Résumé Exécutif — clickjacking des extensions DOM
⮞ Note de lecture
Si vous souhaitez seulement retenir l’essentiel, le Résumé Exécutif (≈4 minutes) suffit. Pour une vision complète et technique, poursuivez avec la lecture intégrale de la chronique (≈35 minutes).
⚡ La découverte
Las Vegas, début août 2025. Le DEF CON 33 bat son plein au Las Vegas Convention Center. Entre dômes de hackers, villages IoT, Adversary Village et compétitions CTF, l’air est saturé de passion, de badges et de soudures improvisées. Sur scène, Marek Tóth n’a pas besoin d’artifices : il branche son laptop, lance la démo et appuie sur Enter.
L’attaque star : clickjacking des extensions DOM — facile à coder, dévastatrice à exécuter : une page piégée, des iframes invisibles, un focus()
malveillant… et les gestionnaires d’autofill déversent identifiants, TOTP et passkeys dans un formulaire fantôme. Ce clickjacking des extensions DOM s’impose comme une menace structurelle.
✦ L’impact immédiat du clickjacking des extensions DOM sur les gestionnaires de mots de passe vulnérables
Résultat ? Sur les 11 gestionnaires de mots de passe testés, tous se sont révélés vulnérables par conception au DOM-Based Extension Clickjacking, et 10 sur 11 ont effectivement permis l’exfiltration d’identifiants et de secrets.
Au total, près de 40 millions d’installations se retrouvent exposées selon SecurityWeek.
Cette vague de clickjacking des extensions DOM ne se limite pas aux gestionnaires : même les crypto-wallets laissent échapper leurs clés privées comme un robinet mal fermé, exposant directement des actifs financiers.
Le clou du spectacle survient juste après : une seconde démonstration, distincte de celle de Tóth, prouve que les passkeys « phishing-resistant », supposées inviolables, tombent face à un simple overlay trompeur et une redirection piégée. Cela fera l’objet d’un prochain sujet dans notre rubrique Digital Security.
Même FIDO/WebAuthn se fait piéger comme un gamer pressé sur un faux portail Steam.
⚠ Le message stratégique : risques systémiques du clickjacking des extensions DOM
En deux démos — l’une visant les gestionnaires de mots de passe et wallets, l’autre ciblant directement les passkeys — deux piliers de la cybersécurité s’effondrent de leur piédestal. Le message est limpide : tant que vos secrets résident dans le DOM, ils sont vulnérables. Et tant que la cybersécurité repose sur le navigateur et le cloud, un simple clic peut tout renverser. Comme le rappelle OWASP, le clickjacking est un classique — mais ici, c’est la couche extension qui se retrouve pulvérisée.
⎔ L’alternative souveraine : contre-mesures Zero DOM
Saviez-vous qu’il existe une autre voie depuis plus de dix ans — une voie qui ne passe pas par le DOM ? Avec PassCypher HSM PGP, PassCypher NFC HSM et SeedNFC pour la sauvegarde matérielle des clés cryptographiques, vos identifiants, mots de passe et secrets TOTP/HOTP ne passent jamais par le DOM. Ils restent chiffrés dans des HSM hors ligne — injectés de manière sécurisée via sandbox d’URL ou saisis manuellement via l’application Android (NFC), toujours protégés par l’anti-attaque BITB. Ce n’est pas une rustine, mais une architecture brevetée passwordless souveraine, décentralisée, sans serveur ni base de données, sans mot de passe maître — qui libère la gestion des secrets des dépendances centralisées comme FIDO/WebAuthn.
Temps de lecture estimé : 35 minutes
Niveau de complexité : Avancé / Expert
Spécificité linguistique : Lexique souverain — densité technique élevée
Langues disponibles :CAT · EN · ES · FR
Accessibilité : Optimisé pour les lecteurs d’écran — ancres sémantiques intégrées
Type éditorial : Chronique stratégique
À propos de l’auteur : Texte rédigé par Jacques Gascuel, inventeur et fondateur de Freemindtronic®.
Spécialiste des technologies de sécurité souveraines, il conçoit et brevète des systèmes matériels pour la protection des données, la souveraineté cryptographique et les communications sécurisées.
Son expertise couvre la conformité aux référentiels ANSSI, NIS2, RGPD et SecNumCloud, ainsi que la lutte contre les menaces hybrides via des architectures souveraines by design.
Exfiltration : logins, TOTP, passkeys, clés crypto.
Techniques : iframes invisibles, Shadow DOM, Browser-in-the-Browser.
Impact : ~40M d’installations exposées, et encore ~32,7M vulnérables au 23 août 2025 faute de patch.
Contre-mesure : PassCypher NFC/PGP et SeedNFC — secrets (TOTP, identifiant et mot de passe, diverses clés privées (crypto, PGP, etc.) en HSM hors-DOM, activation physique, injection sécurisée via NFC, HID ou canaux RAM chiffrés.
Principe : zéro DOM, zéro surface d’attaque.

En cybersécurité souveraine ↑ Cette chronique s’inscrit dans la rubrique Digital Security, dans la continuité des recherches menées sur les exploits et les contre-mesures matérielles zero trust.
Navigation Stratégique
- Résumé Exécutif
- Qu’est-ce que le Clickjacking d’extensions basé sur le DOM ?
- Historique du Clickjacking (2002–2025)
- DOM-Based Extension Clickjacking — Anatomie de l’attaque
- Gestionnaires de mots de passe vulnérables
- Technologies de correction utilisées
- Analyse technique & doctrinale des correctifs
- CVE Disclosure & réponses éditeurs
- Risques systémiques & vecteurs d’exploitation
- Extensions de portefeuilles crypto exposées
- Sandbox faillible & Browser-in-the-Browser (BITB)
- Signaux stratégiques DEF CON 33
- PassCypher HSM PGP — technologie Zero DOM (brevet 2015)
- Contre-mesures Souveraines (Zero DOM)
- PassCypher NFC HSM — Gestionnaire de mot de passe passwordless
- PassCypher HSM PGP — Gestion souveraine des clés
- SeedNFC + HID Bluetooth — Injection sécurisée des wallets
- Systemic Risks & Exploitation Vectors
- Scénarios d’exploitation & mitigation future
- Synthèse Stratégique
Points Clés :
-
- 11 gestionnaires de mots de passe prouvés vulnérables — identifiants, TOTP et passkeys exfiltrés par redressing DOM.
- Les extensions de portefeuilles crypto (MetaMask, Phantom, TrustWallet) exposées au même type d’attaques.
- Exploitation en un seul clic via iframes invisibles, Shadow DOM encapsulé et overlays BITB.
- Le sandbox du navigateur n’est pas un sanctuaire souverain — BITB trompe la perception utilisateur.
- Les solutions PassCypher NFC / HSM PGP et SeedNFC offrent des flux matériels sans DOM, ancrés dans des enclaves, avec kill-switch anti-BITB.
- Dix années de R&D souveraine avaient anticipé ce risque : conteneurs AES-256 segmentés, canaux hybrides RAM NFC↔PGP et injection HID constituent l’alternative native.
Qu’est-ce que le clickjacking des extensions DOM ?
Le Clickjacking d’extensions basé sur le DOM est une variante du clickjacking où l’attaquant manipule le Document Object Model (DOM) du navigateur afin de détourner la couche de confiance des extensions. Contrairement au clickjacking classique, il ne se limite pas à superposer une page piégée : il exploite des iframes invisibles et des appels focus()
pour forcer les extensions à injecter identifiants, TOTP ou passkeys dans un formulaire fantôme. Résultat : les secrets sont exfiltrés directement du DOM, à l’insu de l’utilisateur.
🚨 Signal fort DEF CON 33 — Double KO en direct
À Vegas, deux démos coup de massue font basculer la confiance numérique :
- Extensions piégées — Marek Tóth révèle que les gestionnaires et wallets peuvent être forcés à livrer identifiants, TOTP, passkeys et même clés privées, via un simple redressing DOM.
- Passkeys en défaut — Relayée par MENAFN / Yahoo Finance, une autre démo prouve que les passkeys “phishing-resistant” cèdent à un overlay trompeur. WebAuthn/FIDO vacille en direct.
Lecture stratégique : si les gestionnaires logiciels chutent et que les passkeys s’effondrent,
la faille n’est pas l’utilisateur, c’est l’architecture.
Les technologies brevetées PassCypher NFC HSM, PassCypher HSM PGP et SeedNFC déplacent le combat hors navigateur :
- Conteneurs AES-256 CBC — coffres hors-ligne, clés segmentées.
- Injection HID sécurisée — NFC ou Bluetooth, sans exposition DOM.
- Canaux RAM éphémères — déchiffrement volatil, destruction instantanée.
En clair : PassCypher n’est pas un gestionnaire de mots de passe, mais une architecture passwordless souveraine. Quand FIDO/WebAuthn se fait piéger, PassCypher reste hors d’atteinte — by design.
Historique du Clickjacking (2002–2025)
Clickjacking, c’est un peu le parasite tenace du web moderne. Le terme apparaît au début des années 2000, quand Jeremiah Grossman et Robert Hansen décrivent un scénario sournois : pousser un internaute à cliquer sur quelque chose qu’il ne voit pas vraiment. Une illusion d’optique appliquée au code, vite devenue une technique d’attaque incontournable (OWASP).
- 2002–2008 : émergence du “UI redressing” : calques HTML + iframes transparentes piégeant l’utilisateur (Hansen Archive).
- 2009 : Facebook victime du Likejacking (OWASP).
- 2010 : apparition du Cursorjacking : décalage du pointeur pour tromper le clic (OWASP).
- 2012–2015 : exploitation via iframes, publicité et malvertising (MITRE CVE) (Infosec)
- 2016–2019 : le tapjacking sévit sur mobile (Android Security Bulletin).
- 2020–2024 : montée du “hybrid clickjacking” mêlant XSS et phishing (OWASP WSTG).
- 2025 : au DEF CON 33, Marek Tóth dévoile un nouveau palier : DOM-Based Extension Clickjacking (DEF CON Archive). Désormais, ce ne sont plus seulement les sites web, mais les extensions navigateur (gestionnaires de mots de passe, wallets) qui injectent les formulaires invisibles.
Aujourd’hui, l’histoire du clickjacking bascule : ce n’est plus une farce graphique, mais une faille structurelle des navigateurs et de leurs extensions. Les gestionnaires testés — 1Password, Bitwarden, iCloud Keychain, LastPass — apparaissent vulnérables (Bitwarden Release Notes).
Au DEF CON 33, le clickjacking des extensions DOM a été révélé publiquement, marquant un basculement structurel : on passe d’une simple illusion visuelle à une faille systémique touchant les gestionnaires de mots de passe et les portefeuilles crypto.
❓Depuis quand étiez-vous exposés ?
Les gestionnaires logiciels avaient tous les signaux d’alerte.
L’OWASP parle de clickjacking depuis 2002, les iframes invisibles sont documentées depuis plus de 15 ans, et le Shadow DOM n’a rien d’un secret de hacker ésotérique.
Bref, tout le monde savait.
Et pourtant, la majorité a continué à bâtir son château de sable sur l’autofill DOM. Pourquoi ? Parce que ça faisait joli sur les slides marketing : UX fluide, clic magique, adoption massive… et sécurité en option.
Le DOM-Based Extension Clickjacking montré au DEF CON 33 n’est donc pas une révélation sortie du chapeau en 2025.
C’est l’aboutissement d’une erreur de design vieille d’une décennie.
Chaque extension qui a « fait confiance au DOM » pour injecter vos logins, TOTP ou passkeys était déjà vulnérable.
⮞ Réflexion critique : combien de temps ces failles ont-elles été exploitées en silence ?
La vraie question qu’il conviendrait de se poser : combien de temps ces vulnérabilités ont-elles été exploitées en silence par des attaquants discrets — espionnage ciblé, vol d’identités, siphonnage de wallets et de crypto-actifs ?
Pendant que les gestionnaires logiciels fermaient les yeux, PassCypher et SeedNFC de Freemindtronic Andorre ont emprunté une autre voie. Pensés hors du DOM, hors du cloud et sans mot de passe maître, ils prouvent qu’une alternative souveraine existait déjà : la sécurité by design.
Résultat : une décennie de vulnérabilité silencieuse pour les uns, et une décennie d’avance technologique pour ceux qui ont misé sur le matériel souverain.
En 20 ans, le clickjacking est passé d’une simple illusion visuelle à un sabotage systémique des gestionnaires d’identité. Le DEF CON 33 marque un point de bascule : la menace n’est plus seulement le site web, mais le cœur des extensions et de l’autofill. D’où l’urgence d’approches hors DOM, ancrées dans le matériel souverain comme PassCypher.
DOM-Based Extension Clickjacking — Anatomie de l’attaque
Le DOM-Based Extension Clickjacking n’est pas une variante anodine : il détourne la logique même des gestionnaires d’autofill. Ici, l’attaquant ne se contente pas de recouvrir un bouton par une iframe ; il force l’extension à remplir un faux formulaire comme si de rien n’était.

Déroulé type d’une attaque :
- Préparation — La page piégée embarque une iframe invisible et un Shadow DOM qui masque le véritable contexte. Des champs sont rendus invisibles (
opacity:0; pointer-events:none;
). - Appât — L’utilisateur clique sur un élément anodin ; des appels
focus()
répétés et des redirections détournent l’événement vers le champ fantôme contrôlé par l’attaquant. - Exfiltration — L’extension croit remplir un champ légitime et y injecte identifiants, TOTP, passkeys, voire clés privées. Les données sensibles sont aussitôt exfiltrées.
Cette mécanique contourne les défenses classiques (CSP, X-Frame-Options, frame-ancestors) et brouille les signaux visuels. Résultat : l’autofill devient un canal d’exfiltration invisible et transforme une faille UX en faille systémique de confiance.
⮞ Résumé
Le clickjacking des extensions DOM combine iframes invisibles, Shadow DOM et redirections par focus()
pour détourner les gestionnaires de mots de passe et crypto-wallets. Les secrets ne sont pas injectés dans le site attendu mais dans un formulaire fantôme, offrant à l’attaquant un accès direct aux données sensibles.
Gestionnaires de mots de passe vulnérables
Au DEF CON 33, les tests menés par Marek Tóth ont révélé que la majorité des gestionnaires sont exposés à une faille structurelle : le clickjacking des extensions DOM.
Sur les 11 gestionnaires évalués, 10 exposent des identifiants, 9 des TOTP et 8 des passkeys.
En clair : même le coffre-fort logiciel le plus réputé devient vulnérable dès qu’il délègue ses secrets au DOM.
- Encore vulnérables : 1Password, LastPass, iCloud Passwords, LogMeOnce
- Correctifs publiés : Bitwarden, Dashlane, NordPass, ProtonPass, RoboForm, Enpass, Keeper (partiel)
- Correctifs en cours : Bitwarden, Enpass, iCloud Passwords
- Classés “informatifs” (pas de correctif prévu) : 1Password, LastPass
Tableau de statut (mis à jour le 27 août 2025)
Gestionnaire | Identifiants | TOTP | Passkeys | Statut | Patch officiel |
---|---|---|---|---|---|
1Password | Yes | Yes | Yes | Vulnérable | – |
Bitwarden | Yes | Yes | Partial | Corrigé (v2025.8.0) | Release |
Dashlane | Yes | Yes | Yes | Corrigé | Release |
LastPass | Yes | Yes | Yes | Vulnérable | – |
Enpass | Yes | Yes | Yes | Corrigé (v6.11.6) | Release |
iCloud Passwords | Yes | No | Yes | Vulnérable | – |
LogMeOnce | Yes | No | Yes | Vulnérable | – |
NordPass | Yes | Yes | Partial | Corrigé | Release |
ProtonPass | Yes | Yes | Partial | Corrigé | Releases |
RoboForm | Yes | Yes | Yes | Corrigé | Update |
Keeper | Partial | No | No | En cours de révision (v17.2.0) | Release |
À l’inverse, les solutions matérielles comme PassCypher HSM PGP, PassCypher NFC HSM et SeedNFC neutralisent la menace par conception : aucun identifiant, mot de passe, code TOTP/HOTP ou clé privée ne touche le navigateur.
Zéro DOM, zéro surface d’attaque.
Technologies de correction utilisées
Depuis la révélation du DOM Extension Clickjacking à DEF CON 33, plusieurs éditeurs ont publié des correctifs. Toutefois, ces patchs restent hétérogènes et, le plus souvent, se limitent à des ajustements d’interface ou de contexte. Aucun n’a refondu la logique d’injection.
Objectif
Expliquer comment les gestionnaires tentent de corriger la faille, distinguer les patchs cosmétiques des solutions structurelles, et mettre en lumière les approches réellement souveraines (Zero DOM, matériel).
🛠️ Méthodes de correction recensées (août 2025)
Méthode | Description | Gestionnaires concernés |
---|---|---|
Restriction d’auto-remplissage | Mode “on click” / désactivation par défaut | Bitwarden, Dashlane, Keeper |
Filtrage de sous-domaines | Blocage sur domaines non explicitement autorisés | ProtonPass, RoboForm |
Détection de Shadow DOM | Refus d’injection si champ encapsulé | NordPass, Enpass |
Isolation contextuelle | Contrôles iframe/visibilité/focus avant injection | Bitwarden, ProtonPass |
Solutions matérielles (Zero DOM) | Aucun secret dans le DOM (NFC HSM, HSM PGP, SeedNFC) | PassCypher, EviKey, SeedNFC (non vulnérables par design) |
📉 Limites observées
- Les patchs ne modifient pas le moteur d’injection, ils en limitent seulement le déclenchement.
- Aucune séparation structurelle interface ↔ flux de secrets.
- Tant que l’injection reste dans le DOM, de nouvelles variantes de clickjacking sont possibles.
Ces correctifs réagissent aux symptômes sans traiter la cause. Pour discerner la rustine de la refonte doctrinale, poursuivez avec l’analyse ci-dessous.
Technologies de correction face au DOM Extension Clickjacking : analyse technique et doctrinale
📌 Constat
La faille n’est pas un bug ponctuel mais une erreur de conception : injecter des secrets dans un DOM manipulable, sans séparation structurelle ni contrôle contextuel robuste.
⚠️ Ce que les correctifs ne font pas
- Pas de refonte du moteur d’injection.
- Mesures limitées : désactivation par défaut, filtrage de sous-domaines, détection partielle d’éléments invisibles.
- Pas d’architecture Zero DOM garantissant l’inviolabilité by design.
🧠 Ce que ferait un correctif structurel
- Supprimer toute dépendance au DOM pour l’injection de secrets.
- Isoler le moteur d’injection hors navigateur.
- Exiger une authentification matérielle (NFC, PGP, biométrie).
- Tracer chaque injection (journal auditable, local/optionnellement distant).
- Interdire l’interaction avec des champs invisibles/encapsulés.
Typologie des correctifs
Niveau | Type | Description |
---|---|---|
Cosmétique | UI/UX, désactivation par défaut | Ne change pas la logique d’injection, seulement son déclenchement. |
Contextuel | Filtrage DOM, Shadow DOM, sous-domaines | Ajoute des conditions, mais reste prisonnier du DOM. |
Structurel | Zero DOM, matériel (PGP, NFC, HSM) | Élimine l’usage du DOM pour les secrets, sépare interface et flux sensibles. |
🧪 Tests doctrinaux (vérifier un vrai correctif)
- Injecter un champ invisible (
opacity:0
) dans uneiframe
. - Simuler un Shadow DOM encapsulé.
- Observer si l’extension injecte malgré tout.
- Vérifier si l’événement est tracé/rejeté comme non légitime.
📜 Absence de norme industrielle
Aucune norme (NIST/OWASP/ISO) n’encadre aujourd’hui : (1) la logique d’injection des extensions, (2) la séparation UI ↔ flux secrets, (3) la traçabilité des auto-remplissages.
📣 Appel à standardisation
- Interdire l’injection de secrets dans un DOM manipulable sans vérification contextuelle forte.
- Rendre obligatoire la traçabilité/audit des auto-remplissages.
- Certifier les moteurs d’injection via tests indépendants.
- Exiger la compatibilité Zero DOM pour garantir souveraineté et inviolabilité.
Les patchs actuels sont des rustines. Seules les architectures Zero DOM — PassCypher HSM PGP, PassCypher NFC HSM, SeedNFC — constituent une correction structurelle et souveraine.
Révélations CVE et réponses éditeurs (août–septembre 2025)
La découverte par Marek Tóth lors de DEF CON 33 n’a pas pu rester confidentielle :
les vulnérabilités de clickjacking des extensions DOM font désormais l’objet d’attributions officielles de références CVE.
Mais comme souvent en matière de divulgation de vulnérabilités, le processus reste lent.
Plusieurs failles ont été signalées dès le printemps 2025, mais à la mi-août, certains éditeurs n’avaient toujours pas publié de correctif public.
Réactions des éditeurs et calendrier de publication :
- Bitwarden — a réagi rapidement avec le correctif
v2025.8.0
(août 2025), limitant les fuites de TOTP et d’identifiants. - Dashlane — a publié un correctif (v6.2531.1, début août 2025), confirmé dans les notes officielles.
- RoboForm — a déployé des correctifs entre juillet et août 2025 sur Windows et macOS.
- NordPass & ProtonPass — ont annoncé des mises à jour officielles en août 2025, atténuant partiellement les risques d’exfiltration DOM.
- Keeper — a reconnu l’impact mais reste en statut “en cours d’examen”, sans correctif confirmé.
- 1Password, LastPass, Enpass, iCloud Passwords, LogMeOnce — toujours non corrigés début septembre 2025, exposant des millions d’utilisateurs.
Le problème ne réside pas uniquement dans le retard de correctifs, mais aussi dans la manière dont certains éditeurs ont minimisé la gravité.
Selon les divulgations de sécurité, certains fournisseurs ont initialement qualifié de faille “informative”, réduisant sa portée.
Autrement dit : la fuite était reconnue, mais reléguée dans une zone grise jusqu’à ce que la pression médiatique et communautaire impose une réaction.
⮞ Résumé
Les CVE liées au clickjacking des extensions DOM sont encore en cours de traitement.
Tandis que des éditeurs comme Bitwarden, Dashlane, NordPass, ProtonPass et RoboForm ont publié des correctifs officiels entre août et septembre 2025, d’autres (1Password, LastPass, Enpass, iCloud Passwords, LogMeOnce) accusent un retard critique, laissant des millions d’utilisateurs exposés. Certains ont même préféré le silence à la transparence, traitant une faille structurelle comme un simple incident jusqu’à y être contraints.
Risques systémiques & vecteurs d’exploitation
Le DOM-Based Extension Clickjacking n’est pas un bug isolé : c’est une faille systémique. Quand une extension cède, ce n’est pas seulement un mot de passe qui fuit — c’est tout un modèle de confiance numérique qui implose.
Scénarios critiques :
- Accès persistant — Un TOTP cloné suffit pour enregistrer un appareil “de confiance” et garder la main, même après réinitialisation du compte.
- Rejeu de passkeys — L’exfiltration d’une passkey équivaut à un jeton maître utilisable hors contrôle. Le Zero Trust devient un mythe.
- Compromission SSO — Une extension piégée en entreprise = fuite de tokens OAuth/SAML, compromettant l’ensemble du SI.
- Chaîne d’approvisionnement — Les extensions, mal régulées, deviennent une surface d’attaque structurelle pour les navigateurs.
- Crypto-assets — Les wallets (MetaMask, Phantom, TrustWallet) réutilisent le DOM pour injecter des clés : seed phrases et clés privées siphonnées comme de simples credentials.
⮞ Résumé
Les risques dépassent le simple vol de mots de passe : TOTP clonés, passkeys rejouées, SSO compromis, seed phrases siphonnées. Tant que le DOM reste l’interface de l’autofill, il reste aussi l’interface de l’exfiltration.
Comparatif de menace souverain
Attaque | Cible | Secrets visés | Contre-mesure souveraine |
ToolShell RCE | SharePoint / OAuth | Certificats SSL, tokens SSO | PassCypher HSM PGP (stockage + signature hors-DOM) |
eSIM hijack | Identité mobile | Profils opérateurs, SIM intégrée | SeedNFC HSM (ancrage matériel des identités mobiles) |
DOM Clickjacking | Extensions navigateurs | Credentials, TOTP, passkeys | PassCypher NFC HSM + PassCypher HSM PGP (OTP sécurisés, auto-remplissage sandbox, anti-BITB) |
Crypto-wallet hijack | Extensions wallets | Clés privées, seed phrases | SeedNFC HSM + Couplage NFC↔HID BLE (injection matérielle sécurisée multi-support) |
Atomic Stealer | macOS clipboard | Clés PGP, wallets crypto | PassCypher NFC HSM ↔ HID BLE (canaux chiffrés, injection sans clipboard) |
Le clickjacking des extensions DOM démontre ainsi la fragilité des modèles de confiance numérique.
Extensions crypto-wallets exposées au clickjacking des extensions DOM
Les gestionnaires de mots de passe ne sont pas les seuls à tomber dans le piège du DOM-Based Extension Clickjacking.
Les wallets crypto les plus répandus — MetaMask, Phantom, TrustWallet — reposent sur le même principe d’injection DOM pour afficher ou signer des transactions. Résultat : un overlay bien placé, une iframe invisible, et l’utilisateur croit valider une opération légitime… alors qu’il signe en réalité un transfert malveillant ou qu’il révèle sa seed phrase.
Implication directe : contrairement aux credentials ou TOTP, les fuites ici concernent des actifs financiers immédiats. Des milliards de dollars de liquidités reposent sur ces extensions. Le DOM devient donc non seulement un risque d’identité, mais un vecteur d’exfiltration monétaire.
⮞ Résumé
Les extensions de portefeuilles crypto réutilisent le DOM pour interagir avec l’utilisateur.
Ce choix architectural les expose aux mêmes failles que les gestionnaires de mots de passe : seed phrases, clés privées et signatures de transactions peuvent être interceptées via redressing.
Les clés ne sortent jamais du HSM, l’utilisateur active physiquement chaque opération, et le redressing DOM devient inopérant.
En complément, PassCypher HSM PGP et PassCypher NFC HSM protègent les OTP et credentials liés aux comptes d’accès aux plateformes, évitant ainsi la compromission latérale.
Sandbox navigateur faillible & attaques BITB
Les navigateurs présentent leur sandbox comme une forteresse, pourtant les attaques DOM-Based Extension Clickjacking et Browser-in-the-Browser (BITB) prouvent le contraire. Un simple overlay et un faux cadre d’authentification suffisent à piéger l’utilisateur et à lui faire croire qu’il échange avec Google, Microsoft ou sa banque, alors qu’il livre ses secrets à une page frauduleuse. Même frame-ancestors
ou certaines politiques CSP ne parviennent pas à empêcher ces illusions d’interface.
C’est ici que les technologies souveraines changent l’équation. Avec EviBITB (IRDR), Freemindtronic intègre dans PassCypher HSM PGP un moteur de détection et destruction d’iframes de redirection, capable de neutraliser en temps réel les tentatives de BITB. Activable en un clic, utilisable en mode manual, semi-automatique ou automatique, il fonctionne sans serveur, sans base de données et agit instantanément. (explications · guide détaillé)
Mais la clef de voûte reste le sandbox URL. Chaque identifiant ou clé est lié à une URL de référence stockée dans le HSM chiffré. Lorsqu’une page tente un autofill, l’URL active est comparée à celle du HSM. Si elle ne correspond pas, aucune donnée n’est injectée. Ainsi, même si un iframe passait sous les radars, le sandbox URL bloque l’exfiltration.
Cette double barrière s’étend également aux usages sur ordinateur, grâce à l’appairage sécurisé NFC entre un smartphone Android NFC et l’application Freemindtronic intégrant PassCypher NFC HSM. Dans ce contexte, l’utilisateur bénéficie aussi de la protection anti-BITB (EviBITB) sur ordinateur : les secrets demeurent chiffrés dans le NFC HSM et ne sont déchiffrés que pendant quelques millisecondes en mémoire volatile (RAM), juste le temps nécessaire à l’auto-remplissage — sans jamais transiter ni résider dans le DOM.
⮞ Résumé technique (attaque défendue par EviBITB + sandbox URL)
L’attaque DOM-Based Extension Clickjacking exploite des overlay CSS invisibles (opacity:0
, pointer-events:none
) pour rediriger les clics vers un champ masqué injecté depuis le Shadow DOM (ex. protonpass-root
). Par un jeu de focus()
répétés et de suivi du curseur, l’extension déclenche son autofill, déposant identifiants, TOTP ou passkeys dans un formulaire invisible aussitôt exfiltré.
Avec EviBITB (IRDR), ces iframes et overlays sont détruits en temps réel, supprimant le vecteur de clic malicieux. En parallèle, le sandbox URL vérifie l’authenticité de la destination par rapport à l’URL stockée chiffrée dans le HSM (PassCypher HSM PGP ou NFC HSM). Si l’URL ne correspond pas, l’autofill est bloqué. Résultat : pas de clic piégé, pas d’injection, pas de fuite. Les secrets restent hors-DOM, y compris en usage desktop via un NFC HSM appairé à un smartphone Android. Cette combinaison d’overlays invisibles et de redirections focus() illustre parfaitement la puissance du clickjacking des extensions DOM.

⮞ Leadership technique mondial
À ce jour, PassCypher HSM PGP, même dans sa version gratuite, demeure la seule solution connue capable de neutraliser en pratique les attaques Browser-in-the-Browser (BITB) et DOM-Based Extension Clickjacking.
Là où les gestionnaires concurrents (1Password, LastPass, Dashlane, Bitwarden, Proton Pass…) continuent d’exposer leurs utilisateurs à des overlays invisibles et à des injections Shadow DOM, PassCypher s’appuie sur une double barrière souveraine :
- EviBITB, moteur anti-iframe qui détruit en temps réel les cadres de redirection malveillants (voir guide détaillé et article explicatif) ;
- Sandbox URL, ancrage des identifiants à une URL de référence
dans un conteneur chiffré en AES-256 CBC PGP, bloquant toute exfiltration en cas de mismatch.
Cette combinaison place Freemindtronic, en Andorre, en position de pionnier : pour l’utilisateur final, l’installation de l’extension gratuite PassCypher HSM PGP suffit déjà à élever le niveau de sécurité au-delà des standards actuels, sur tous les navigateurs Chromium.
Signaux stratégiques DEF CON 33
Dans les couloirs survoltés de DEF CON 33, ce ne sont pas seulement les badges qui clignotent : ce sont nos certitudes.
Entre une bière tiède et un CTF endiablé, les conversations convergent : le navigateur a cessé d’être une zone de confiance.
- Le DOM devient un champ de mines : il n’héberge plus seulement du XSS de bas étage, mais les clés d’identité elles-mêmes — gestionnaires, passkeys, wallets.
- La promesse « phishing-resistant » vacille : voir une passkey se faire phisher en live, c’est comme regarder Neo se faire planter par un script-kiddie.
- Lenteur industrielle : certains patchent en 48h, d’autres se perdent en comités et communiqués. Résultat : des millions d’utilisateurs restent à poil.
- Doctrine Zero Trust renforcée : tout secret qui effleure le DOM est à considérer comme déjà compromis.
- Retour du matos souverain : à force de voir le cloud s’effriter, les regards se tournent vers des solutions hors-DOM :PassCypher NFC HSM, PassCypher HSM PGP, SeedNFC pour la sauvegarde chiffrée des clés crypto. Zéro DOM, zéro illusion.
⮞ Résumé
DEF CON 33 envoie un message clair : les navigateurs ne sont plus des bastions de protection.
La sortie de crise ne viendra pas d’un patch cosmétique, mais de solutions basées sur des supports matériels hors navigateur et hors ligne — là où les secrets demeurent chiffrés, à l’abri et sous contrôle d’accès souverain.
PassCypher HSM PGP — La technologie Zero DOM brevetée depuis 2015
Bien avant la révélation du DOM Extension Clickjacking à DEF CON 33, Freemindtronic avait fait un choix radical : ne jamais utiliser le DOM pour transporter des secrets. Dès 2015, cette approche Zero Trust s’est matérialisée dans une architecture Zero DOM brevetée (by design) : identifiants, TOTP/HOTP, mots de passe et clés (PGP/SSH/crypto) restent confinés dans un HSM matériel, jamais injectés dans un environnement manipulable.
🚀 Avantages clés
- Zero DOM natif — aucune donnée sensible ne transite par le navigateur.
- HSM PGP intégré — conteneurs AES-256 CBC + clés segmentées brevetées.
- Souverain & privé — sans serveur, sans base de données, sans cloud.
🛡️ Anti-BITB intégré (gratuit)
Depuis 2020, PassCypher HSM PGP inclut EviBITB, un moteur anti-Browser-in-the-Browser : destruction d’iframes malveillants, détection d’overlays, sans serveur, sans base de données, en temps réel, totalement anonyme. Guide d’activation détaillé : comment fonctionne EviBITB.
⚡ Mise en œuvre immédiate
Installez l’extension PassCypher HSM PGP, activez EviBITB dans les paramètres, et bénéficiez instantanément d’une protection souveraine Zero DOM :
- Edge Add-ons : télécharger
- Chrome Web Store : télécharger

Contre-mesures Zero DOM — sécurité matérielle hors navigateur
Les patchs correctifs des éditeurs rassurent sur le moment… mais ils ne changent rien au problème de fond : le DOM reste une passoire.
La seule parade durable, c’est de retirer les secrets de son emprise.
C’est ce que nous appelons le principe Zero DOM : aucune donnée sensible ne doit résider, transiter ou dépendre du navigateur.

Dans ce paradigme, les secrets (identifiants, TOTP, passkeys, clés privées) sont conservés dans des HSM matériels hors ligne.
L’accès n’est possible que par activation physique (NFC, HID, appairage sécurisé) et ne laisse qu’une empreinte éphémère en RAM.
⮞ Fonctionnement souverain : NFC HSM, HID BLE et HSM PGP
Activation NFC HSM ↔ Android ↔ navigateur :
Dans le cas du NFC HSM, l’activation ne s’effectue pas par clic sur le téléphone, mais par présentation physique du module NFC HSM sous un smartphone Android NFC.
L’application Freemindtronic reçoit la requête depuis l’ordinateur appairé (via PassCypher HSM PGP), active le module sécurisé, et transmet le secret chiffré sans contact vers l’ordinateur.
Tout le processus est chiffré de bout en bout, et le déchiffrement s’effectue uniquement en mémoire volatile (RAM), sans jamais transiter ni résider dans le DOM.
Activation NFC HSM ↔ HID BLE :
Lorsque l’application Android NFC Freemindtronic est appairée à un émulateur de clavier Bluetooth HID (type InputStick), elle peut injecter les identifiants et mots de passe directement dans les champs de connexion, via un canal BLE chiffré en AES-128 CBC.
Cette méthode permet un auto-remplissage sécurisé hors DOM, même sur des ordinateurs non appairés via navigateur, tout en neutralisant les keyloggers et les attaques DOM classiques.</p>
Activation HSM PGP local :
Avec PassCypher HSM PGP sur ordinateur, l’utilisateur clique simplement sur un bouton intégré au champ d’identification pour déclencher l’auto-remplissage. Le secret est déchiffré localement depuis le conteneur chiffré AES-256 CBC PGP, uniquement en mémoire volatile (RAM), sans intervention NFC et sans jamais transiter par le DOM. Cette architecture garantit un auto-remplissage souverain, inattaquable par design, même face aux extensions malveillantes ou aux overlays invisibles.
Contrairement aux gestionnaires cloud ou aux passkeys FIDO, ces solutions ne patchent pas après coup : elles éliminent la surface d’attaque dès la conception. C’est le cœur de l’approche sovereign-by-design : architecture décentralisée, pas de serveur central, pas de base de données à siphonner.
⮞ Résumé
Le Zero DOM n’est pas une rustine, mais un changement de doctrine.
Tant que vos secrets vivent dans le navigateur, ils restent vulnérables.
Hors DOM, chiffrés en HSM et activés physiquement, ils deviennent inaccessibles aux attaques clickjacking ou BITB.
PassCypher NFC HSM — architecture souveraine passwordless
Quand les gestionnaires logiciels se font piéger par un simple iframe, PassCypher NFC HSM trace une autre voie : vos identifiants, mots de passe, ne transitent jamais par le DOM.
Ils dorment chiffrés dans un nano-HSM hors ligne, et n’apparaissent qu’un instant en mémoire volatile — juste le temps strict nécessaire à l’authentification.
Fonctionnement côté utilisateur :
- Secrets intouchables — stockés et chiffrés dans le NFC HSM, jamais visibles ni extraits.
- TOTP/HOTP — générés et affichés à la demande via l’application Android PassCypher NFC HSM ou sur ordinateur via PassCypher HSM PGP.
- Saisie manuelle — l’utilisateur saisit son code PIN ou TOTP dans le champ prévu sur son ordinateur ou son téléphone Android NFC, visualisé dans l’application PassCypher (Freemindtronic), généré depuis le module NFC HSM. Même principe pour les autres secrets : identifiants, mots de passe, etc.
- Saisie automatique sans contact — aucune saisie clavier : l’utilisateur présente simplement le module NFC HSM PassCypher à son téléphone ou à son ordinateur. L’opération s’effectue sans contact, y compris lorsque l’application PassCypher NFC HSM est appairée avec PassCypher HSM PGP.
- Saisie automatique sur ordinateur — avec PassCypher HSM PGP sur Windows ou macOS, l’utilisateur clique sur un bouton intégré aux champs d’identification pour auto-remplir, avec validation automatique possible, le login, le mot de passe.
- Anti-BITB distribué — grâce à l’appairage sécurisé NFC ↔ Android ↔ navigateur (Win/Mac/Linux), les iframes malveillants sont neutralisés en temps réel (EviBITB).
- Mode HID BLE — injection directe hors DOM via un émulateur de clavier Bluetooth appairé à PassCypher NFC HSM, neutralisant à la fois les attaques DOM et les keyloggers.
⮞ Résumé
PassCypher NFC HSM incarne le Zero Trust (chaque action doit être validée physiquement) et le Zero Knowledge (aucun secret n’est jamais exposé).
Une sauvegarde sécurisée d’identité matérielle by design, qui rend inopérants le clickjacking, l’attaque par BITB, le typosquatting, le keylogging, les attaques par homoglyphes (IDN spoofing), les injections DOM, le clipboard hijacking, les extensions malveillantes, et anticipe les attaques quantiques.
🛡️ Attaques neutralisées par PassCypher NFC HSM
Type d’attaque | Description | Statut avec PassCypher |
---|---|---|
Clickjacking / UI Redressing | Iframes invisibles ou overlays qui piègent les clics utilisateur | Neutralisé (EviBITB) |
BITB (Browser-in-the-Browser) | Faux navigateurs simulés dans une iframe pour voler identifiants | Neutralisé (sandbox + appairage) |
Keylogging | Capture des frappes clavier | Neutralisé (mode HID BLE) |
Typosquatting | URLs proches visuellement de sites légitimes | Neutralisé (validation physique) |
Homograph Attack (IDN spoofing) | Substitution de caractères Unicode pour tromper l’utilisateur sur l’URL | Neutralisé (zéro DOM) |
Injection DOM / DOM XSS | Scripts malveillants injectés dans le DOM | Neutralisé (architecture hors DOM) |
Clipboard hijacking | Interception ou modification du presse-papiers | Neutralisé (pas d’usage clipboard) |
Extensions malveillantes | Altération du navigateur via plugins ou scripts | Neutralisé (appairage + sandbox) |
Attaques quantiques (anticipées) | Calculs massifs pour casser les clés cryptographiques | Atténué (clés segmentées + AES-256 CBC + PGP) |
PassCypher HSM PGP — Gestion souveraine des clés anti-phishing
Dans un monde où les gestionnaires classiques se font piller par un simple iframe fantôme, PassCypher HSM PGP refuse de plier.
Sa règle ? Zéro serveur, zéro base de données, zéro DOM.
Vos secrets — identifiants, mots de passe, passkeys, clés SSH/PGP, TOTP/HOTP — vivent dans des conteneurs chiffrés AES-256 CBC PGP, protégés par un système de clés segmentées brevetées conçu pour encaisser même l’ère quantique.
Pourquoi ça tient face aux attaques type DEF CON 33 ?
Parce qu’ici, rien ne transite par le DOM, aucun mot de passe maître n’existe donc à extraire, et surtout : les conteneurs demeurent en permanence chiffrés. Leur déchiffrement n’intervient qu’en mémoire volatile (RAM), le temps d’assembler les segments de clés requis. Une fois l’auto-remplissage accompli, tout disparaît instantanément, sans laisser la moindre trace exploitable.
Fonctionnalités clés :
- Auto-remplissage blindé — un clic suffit, mais via URL sandbox, jamais en clair dans le navigateur.
- EviBITB embarqué — destructeur d’iframes et d’overlays malveillants, activable en manuel, semi-auto ou full-auto, 100 % hors serveur.
- Outils crypto intégrés — génération et gestion de clés AES-256 segmentées et clés PGP sans dépendances externes.
- Compatibilité universelle — fonctionne avec tout site via un logiciel + extension navigateur — pas de mise à jour forcée, pas de plugin exotique.
- Architecture souveraine — sans serveur, sans base de données, sans mot de passe maître, 100 % anonymisée — inattaquable par design là où le cloud faiblit.
⮞ Résumé
PassCypher HSM PGP redéfinit la gestion des secrets : conteneurs chiffrés en permanence, clés segmentées, déchiffrement éphémère en RAM, zéro DOM et zéro cloud.
Un gestionnaire de mots de passe matériel et une mécanique passwordless souveraine, pensée pour résister aux attaques d’aujourd’hui comme aux attaques quantiques.
SeedNFC + HID Bluetooth — Injection sécurisée des wallets
Les extensions de wallets aiment le DOM… et c’est précisément là qu’on les piège. Avec SeedNFC HSM, on inverse la logique : les clés privées et seed phrases ne quittent jamais l’enclave.
Quand il faut initialiser ou restaurer un wallet (web ou desktop), la saisie se fait via une émulation HID Bluetooth — comme un clavier matériel — sans presse‑papiers, sans DOM, sans trace pour saisir les clés privées et publiques mais également les identifiants et mot de passe notamment des hot wallet.
Flux opérationnel (anti‑DOM, anti‑clipboard) :
- Custodie : la seed/clé privée est stockée chiffrée dans le SeedNFC HSM (jamais exportée, jamais visible).
- Activation physique : l’utilisation du sans contact via le NFC HSM autorise l’opération depuis l’appli Freemindtronic (Android NFC Phone).
- Injection HID BLE : la seed (ou un fragment/format requis) est dactylographiée directement dans le champ du wallet, hors DOM et hors presse‑papiers (résistance aux keyloggers logiciels classiques).
- Protection BITB : pour un wallet web, l’EviBITB (anti‑BITB / destructeur d’iframes) peut être activé côté appli,
neutralisant les overlays et redirections piégées pendant la procédure. - Éphémérité : les données transitent en RAM volatile du terminal le strict temps de la frappe HID, puis disparaissent.
Cas d’usage typiques :
- Onboarding ou recovery de wallets (MetaMask, Phantom, etc.) sans jamais exposer la clé privée au navigateur ni au DOM. Le secret reste chiffré dans le HSM et n’est déchiffré qu’en RAM, le temps strict nécessaire à l’opération.
- Opérations sensibles sur ordinateur (air-gap logique), avec validation physique par l’utilisateur : il présente son module NFC HSM sous son smartphone Android NFC pour autoriser l’action, sans interaction clavier ni exposition au DOM.
- Sauvegarde sécurisée multi-actifs : seed phrases, clés master et clés privées conservées dans un HSM matériel hors ligne, réutilisables sans copie, sans export, sans capture. Activation uniquement physique, souveraine et traçable.
⮞ Résumé
SeedNFC HSM avec HID BLE permet la saisie directe de la clé privée ou publique dans le champ du hot wallet via un émulateur de clavier Bluetooth Low Energy (HID BLE), sans interaction clavier ni presse-papiers.
Le canal est chiffré en AES-128 CBC, l’activation est physique par NFC, et la protection anti-BITB est activable.
Les secrets restent confinés dans l’enclave HSM, hors DOM et hors d’atteinte des extensions malveillantes.
Scénarios d’exploitation du hameçonnage (phishing) des passkeys DOM
Les révélations du DEF CON 33 ne sont pas une fin de partie, mais un avertissement. Ce qui vient ensuite pourrait être encore plus corrosif :
- Phishing piloté par IA + détournement DOM — Demain, ce n’est plus un kit de phishing bricolé dans un garage, mais des LLM qui génèrent en temps réel des overlays DOM indétectables, capables de mimer n’importe quel portail bancaire ou cloud.
- Tapjacking mobile hybride — L’écran tactile devient un champ de mines : superposition d’apps, autorisations invisibles, et en arrière-plan vos gestuelles sont détournées pour valider des transactions ou exfiltrer des OTP.
- Post-quantum ready HSM — La prochaine ligne de défense ne résidera pas dans un simple patch navigateur, mais dans des HSM résistants au calcul quantique, capables d’absorber les futures puissances de Shor ou de Grover. Des solutions comme PassCypher HSM PGP et SeedNFC en sécurité quantique incarnent déjà ce socle matériel zéro-DOM, conçu pour l’ère post-cloud.
⮞ Résumé
L’avenir du clickjacking et du phishing ne s’écrit pas dans le code des navigateurs, mais dans leur contournement.
La mitigation passe par une rupture : supports matériels hors-ligne, à sécurité quantique et architectures souveraines.
Tout le reste n’est que rustine logicielle vouée à craquer.
Synthèse stratégique du clickjacking des extensions DOM
Le clickjacking des extensions DOM révèle une vérité crue : navigateurs, gestionnaires de mots de passe et extensions crypto ne sont pas des environnements de confiance.
Les patchs arrivent en ordre dispersé, l’exposition utilisateur se chiffre en dizaines de millions, et les cadres réglementaires courent toujours derrière la menace.
La seule sortie souveraine ? Une gouvernance stricte du logiciel, doublée d’une sauvegarde matérielle hors DOM (PassCypher NFC HSM / HSM PGP), où les secrets restent chiffrés, hors ligne, et intouchables par redressing.
La voie souveraine :
- Gouvernance stricte des logiciels et extensions
- Sécurité matérielle des identités (PassCypher NFC HSM / HSM PGP)
- Secrets chiffrés, hors DOM, hors cloud, redress-proof
En définitive, le clickjacking des extensions DOM oblige à une rupture : sortir les secrets du navigateur et du cloud.
Doctrine de souveraineté cyber matérielle —
- Tout secret exposé au DOM doit être considéré comme compromis par défaut.
- L’identité numérique doit être activée physiquement (NFC, HID BLE, HSM PGP).
- La confiance ne repose pas sur le sandbox navigateur mais sur l’isolation matérielle.
- Les extensions doivent être auditées comme des infrastructures critiques.
- La résilience post-quantique commence par l’isolement physique des clés.
La garde matérielle reste le seul fallback souverain — et seuls les États capables de produire et certifier leurs propres HSMs peuvent garantir une vraie souveraineté numérique.
La doctrine d’une cybersécurité souveraine enracinée dans le matériel n’est plus une option. C’est désormais une stratégique fondamentale.
⮞ À noter — Ce que cette chronique ne couvre pas :
Cette analyse ne fournit ni proof-of-concept exploitable, ni tutoriel technique pour reproduire les attaques de type clickjacking DOM ou phishing de passkeys.
Elle ne détaille pas non plus les aspects économiques liés aux cryptomonnaies ni les implications légales spécifiques hors UE.
L’objectif est de proposer une lecture stratégique et souveraine : comprendre les failles structurelles, identifier les risques systémiques et mettre en perspective les contre-mesures matérielles zero trust (PassCypher, SeedNFC).
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