iframes invisibles, Shadow DOM i una crida maliciosa a focus() per desencadenar l’autofill en un formulari invisible. L’extensió «creu» que actua sobre el camp correcte i hi aboca secrets — credencials, codis TOTP/HOTP, passkeys, fins i tot claus privades. Com que aquests secrets toquen el DOM, poden ser exfiltrats de manera silenciosa.

⮞ Perspectiva doctrinal: El DOM-based extension clickjacking no és un error aïllat sinó un defecte de disseny. Qualsevol extensió que injecti secrets en un DOM manipulable és intrínsecament vulnerable. Només les arquitectures Zero-DOM (separació estructural, HSM/NFC, injecció fora del navegador) eliminen aquesta superfície d’atac.

Quin nivell de perillositat té?

Aquest vector no és menor: explota la lògica mateixa de l’autofill i actua sense que l’usuari se n’adoni. L’atacant no es limita a superposar un element; força l’extensió a omplir un formulari fals com si res, fent que l’exfiltració sigui indetectable a simple vista.

Flux típic de l’atac

  1. Preparació — la pàgina maliciosa integra una iframe invisible i un Shadow DOM que amaga el context real; els camps són ocultats (opacity:0, pointer-events:none).
  2. Ham — la víctima clicca un element innocent; redireccions i un focus() maliciós redirigeixen l’esdeveniment cap a un camp controlat per l’atacant.
  3. Exfiltració — l’extensió pensa que interactua amb un camp legítim i injecta automàticament credencials, TOTP, passkeys o claus privades al DOM fals; les dades s’exfiltren immediatament.

Aquest mecanisme enganya els senyals visuals, evita proteccions clàssiques (X-Frame-Options, Content-Security-Policy, frame-ancestors) i converteix l’autofill en un canal d’exfiltració invisible. Els overlays tipus Browser-in-the-Browser (BITB) i les manipulacions del Shadow DOM agreugen el risc, fent que les passkeys sincronitzades i les credencials siguin susceptibles de phishing.

⮞ Resum

L’atac combina iframes invisibles, manipulació del Shadow DOM i redireccions via focus() per segrestar les extensions d’autofill. Els secrets s’injecten en un formulari fantasma, donant a l’atacant accés directe a dades sensibles (credencials, TOTP/HOTP, passkeys, claus privades). Moraleja: mentre els secrets transitin pel DOM, la superfície d’atac segueix oberta.

Història del Clickjacking (2002–2025)

El clickjacking ha evolucionat durant dècades. El concepte va néixer als primers anys 2000 amb Jeremiah Grossman i Robert Hansen: enganyar un usuari perquè faci clic en un element que no veu realment. Va passar de ser una il·lusió òptica aplicada al codi a una tècnica d’atac habitual (OWASP).

  • 2002–2008: Aparició del “UI redressing”: capes HTML i iframes transparents atrapant usuaris.
  • 2009: Facebook afectat per likejacking.
  • 2010: Aparició del cursorjacking (desplaçar el cursor per enganyar el clic).
  • 2012–2015: Exploits via iframes, anuncis maliciosos i malvertising.
  • 2016–2019: Tapjacking a mòbils.
  • 2020–2024: “Hybrid clickjacking” combinant XSS i phishing.
  • 2025: A DEF CON 33, Marek Tóth presenta el salt: DOM-Based Extension Clickjacking, on les extensions injecten formularis invisibles i habiliten exfiltració silenciosa de secrets.

❓Des de quan hi ha exposició?

Les tècniques d’iframes invisibles i Shadow DOM són conegudes des de fa anys. Les descobertes de DEF CON 33 revelen un patró de disseny d’una dècada: extensions que confien en el DOM per injectar secrets estan inherentment exposades.

Síntesi: En 20 anys, el clickjacking ha passat d’una trampa visual a una sabotatge sistèmic contra gestors d’identitat; DEF CON 33 marca un punt d’inflexió i subratlla la urgència d’enfocaments Zero-DOM amb hardware sobirà.

Clickjacking extensions DOM — Anatomia de l’atac

El clickjacking extensions DOM no és una variant trivial: desvia la lògica mateixa dels gestors d’autoemplenament. Aquí, l’atacant no es limita a recobrir un botó amb una iframe; força l’extensió a omplir un formulari fals com si fos legítim.

Esquema de clickjacking d'extensions DOM en tres fases: Preparació, Esquer i Exfiltració amb extensió d’autocompleció vulnerada
Esquema visual del clickjacking d’extensions DOM: una pàgina maliciosa amb iframe invisible (Preparació), un element Shadow com a esquer (Esquer) i l’exfiltració d’identificadors, TOTP i claus a través de l’extensió d’autocompleció (Exfiltració).

Desplegament típic d’un atac:

  1. Preparació — La pàgina trampa carrega una iframe invisible i un Shadow DOM que oculta el context real.
  2. Esquer — L’usuari fa clic en un element aparentment innocu; una crida focus() redirigeix l’esdeveniment cap al camp invisible controlat per l’atacant.
  3. Exfiltració — L’extensió creu interactuar amb un camp legítim i injecta identificadors, TOTP, passkeys i fins i tot claus privades directament dins del fals DOM.

Aquesta mecànica distorsiona els senyals visuals, esquiva les defenses clàssiques (X-Frame-Options, CSP, frame-ancestors) i transforma l’autoemplenament en un canal d’exfiltració invisible. A diferència del clickjacking “tradicional”, l’usuari no fa clic en un lloc de tercers: és la seva pròpia extensió la que queda atrapada per la seva confiança en el DOM.

⮞ Resum

L’atac combina iframes invisibles, Shadow DOM i focus() per atrapar els gestors d’autoemplenament. Els gestors de contrasenyes injecten els seus secrets no pas al lloc previst, sinó en un formulari fantasma, oferint a l’atacant accés directe a dades sensibles.

Gestors vulnerables & divulgació CVE (instantània — 2 oct. 2025)

Actualitzat: 2 d’octubre 2025
Arran de la divulgació a DEF CON 33 per Marek Tóth, diversos venedors van publicar correccions o mitigacions, però la velocitat de resposta varia molt. La nova columna indica el temps estimat entre la presentació (8 d’agost de 2025) i la publicació d’un patch/mitigació.

Gestor Credencials TOTP Passkeys Estat Patch / nota oficial ⏱️ Temps de patch
1Password Mitigacions (v8.11.x) Blog 🟠 >6 setmanes (mitigació)
Bitwarden Parcial Corregit (v2025.8.2) Release 🟢 ~4 setmanes
Dashlane Corregit Advisory 🟢 ~3 setmanes
LastPass Corregit (set. 2025) Release 🟠 ~6 setmanes
Enpass Corregit (v6.11.6) Release 🟠 ~5 setmanes
iCloud Passwords No Vulnerable (en revisió) 🔴 >7 setmanes (sense patch)
LogMeOnce No Corregit (v7.12.7) Release 🟢 ~4 setmanes
NordPass Parcial Corregit (mitigacions) Release 🟠 ~5 setmanes
ProtonPass Parcial Corregit (mitigacions) Releases 🟠 ~5 setmanes
RoboForm Corregit Update 🟢 ~4 setmanes
Keeper Parcial No No Patch parcial (v17.2.0) Release 🟠 ~6 setmanes (parcial)

⮞ Perspectiva estratègica:

Fins i tot després de les correccions, el problema continua sent arquitectònic: mentre els secrets transitin pel DOM, romandran exposats.
Les solucions Zero-DOM (PassCypher HSM PGP, PassCypher NFC HSM, SeedNFC) eliminen la superfície d’atac garantint que els secrets no surtin mai del contenidor xifrat.
Zero-DOM = superfície d’atac nul·la.

Nota: instantània al 2 d’octubre de 2025. Per versions per producte, notes de llançament i CVE associats, consulteu la taula i les pàgines oficials dels venedors.

Tecnologies de correcció utilitzades

Des de la divulgació pública a DEF CON 33, els venedors han publicat actualitzacions. No obstant això, la majoria són pegats superficials o comprovacions condicionals; cap fabricant ha re-construït l’enginy d’injecció completament.

Imatge resum: aquestes tecnologies van des de pegats estètics fins a solucions Zero-DOM basades en hardware.

Infografia sobre les defenses contra el clickjacking d’extensions DOM: X-Frame-Options, CSP, retards d’autofill i diàlegs flotants.
Quatre mètodes de correcció contra el clickjacking d’extensions DOM: des de polítiques de seguretat fins a estratègies.

Objectiu

Explicar com els venedors han intentat mitigar la fallada, distingir pegats cosmètics de correccions estructurals i destacar enfocaments sobirans Zero-DOM.

Mètodes observats (agost 2025)

Mètode Descripció Gestors afectats
Restricció d’autoemplenament Mode “on-click” o desactivació per defecte Bitwarden, Dashlane, Keeper
Filtrat de subdominis Bloqueig d’autoemplenament en subdominis no autoritzats ProtonPass, RoboForm
Detecció Shadow DOM Refusar injectar si el camp és encapsulat NordPass, Enpass
Aïllament contextual Comprovacions prèvies a la injecció (iframe, opacitat, focus) Bitwarden, ProtonPass
Hardware sobirà (Zero-DOM) Secrets mai transiten pel DOM: NFC HSM, HSM PGP, SeedNFC PassCypher, EviKey, SeedNFC

Limitacions observades

  • Els pegats no modifiquen l’enginy d’injecció, només el seu disparador.
  • No s’ha introduït separació estructural entre UI i fluxos de secrets.
  • Qualsevol gestor encara lligat al DOM roman exposat estructuralment.
⮞ Transició estratègica
Aquests pegats són reaccions, no ruptures. Tracten símptomes, no la falla arquitectònica.

Anàlisi tècnica i doctrinal de les correccions

DOM extension clickjacking és una fallada de disseny estructural: secrets injectats en un DOM manipulable poden ser segrestats tret que el flux d’injecció quedi separat arquitectònicament del navegador.

Què no solucionen les correccions actuals

  • Cap venedor ha re-construït l’enginy d’injecció.
  • Les mesures principalment limiten l’activació (desactivar autoemplenament, filtres de subdomini, detecció d’elements invisibles) en lloc de canviar el model d’injecció.

Què requeriria una correcció estructural

  • Eliminar la dependència del DOM per a la injecció de secrets.
  • Aïllar l’enginy d’injecció fora del navegador (hardware o procés segur separatat).
  • Usar autenticació hardware (NFC, PGP, enclausura segura) i exigir validació física/indicació explícita de l’usuari.
  • Prohibir per disseny la interacció amb elements invisibles o encapsulats.

Tipologia de correccions

Nivell Tipus de correcció Descripció
Cosmètic UI/UX, autoemplenament desactivat per defecte No canvia l’enginy d’injecció, només el disparador
Contextual Filtrat DOM, Shadow DOM, subdominis Afegeix condicions, però encara depèn del DOM
Estructural Zero-DOM, hardware (PGP, NFC, HSM) Elimina l’ús del DOM per secrets; separa UI i fluxos de secrets

Tests doctrinals per verificar patches

Per comprovar si una correcció és realment estructural, els investigadors poden:

  • Injectar un camp invisible (opacity:0) dins d’un iframe i verificar el comportament d’injecció.
  • Comprovar si les extensions encara injecten secrets a inputs encapsulats o no visibles.
  • Verificar si les accions d’autoemplenament són registrables i bloquejades en cas de desajust de context.

No existeix actualment un estàndard industrial àmpliament adoptat (NIST/OWASP/ISO) que reguli la lògica d’injecció d’extensions, la separació UI/secret o la traçabilitat de les accions d’autoemplenament.

⮞ Conclusió
Les correccions actuals són solucions temporals. La resposta duradora és arquitectònica: treure els secrets del DOM amb patrons Zero-DOM i aïllament hardware (HSM/NFC/PGP).

Riscos sistèmics i vectors d’explotació

DOM extension clickjacking no és un bug aïllat; és una fallada de disseny sistèmica. Quan el flux d’injecció d’una extensió queda compromès, l’impacte pot expandir-se més enllà d’una contrasenya filtrada i degradar capes completes d’autenticació i infraestructures.

Escenaris crítics

  • Accés persistent — un TOTP clonat o tokens de sessió recuperats poden re-registrar dispositius “de confiança”.
  • Reproducció de passkeys — una passkey exfiltrada pot funcionar com un token mestre reutilitzable fora del control habitual.
  • Compromís SSO — tokens OAuth/SAML filtrats poden exposar sistemes IT complets.
  • Exposició supply-chain — extensions mal regulades creen una superfície d’atac estructural a nivell de navegador.
  • Robatori d’actius cripto — extensions de moneder que usen DOM poden filtrar seed phrases i claus privades o signar transaccions malicioses.

⮞ Resum

Les conseqüències van més enllà del robo de credencials: TOTPs clonats, passkeys reproduïdes, tokens SSO compromesos i seed phrases exfiltrades són resultats realistes. Mentre els secrets transitin pel DOM, representen un vector d’exfiltració.

Comparativa de amenaces sobiranes
Atac Objectiu Secrets Contramesura sobirana
ToolShell RCE SharePoint / OAuth Certificats SSL, tokens SSO Emmagatzematge i signatura hardware (HSM/PGP)
eSIM hijack Identitat mòbil Perfils de operador Ancoratge hardware (SeedNFC)
DOM clickjacking Extensions de navegador Credencials, TOTP, passkeys Zero-DOM + HSM / autoemplenament sandoxed
Crypto-wallet hijack Extensions de moneder Claus privades, seed phrases Injecció HID/NFC des de HSM (no DOM, no clipboard)
Atomic Stealer Portapapers macOS Claus PGP, dades de wallets Xarxes xifrades + entrada HSM (no clipboard)

Exposició regional i impacte lingüístic — Àmbit anglosaxó (notes)

Regió Usuaris angloparlants Adopció de gestors Contramesures Zero-DOM
Món anglòfon ≈1.5 mil milions Alta (NA, UK, AU) PassCypher HSM PGP, SeedNFC
Amèrica del Nord ≈94M usuaris (36% adults EUA) Creixent consciència; adopció encara moderada PassCypher HSM PGP, NFC HSM
Regne Unit Alta penetració d’internet i moneders Adopció madura; regulacions en augment PassCypher HSM PGP, EviBITB

Insight estratègic: l’espai anglosaxó representa una superfície d’exposició significativa; prioritzar Zero-DOM i mitigacions hardware als fulls de ruta regionals. Fonts: ICLS, Security.org, DataReportal.

Moneders cripto exposats

Les extensions de moneder (MetaMask, Phantom, TrustWallet) sovint utilitzen interaccions amb el DOM; sobreposicions o iframes invisibles poden enganyar l’usuari perquè signi transaccions malicioses o exposi la seed phrase. Vegeu §Sovereign Countermeasures per mitigacions hardware.

SeedNFC HSM — mitigació hardware (concisa)

Contramesura sobirana: SeedNFC HSM ofereix emmagatzematge hardware per claus privades i seed phrases fora del DOM. L’injecció es realitza via canals xifrats NFC↔HID BLE i requereix un desencadenament físic per part de l’usuari, impedint injeccions per redressing o firmes per sobreposició. Vegeu la subsecció técnica de SeedNFC per més detalls d’implementació.

Sandbox vulnerable & Browser-in-the-Browser (BITB)

Els navegadors ofereixen un “sandbox” com a frontera, però el DOM extension clickjacking i les tècniques BITB demostren que les il·lusions d’interfície poden enganyar els usuaris. Un marc d’autenticació fals o una sobreposició poden suplantar proveïdors (Google, Microsoft, bancs) i fer que l’usuari autoritzi accions que alliberen secrets o signen transaccions. Directives com frame-ancestors o certes polítiques CSP no garanteixen bloqueig complet d’aquestes forgeries d’interfície.

Mecanisme de Sandbox URL (tècnic): una solució Zero-DOM robusta lliga cada credencial o referència criptogràfica a una URL esperada (“sandbox URL”) emmagatzemada dins d’un HSM xifrat. Abans d’un autoemplenament o signatura, la URL activa es compara amb la referència de l’HSM; si no coincideixen, el secret no s’allibera. Aquesta validació a nivell d’URL evita exfiltracions encara que les sobreposicions eludeixin la detecció visual.

Detecció i mitigació anti-iframe (tècnic): defenses en temps real inspeccionen i neutralitzen patrons sospitosos d’iframe/overlay (elements invisibles, Shadow DOM anidat, seqüències anòmales de focus(), pointer-events alterats). Les heurístiques inclouen opacitat, context de pila, redireccions de focus i comprovacions d’ancestria d’iframe; la mitigació pot eliminar o aïllar la UI forjada abans de qualsevol interacció.

Per a fluxos d’escriptori, l’enllaç segur entre un dispositiu Android NFC i una aplicació amb HSM permet que els secrets es desxifrin només en RAM volàtil durant una fracció de segon i s’injectin fora del DOM, reduint persistència i exposició en l’host.

⮞ Resum tècnic (atac neutralitzat per sandbox URL + neutralització d’iframe)

La cadena d’atac sol utilitzar sobreposicions CSS invisibles (opacity:0, pointer-events:none), iframes embeguts i nodes Shadow DOM encapsulats. Seqüències de focus() i seguiment del cursor poden induir l’extensió a confeccionar autoemplenament a camps controlats per l’atacant i exfiltrar les dades. L’enllaç d’URL i la neutralització en temps real dels iframes tanca aquest vector.

Il·lustració de la protecció anti-BitB i anti-clickjacking amb EviBITB i Sandbox URL integrats a PassCypher HSM PGP / NFC HSM
✪ Il·lustració – L’escut anti-BITB i el cadenat Sandbox URL bloquegen l’exfiltració de credencials en un formulari manipulat per clickjacking.

⮞ Referència pràctica Per una implementació Zero-DOM pràctica i detalls de producte (antiframe, lligams d’URL HSM, enllaç d’escriptori), consulteu §PassCypher HSM PGP i §Sovereign Countermeasures.

BitUnlocker — Atac contra BitLocker via WinRE

Al DEF CON 33 i al Black Hat USA 2025, el grup d’investigació STORM va presentar una explotació crítica contra BitLocker anomenada BitUnlocker. Aquesta tècnica eludeix les proteccions de BitLocker aprofitant falles lògiques en l’entorn de recuperació de Windows (WinRE).

Vectors d’atac

  • Parsing de boot.sdi: manipulació del procés de càrrega.
  • ReAgent.xml: modificació del fitxer de configuració de recuperació.
  • BCD segrestat: explotació de les dades de configuració d’arrencada.

Metodologia

Els investigadors van centrar-se en la cadena d’arrencada i els components de recuperació per:

  • Identificar vulnerabilitats lògiques dins de WinRE.
  • Desenvolupar exploits capaços d’exfiltrar secrets de BitLocker.
  • Proposar contramesures per endurir la seguretat de BitLocker i WinRE.

Impacte estratègic

Aquest atac demostra que fins i tot un sistema de xifrat de disc considerat robust pot ser compromès mitjançant vectors indirectes en la cadena d’arrencada i recuperació. Subratlla la necessitat d’una defensa en profunditat que integri no només la criptografia, sinó també la protecció i la integritat dels entorns d’arrencada i restauració.

Passkeys phishables — Atacs per superposició a DEF CON 33

A DEF CON 33, una demostració independent va mostrar que les passkeys sincronitzades — sovint presentades com a «resistents al phishing» — poden ser exfiltrades silenciosament utilitzant una simple superposició + redirecció. A diferència del clickjacking d’extensions basat en DOM, aquest vector no requereix cap injecció al DOM: abusa de la confiança en la interfície i dels marcs renderitzats pel navegador per enganyar usuaris i capturar credencials sincronitzades.

Com funciona l’atac per superposició (resum)

  • Superposició / redirecció: es mostra un marc o una superposició d’autenticació fals que imita una pàgina de login legítima.
  • Abús de la confiança del navegador: la UI sembla vàlida, així que els usuaris aproven accions o prompts que alliberen passkeys sincronitzades.
  • Exportació sincronitzada: un cop l’atacant accedeix al gestor o al flux sincronitzat, les passkeys i credencials sincronitzades poden ser exportades i reutilitzades.

Sincronitzades vs lligades al dispositiu — diferència clau

  • Passkeys sincronitzades: emmagatzemades i replicades via núvol/gestor — còmode però punt únic de fallada i susceptible a atacs d’usurpació d’interfície.
  • Passkeys lligades al dispositiu: emmagatzemades en un element segur del dispositiu (hardware) i mai no surten del dispositiu — no són exportables pel núvol i resulten molt més resistents als atacs per superposició.

Proves i evidència

Conseqüència estratègica: la forja d’UI demostra que la “resistència al phishing” depèn del model d’emmagatzematge i confiança. Les passkeys sincronitzades són phisbles; les emmagatzemades en elements segurs del dispositiu romanen el millor recurs. Això reforça la doctrina Zero-DOM + hardware sobirà.

Passkeys phishables @ DEF CON 33 — Atribució i nota tècnica

Investigador principal: Dr. Chad Spensky (Allthenticate)
Coautors tècnics: Shourya Pratap Singh, Daniel Seetoh, Jonathan (Jonny) Lin — Passkeys Pwned: Turning WebAuthn Against Itself (DEF CON 33)
Contribuïdors reconeguts: Shortman, Masrt, sails, commandz, thelatesthuman, malarum (slide d’introducció)

Referències:

Concepte clau: La forja d’UI pot exfiltrar passkeys sincronitzades sense tocar el DOM. Reforça la necessitat de validar fora del navegador (Zero-DOM + validació sobirana fora de navegador).

Senyal estratègic DEF CON 33

DEF CON 33 va cristal·litzar un canvi de supòsits sobre la seguretat del navegador. A continuació, les conclusions concises i orientades a l’acció:

  • Els navegadors no són zones de confiança fiables. No tracteu el DOM com un espai segur per secrets.
  • Passkeys sincronitzades i secrets injectats al DOM són phisbles. Les tècniques d’overlay poden vèncer credencials sincronitzades.
  • Les respostes dels venedors són desiguals; escasses correccions estructurals. Els pegats UI són útils però insuficients.
  • Prioritzeu enfocaments hardware Zero-DOM. Fluxos offline i ancoratges hardware redueixen l’exposició i han d’aparèixer als roadmaps.

Resum

En comptes d’acontentar-se amb pegats cosmètics, les organitzacions han de planificar canvis doctrinals: tractar com a sospitosos els secrets que toquen el DOM i accelerar l’adopció de mitigacions Zero-DOM basades en hardware als productes i polítiques.

Contramesures sobiranes (Zero DOM)

Els pegats de venedors redueixen el risc immediat però no eliminen la causa arrel: els secrets que flueixen pel DOM. Zero-DOM significa que els secrets no han de residir, transitar ni dependre del navegador. La defensa duradora és arquitectònica: mantenir credencials, TOTP, passkeys i claus privades dins d’hardware offline i exposar-les breument només en RAM volàtil quan s’activa explícitament.

"Diagrama

En disseny Zero-DOM, els secrets s’emmagatzemen en HSMs offline i s’alliberen només després d’una acció física (NFC, HID pair, confirmació local). La desxifració es produeix en RAM volàtil el temps mínim necessari; res no queda en clar al DOM ni al disc.

Operació sobirana: NFC HSM, HID-BLE i HSM-PGP

NFC HSM ↔ Android ↔ Navegador:
L’usuari presenta físicament el NFC HSM davant d’un dispositiu Android amb NFC. L’app corroborarà la sol·licitud de l’host, activarà el mòdul i transmetrà el secret xifrat a l’host. La desxifració només passa en RAM volàtil; el navegador mai té el secret en clar.

NFC HSM ↔ HID-BLE:
Quan està emparellat amb un emulador HID Bluetooth, el sistema escriu credencials directament al camp objectiu per un canal BLE xifrat AES-128-CBC, evitant clipboard, keyloggers i exposició DOM.

Activació local HSM-PGP:
En escriptori, un contenidor HSM-PGP (AES-256-CBC PGP) es desxifra localment en RAM amb una acció d’usuari; la injecció no travessa el DOM i s’esborra immediatament després d’uso.

Aquesta arquitectua elimina la superfície d’injecció en lloc de parchejar-la: sense servidor central, sense contrasenya mestra a extreure i sense text clar persistent al navegador. Les implementacions han d’incloure comprovacions d’URL sandboxed, finestres efímeres de memòria i registres auditable d’activacions per verificar cada operació d’autoemplenament.

⮞ Resum

Zero-DOM és una defensa estructural: manteniu secrets en hardware, exigiu activació física, desxifreu només en RAM i bloquegeu qualsevol injecció o exfiltració basada en DOM.

PassCypher HSM PGP — Tecnologia Zero-DOM (patentada des de 2015)

Abans de la descoberta pública de DOM extension clickjacking a DEF CON 33, Freemindtronic ja havia adoptat una alternativa arquitectònica: des del 2015 apliquem el principi de no portar mai secrets pel DOM. Aquesta doctrina és la base de l’arquitectura Zero-DOM patentada de PassCypher, que emmagatzema credencials, TOTP/HOTP i claus criptogràfiques en contenidors HSM hardware — mai injectades en un entorn manipulable.

Un avenç en gestors de contrasenyes

  • Zero-DOM natiu — cap dada sensible toca el navegador.
  • HSM-PGP integrat — contenidors xifrats (AES-256-CBC PGP) amb segmentació de claus patentada.
  • Autonomia sobirana — sense servidor, sense base de dades, sense dependències al núvol.

Protecció reforçada BITB

Des del 2020 PassCypher HSM PGP integra EviBITB, un motor que detecta i neutralitza en temps real iframes i overlays maliciosos (Browser-in-the-Browser). Opera serverless i pot funcionar en modes manual, semi-automàtic o automàtic, millorant notablement la resistència contra atacs BITB i clickjacking d’extensions.

EviBITB integrat a PassCypher HSM PGP: detecció i mitigació d'iFrames i overlays de redirecció
EviBITB integrat a PassCypher HSM PGP: detecció i mitigació d’iFrames i overlays de redirecció per reduir el risc BITB i el clickjacking d’extensions DOM.

Implementació immediata

L’usuari no necessita configuracions complexes: instal·leu l’extensió PassCypher HSM PGP des del Chrome Web Store o l’add-on d’Edge, activeu l’opció BITB i obtindreu protecció Zero-DOM sobirana.

Característiques clau

  • Autoemplenament blindat — sempre via sandbox URL, mai en clar dins el navegador.
  • EviBITB integrat — destrucció d’iframes i overlays maliciosos en temps real (manual / semi / automàtic).
  • Eines criptogràfiques — generació i gestió de claus segmentades (AES-256 + PGP).
  • Compatibilitat — funciona amb qualsevol web mitjançant l’extensió; no requereix plugins addicionals.
  • Arquitectura sobirana — zero servidor, zero base de dades, zero DOM.

⮞ Resum

PassCypher HSM PGP re-defineix la gestió de secrets: contenidors permanentment xifrats, desxifrat efímer en RAM, autoemplenament via sandbox URL i protecció anti-BITB. És una solució hardware orientada a resistir les amenaces actuals i a preparar la transició cap a resiliència quàntica.

PassCypher NFC HSM — Gestor passwordless sobirà

Els gestors de programari cauen amb un sol iframe; PassCypher NFC HSM evita que les credencials transitin pel DOM. El nano-HSM les manté xifrades offline i l’alliberament només es produeix un instant en RAM per autenticar.

Funcionament a l’usuari:

  • Secrets intocables — el NFC HSM encripta i emmagatzema credencials sense exposar-les.
  • TOTP/HOTP — l’app Android o PassCypher HSM PGP genera i mostra codis al moment.
  • Entrada manual — l’usuari introdueix PIN o TOTP al camp; l’app mostra el codi generat pel HSM.
  • autoemplenament contactless — presentant el mòdul NFC l’usuari executa autoemplenament de manera segura i fora del DOM.
  • autoemplenament d’escriptori — PassCypher HSM PGP permet completar camps amb un clic i validacions opcionales.
  • Anti-BITB distribuït — l’enllaç NFC ↔ Android ↔ navegador activa EviBITB per destruir iframes maliciosos en temps real.
  • Mode HID BLE — un emulador Bluetooth HID injecta credencials fora del DOM, bloquejant atacs DOM i keyloggers.

⮞ Resum

PassCypher NFC HSM encarna Zero Trust (cada acció requereix validació física) i Zero Knowledge (cap secret s’exposa). Per disseny, neutralitza clickjacking, BITB, typosquatting, keylogging, IDN spoofing, injeccions DOM, clipboard hijacking i extensions malicioses, i anticipa atacs quàntics.

✪ Atacs neutralitzats per PassCypher NFC HSM

Tipus d’atac Descripció Estat amb PassCypher
Clickjacking / UI redressing Iframes invisibles o overlays que secweisen clics Neutralitzat (EviBITB)
BITB Marcs falsos que simulen finestres de login Neutralitzat (sandbox + enllaç)
Keylogging Captura de pulsacions Neutralitzat (HID BLE)
Typosquatting URLs lookalike Neutralitzat (validació física)
DOM Injection / DOM XSS Scripts maliciosos al DOM Neutralitzat (arquitectura out-of-DOM)
Clipboard Hijacking Intercepció del clipboard Neutralitzat (sense ús clipboard)
Malicious Extensions Plugins maliciosos Neutralitzat (pairing + sandbox)
Atacs quàntics (anticipats) Trencament massiu de claus Mitigat (segmentació de claus + AES-256 CBC + PGP)
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SeedNFC + HID Bluetooth — Injecció segura dels wallets

Les extensions de moneder prosperen en el DOM i els atacants exploten aquesta feblesa. Amb SeedNFC HSM, la lògica canvia: l’enclau mai allibera claus privades o seed phrases. Durant la inicialització o restauració d’un moneder, el sistema usa emulació Bluetooth HID — com un teclat hardware — sense clipboard, sense DOM i sense rastre per a claus privades o credencials.

Flux operatiu (anti-DOM, anti-clipboard):

  • Custòdia — SeedNFC HSM xifra i emmagatzema la seed/cla privada (mai l’exporta).
  • Activació física — l’usuari autoritza contactless via l’app Android NFC.
  • Injecció HID BLE — el sistema tecleja la seed o el fragment necessari directament al camp del moneder, fora del DOM i del clipboard.
  • Protecció BITB — l’usuari pot activar EviBITB dins l’app per neutralitzar overlays maliciosos durant l’onboarding o recuperació.
  • Efemeritat — la RAM conté temporalment les dades durant l’entrada HID i s’esborra immediatament.

Casos d’ús típics

  • Onboarding o recuperació de moneders (MetaMask, Phantom) sense exposar la clau al navegador.
  • Operacions sensibles a escriptori amb validació física per part de l’usuari via NFC.
  • Còpia de seguretat offline multi-actiu: HSM emmagatzema seed phrases i claus mestres per reutilització sense exportació.

⮞ Resum

SeedNFC HSM amb HID BLE injecta claus directament via emulador HID BLE, evitant teclat i clipboard. El canal xifra amb AES-128 CBC i l’activació física del mòdul assegura un procés verificable i segur. A més, es pot activar protecció anti-BITB per neutralitzar overlays.

Escenaris d’explotació i vies de mitigació

Les revelacions de DEF CON 33 són una alerta; les amenaces evolucionaran més enllà dels pegats. Cal vigilar els següents escenaris:

  • Clickjacking impulsat per IA: LLMs generaran overlays i trampes Shadow DOM en temps real, fent phishing + DOM hijack a gran escala.
  • Tapjacking híbrid mòbil: piles d’aplicacions, gestos invisibles i interaccions en segon pla per validar transaccions o exfiltrar OTPs a mòbil.
  • HSMs post-quàntics: la mitigació a llarg termini requerirà ancoratges hardware i gestió de claus resistent a ordinadors quàntics — moure el límit de seguretat cap a HSMs certificats i fora del navegador.

⮞ Resum

Els atacants futurs evitaran els pegats del navegador; la mitigació exigeix una ruptura: ancoratges hardware offline, planificació HSM post-quàntic i dissenys Zero-DOM en comptes de pegats de programari.

 

Síntesi estratègica

DOM extension clickjacking demostra que navegadors i extensions no són entorns d’execució de confiança per secrets. Els pegats redueixen risc però no eliminen l’exposició estructural.

Camí sobirà — tres prioritats

  • Governança: tractar extensions i motors d’autoemplenament com infraestructura crítica — controls de desenvolupament estrictes, auditories obligatòries i normes de divulgació d’incidents.
  • Canvi arquitectònic: adoptar dissenys Zero-DOM perquè els secrets no transitin pel navegador; exigir activació física per operacions d’alt valor.
  • Resiliència hardware: invertir en ancoratges hardware i en fulls de ruta HSM post-quàntics per eliminar punts únics de fallada en models cloud/sync.

Doctrina — concisa

  • Considerar qualsevol secret que toqui el DOM com potencialment compromès.
  • Preferir activació física (NFC, HID BLE, HSM) per operacions d’alt valor.
  • Auditar i regular la lògica d’injecció d’extensions com a funció crítica de seguretat.
Nota reguladora — marcs existents (CRA, NIS2, marcs nacionals) milloren la resiliència del programari però rarament aborden secrets integrats al DOM. Els responsables polítics han de tancar aquest punt cec exigint separació provable entre UI i fluxos de secrets.

Glossari

  • DOM (Document Object Model): estructura interna de la pàgina al navegador.
  • Clickjacking: tècnica que enganya l’usuari perquè faci clic en elements ocults o disfressats.
  • Shadow DOM: subarbre encapsulat que aïlla components.
  • Zero-DOM: arquitectura de seguretat on els secrets mai toquen el DOM, eliminant el risc d’injecció.
🔥 En resum: els pegats al núvol ajuden, però l’hardware i les arquitectures Zero-DOM eviten falles de classe.

⮞ Nota — Què no cobreix aquesta crònica:

Aquesta anàlisi no proporciona PoC explotables ni tutorials pas a pas per reproduir DOM clickjacking o passkey phishing. Tampoc analitza l’economia de les criptomonedes ni casos legals específics més enllà d’un punt de vista estratègic de seguretat.

L’objectiu és explicar falles estructurals, quantificar riscos sistèmics i traçar contramesures Zero-DOM basades en hardware. Per detalls d’implementació, consulteu §Sovereign Countermeasures i les subseccions de producte.

EviTag NFC HSM at CONAND 2018: a Bug Bounty Express organized by Fullsecure

Evitag NFC HSM at CONAND 2018, a contactless password manager service.
Participants at a bug bounty event.
Freemindtronic contactless technology NFC EviTag rugged ip6k9k Android NFC Phone hands Made in Andorra

Evitag NFC HSM at CONAND 2018: Fullsecure, partner of the cybersecurity congress in Andorra, organizes a Bug Bounty Express on its product. It is a security challenge that consists of detecting vulnerabilities on this innovative product that allows to secure your secrets via an NFC electronic module. The Bug Bounty Express takes place on the Fullsecure booth during the second edition of CONAND 2018, on February 7 and 8.

Bug Bounty Show Events

What is CONAND 2018?

CONAND 2018 is an event organized by Andorra Telecom, the telecommunications operator of the country, in collaboration with the government of Andorra, the Cybersecurity Research Center of the University of Andorra and the Chamber of Commerce, Industry and Services of Andorra. It aims to promote cybersecurity as a key element of digital transformation and to strengthen Andorra’s position as a technological and innovative hub. The second edition of this congress took place from February 7 to 8, 2018 at the Congress Center of Andorra la Vella and brought together national and international experts, companies, institutions and researchers around conferences, workshops,

Demo show in booth

How to use Evitag NFC HSM?

To use Evitag NFC HSM, you just need to have an Android NFC smartphone and the Android application developed by Freemindtronic Andorra. By passing the NFC HSM module under the phone, you can display your secret, share it in RSA 4096 (a very robust asymmetric encryption algorithm) or use it directly on your phone or on a computer via a web extension coupled to the phone serving as a terminal.

Cyber Safety & Security

What are the advantages of Evitag NFC HSM?

Evitag NFC HSM has several advantages over traditional solutions for storing your secrets:

  • It works without server or database, which reduces costs and risks of hacking.
  • It works only without contact, which avoids compatibility or connectivity issues.
  • It is lifetime without battery, without maintenance and tamperproof and waterproof, which ensures its reliability and durability.
  • It uses an AES 256 encryption algorithm, recognized as one of the safest in the world, to encrypt your secrets stored in the EPROM memory of the NFC.
Use case

Who is Evitag NFC HSM for?

Evitag NFC HSM is for anyone who needs to secure their secrets in a convenient and reliable way. It is especially useful for private users who want to protect their online accounts, digital wallets, social media profiles and other sensitive information. Indeed, with Evitag NFC HSM, you can:

  • Manage and access your secrets easily without having to memorize or write them down.
  • Log in to your online accounts using the NFC HSM to display your password in volatile memory on your phone without leaving any trace of it.
  • Share your secrets with your friends or family in a secure and controlled way.
  • No risk in case of loss, theft or attempted compromise of the NFC HSM module locked to access with more than 9 trust criteria serving as a multifactor authentication system. Knowing that your secrets contained in the NFC HSM can be cloned, backed up in an encrypted way for later restoration in a new NFC HSM.
  • Benefit from a high level of security thanks to the physical and logical protection of the NFC HSM module encrypted in AES 256 with segmented key.
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How to get Evitag NFC HSM?

Evitag NFC HSM is a product marketed in white label by Fullsecure, a company specialized in the distribution of IT security solutions. To learn more about Evitag NFC HSM or to place an order, you can contact Fullsecure at the following coordinates:

CONAND 2018 EviTag NFC HSM Box wuite label

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    Visit our exhibition and demonstration space at CONAND 2018

    If you are curious to discover Evitag NFC HSM in action, we invite you to visit our exhibition and demonstration space at CONAND 2018. You will be able to test our product, ask your questions and exchange with our team. We will be happy to welcome you and show you our contactless security solution.

    Join the Bug Bounty Express on Evitag NFC HSM

    If you are interested in participating in the Bug Bounty Express on Evitag NFC HSM, you can find more information about the challenge, the rules, the rewards and the registration process on the following link: Bug Bounty Express on Evitag NFC HSM. This is a great opportunity to test your skills, learn new techniques and earn incentives for finding vulnerabilities on this innovative product. Don’t miss this chance to join the cybersecurity community and contribute to making the digital world safer.